
Décidément, l’Union européenne fait tout pour dégoûter les peuples européens … de l’Europe ! Et ça fonctionne !
Dans de nombreux pays, ce que les progressistes appellent le populisme progresse et se nourrit d’un rejet de plus en plus viscéral de la politique imposée par la Commission européenne !
A Bruxelles, Ursula von der Leyen fait ce qu’elle veut et agit comme si elle était à la tête d’une Europe fédérale.
Elle s’arroge des droits que la Constitution européenne ne lui donne pas comme nous l’avons vu durant la crise du Covid qu’elle a gérée sans en avoir mandat.
Mais ne nous trompons pas de responsable !
Elle fait tout ça parce que les chefs d’Etat des pays européens, France et Allemagne en tête, la laissent faire. Le Parlement européen, avec ses alliances de groupe des plus improbables et incompréhensibles, ne semblent pas apporter le contre-pouvoir que la démocratie imposerait.
Un des plus gros scandales de l’Europe, c’est sa politique immigrationniste et pire sa volonté de favoriser la progression de l’islam.
Voici un article du Figaro dédié à l’analyse des subventions européennes qui profitent à l’islam radical :
Subventions de l’UE : la liste non exhaustive des organisations promouvant l’islam radical financées par l’Europe
Depuis une dizaine d’années, la Commission européenne et les États membres accordent sans sourciller de très nombreux financements à des organisations controversées. Une situation longtemps dénoncée par la sénatrice UDI Nathalie Goulet.
De l’argent qui devait être distribué à des organismes respectant les « valeurs de l’UE ». Quelques jours après la publication d’un rapport au vitriol de la Cour des comptes européenne, qui tirait à boulets rouges sur la Commission européenne pour :
Le Figaro a eu accès à des documents encore plus compromettants, prouvant que l’Union des 27 n’a eu de cesse de financer ces dernières années pléthore d’organisations promouvant l’islam politique et radical.
Rappelons d’abord le fonctionnement des subventions européennes. Les organisations qui en profitent doivent porter des actions « respectant les valeurs de l’UE », à savoir la liberté, la démocratie, l’égalité, l’état de droit, les droits de l’homme … Une fois conférées, ces subventions doivent figurer dans le système de transparence financière (STF), un site internet dont le contenu est actualisé tous les 30 juin.
Mais selon la Cour, ces financements, qui se chiffrent en milliards d’euros, sont si mal octroyés et référencés qu’ils échappent à tout suivi administratif. Certains sont redirigés par les bénéficiaires vers des acteurs tiers inconnus, d’autres servent à des actions de lobbying ou enrichissent des organisations à but lucratif …
Pire : des dizaines de millions d’euros, au minimum, ont aussi été accordées ces dernières années à des associations et établissements considérés comme proches de la mouvance des Frères musulmans ou du Hamas.
L’université de Gaziantep et ses recteurs controversés
C’est par exemple le cas de l’université islamique de Gaziantep, située dans le sud de la Turquie, qui a intégré en 2022 le programme Erasmus+, géré par la Commission européenne. Cela signifie que les étudiants européens peuvent mener leurs cursus dans cet établissement scolaire, et que ses étudiants turcs pourront faire de même dans des universités européennes.
Problème: son premier recteur, Nihat Hatipoğlu, est un théologien très médiatique dans le pays transcontinental. Et il est connu pour tenir des propos particulièrement controversés. En 2014, il assure à la télévision que les athées « adorent le diable ». En 2017, il légitimait les mariages incestueux entre oncles et nièces. En 2018, il indique que l’homosexualité est un « trouble psychologique » et, en 2023, alors que son université venait de rejoindre Erasmus, il déclarait à l’aune des corans brûlés en Suède que les « misérables qui ont attaqué le livre du Tout-Puissant » finiront « enterrés dans les poubelles de l’Histoire ».
Il est remplacé la même année par un professeur de théologie islamique, Şehmus Demir, qui n’a eu de cesse d’appeler à une Palestine « libre » et à la fin de l’« apartheid » israélien. Le 14 octobre 2023, sans même évoquer les attaques terroristes du Hamas en Israël, la direction de l’université indique condamner les « crimes contre l’humanité » de Tsahal. Un boycott des marques soutenant les « crimes contre l’humanité en Palestine » est ensuite décidé par l’université … avant que le recteur et plusieurs responsables de l’université participent à des manifestations pro-Hamas sur le campus. « L’humanité résiste pour la Palestine, ne vous arrêtez pas, agissez pour l’intifada mondiale », a-t-on pu lire sur des pancartes. Enfin, un hommage a été rendu à Ismaïl Haniyeh, le chef du Hamas tué le 31 juillet 2024.
Des propos ahurissants qui n’ont pas empêché l’université d’empocher le gros lot, d’après le STF. Entre 2015 et 2023, l’« entité» Gaziantep seule a reçu 344.000 euros de subventions. Mais dans le cadre du «projet global», plus de 12 millions d’euros ont été investis et crédités auprès de bénéficiaires tiers… inconnus. Comme l’explique la Cour des comptes européenne dans son récent rapport, le règlement financier n’exige que ne soit dévoilé au public que les bénéficiaires de premier niveau – ceux qui reçoivent directement les virements de l’Union européenne. Les agences responsables des financements sont toutefois citées : il s’agit de l’Agence exécutive « Éducation, audiovisuel et culture », de l’Agence exécutive pour les petites et moyennes entreprises, de la Direction générale du voisinage et des négociations d’élargissement …
Au-delà de cette université turque, 2.818.363 euros ont été versés aux universités de la bande de Gaza. Et « plus spécifiquement, (à) l’Université islamique de Gaza, établissement qui a accueilli des cadres du Hamas tels qu’Ismail Haniyeh et Mohammed Deif , a bénéficié de 1,7 million d’euros entre 2014 et 2022 dans le cadre des programmes “Instrument européen de voisinage” et “Instrument international de coopération de voisinage” », assure la sénatrice UDI de l’Orne Nathalie Goulet, spécialiste du financement du terrorisme et qui alerte sur le sujet depuis des années.
Près de 14 millions d’euros investis pour le « secours islamique »
Entre 2014 et 2020, une ONG internationale nommée « Islamic Relief Worldwide », ou « secours islamique » en français, a directement reçu près de 6,5 millions d’euros. Au total, le « montant contractuel de l’engagement » atteignait les 13.834.433 euros. La plupart de cet argent a été transféré pour le motif d’« aide humanitaire »: cette organisation qui se veut caritative dit agir au niveau international auprès des « populations vulnérables », en Syrie, en Turquie, en Bosnie …
Dans le même temps, Israël classe l’ONG comme « organisation terroriste », la soupçonnant de financer le Hamas à hauteur de plusieurs centaines de milliers d’euros. En 2020, l’on apprend que l’un des responsables de l’ONG se voit contraint de démissionner après avoir qualifié les juifs de « petits enfants de singes et de porcs ». Son successeur, à peine nommé, quitte aussi son poste après avoir déclaré que le Hamas était « le plus pur mouvement de résistance de l’histoire moderne » et partagé sur Facebook une caricature du président Barack Obama portant une cravate avec une étoile de David.
Supposément proche des Frères musulmans, « Islamic Relief » a également affiché en 2016 sur les bus londoniens des publicités avec écrit « Subhan Allah », ou « Gloire à Allah », durant la période du ramadan. Des faits qui ont poussé plusieurs responsables politiques allemands à porter plainte contre l’ONG, et les autorités britanniques à ouvrir une enquête portant sur les véritables intentions de l’organisation, en juillet 2024.
« La plus grosse exportation de la France est juste le racisme »
Autre association ayant puisé dans les réserves de l’Union européenne: le FEMYSO, pour « Forum des organisations européennes musulmanes de jeunes et d’étudiants ». Elle représente une trentaine d’associations de jeunesse dans 22 pays européens. Parmi celles-ci, l’on peut compter sur les « Jeunes Musulmans de France », ou la « Islamische Gemeinschaft Millî Görüş » – en français « communauté islamique Millî Görüs ». Le FEMYSO a reçu entre 2014 et 2019, date des dernières données disponibles, 134.279 euros. Au global, 562.903 euros ont été engagés.
Pourtant, le Forum est habitué aux polémiques. En novembre 2021, sa présidente Hande Taner critique vertement la France dans une vidéo réalisée par le média Al-Jazeera. « Paris est actuellement la capitale du préjugé occidental » et « la plus grosse exportation de la France est juste le racisme », clame-t-elle face caméra. Sa colère s’explique par le retrait quelques jours plus tôt d’une campagne de communication que le FEMYSO avait fomenté pour le Conseil de l’Europe, afin de promouvoir l’acceptation du voile. Sur des affiches montrant des femmes voilées, l’on pouvait lire les slogans suivants: « Mon hijab, mon choix », « La beauté se trouve dans la diversité comme la liberté dans le hidjab », ou « Apportez de la joie, acceptez le hidjab ».
‘Sadly Paris is currently the Capital of western prejudice. France’s biggest export is racism’. ⁰
Our President @tnrhande on #WECAN4HRS pic.twitter.com/bSAiG8pQ1O— FEMYSO (@FEMYSO) November 4, 2021
Chargé de « développer la jeunesse musulmane en Europe », le FEMYSO est considéré comme proche des Frères musulmans. Il avait d’ailleurs apporté son soutien au Collectif contre l’islamophobie en France après sa dissolution par Gérald Darmanin, et avait jugé que « le gouvernement français soutenu par l’extrême droite et d’autres groupes extrémistes utilisait l’évènement barbare (de la mort de Samuel Paty) pour criminaliser et dissoudre le CCIF ».
#Femyso interviews Proff. Tariq Ramadan at the #RAMF2012. :). More exciting news to come. #fb pic.twitter.com/zrKxG0aw
— FEMYSO (@FEMYSO) April 8, 2012
La « Semaine de l’antiracisme et de la diversité » au Parlement européen
L’organisme à l’agenda politique trouble ayant reçu le plus d’argent de la part de l’UE est sans aucun doute l’ENAR, pour «European Network Against Racism». Celui-ci a soutenu sans commune mesure le CCIF et l’Alliance citoyenne, qui avait milité en 2022 pour le port du burkini dans les piscines de Grenoble et qui avait justifié les attentats de Charlie Hebdo, en déclarant via l’une de ses porte-parole :
N’oubliez jamais que c’est Charlie qui a dégainé le premier.
L’ENAR a reçu près de 12,5 millions d’euros entre 2014 et 2023, avec une moyenne de deux virements par an, de la part de l’Agence exécutive de recherche européenne, ou de la Direction générale de la justice et des consommateurs, entre autres. Le coût global de l’opération s’élève à 22.726.328 euros. L’ONG antiraciste, « focalisée sur l’islamophobie et dont plusieurs cadres sont associés aux Frères musulmans » d’après Nathalie Goulet, a été associée en 2023 à la « Semaine de l’antiracisme et de la diversité » au sein du Parlement européen, lors de laquelle ont été abordés durant de multiples conférences l’« héritage raciste de la langue », la « justice raciale » et comment l’inclusivité doit être analysée sous le prisme de la politique.
À l’époque, l’eurodéputé LR François-Xavier Bellamy avait dénoncé dans nos colonnes un symptôme de « l’infiltration de nos institutions par la compromission avec l’islam politique », et avait estimé que l’ENAR avait « un agenda politique bien étranger à la cause de la lutte contre le racisme ». Un constat repris par l’anthropologue Florence Bergeaud-Blackler dans Le Figaro, qui avait indiqué qu’« au sein de l’Enar, les Frères imposent leur définition du problème public “islamophobie”, leurs solutions et leur agenda au Coordinateur à la lutte contre la haine antimusulmane », un poste de la Commission européenne créé en décembre 2015.
« La question est de savoir quand allons-nous reprendre la main sur ces dérapages …», souffle auprès du Figaro Nathalie Goulet qui ne cesse depuis plus de six ans désormais d’alerter sur le financement de projets islamiques par l’Europe. « Cela ne peut pas continuer comme ça. Ce sujet n’a pas échappé à la vigilance de certains parlementaires, mais ils sont incapables d’arrêter le système », poursuit-elle. Elle cite d’ailleurs la dernière polémique en date : le financement supposé d’un « Coran européen » par l’UE, notamment dénoncé par l’eurodéputé RN et ancien directeur exécutif de Frontex Fabrice Leggeri.
Steve Tenré pour Le Figaro.




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