Avec Macron, derrière chaque décision, derrière chaque déclaration, se cache une idéologie !
Quand Macron déclare ne jamais avoir rencontré la culture française, mais avoir vu « des cultures en France », c’est son idéologie multiculturaliste qui parle !
Quand Macron laisse partir notre patrimoine industriel à l’étranger, c’est son idéologie mondialiste qu’il applique. Quand il cède aux Américains les turbines Arabelle utilisées dans nos centrales nucléaires, il montre qu’il se moque de la souveraineté française.
De la même façon, le hold-up wokiste sur la cérémonie d’ouverture des JO 2024 ne doit rien au hasard mais est juste la volonté de Macron de promouvoir le progressisme, même dans ses errements les plus vulgaires et les plus offensants pour certains Français.
Le choix de Patrick Boucheron, cet « historien » partisan de la déconstruction du Roman national français, pour la conception du spectacle était tout à fait logique pour l’Elysée.
Avant la cérémonie, Patrick Boucheron avait annoncé la couleur :
Ce sera un anti-Puy du Fou !
De ce point de vue, ce fut une réussite totale.
Ce n’en est que plus rageant quand on imagine ce qu’aurait pu être cette cérémonie si on en avait confié la conception à Philippe de Villiers et ses successeurs au Puy-du-Fou !
Mais Macron a choisi, le déconstructeur de la France éternelle, le supporter de l’extrême gauche et du Hamas, comme on a pu s’en rendre compte dans une interview qu’a donnée l’individu à la revue Grand Continent et qui a horrifié Philippe Val l’ancien directeur de Charlie Hebdo.
Comme nous le raconte cet article de la Lettre patriote :
Déclaration monstrueuse de Patrick Boucheron,
l’idéologue derrière la cérémonie de la honte
Dans un entretien au Grand Continent, le professeur au Collège de France Patrick Boucheron, qui a appelé à voter pour le Nouveau Front Populaire, qualifie les attentats islamistes de janvier 2015 d’«assassinats politiques». Un choix sémantique qui s’inscrit dans une rhétorique semblant justifier les attentats, s’est indigné Philippe Val, l’ancien directeur de Charlie Hebdo, auprès de nos confrères du Figaro.
– Dans un entretien au site en ligne Le Grand Continent, Patrick Boucheron a qualifié les attentats islamistes de 2015 d’« assassinats politiques ». Que révèle cette prise de parole ?
Philippe Val : Cette prise de parole donne une mauvaise image du Collège de France. Ne pas dire qu’il s’agit d’un attentat islamiste, mais plutôt d’un « assassinat politique », rejoint précisément le discours de Rima Hassan, ou de La France insoumise en général, dont une partie des membres refuse de prononcer l’expression de « mouvement terroriste » pour qualifier le Hamas. Parler d’« assassinat politique » pour qualifier les attentats de janvier 2015 est un choix sémantique pensé, une prise de position. Il s’explique par l’adhésion à un pacte politique, ou moral, qui justifie l’attentat terroriste, comme nous l’avons entendu à La France insoumise, ou dans les propos de Virginie Despentes : « Tuer des Juifs, des policiers ou des journalistes, ce n’est donc pas du terrorisme, mais un acte politique… » …/…
En 1972, lors de la prise d’otages et l’assassinat d’athlètes israéliens aux Jeux olympiques de Munich, Edwy Plenel ou Jean-Paul Sartre avaient largement dérapé. Ce même Sartre justifie le terrorisme dans la préface du livre de Frantz Fanon Les Damnés de la terre. Cette société intellectuelle française-là, encore aujourd’hui dominante, s’inscrit dans une longue tradition de collaboration au terrorisme, à l’horreur, qui rejoint une forme de tolérance bienveillante pour les crimes les plus abominables. Pendant des années, ces mêmes intellectuels n’ont jamais reconnu les crimes du stalinisme et qualifiaient d’extrême droite tous ceux qui les dénonçaient. Aujourd’hui, on en retrouve une trace infamante au Collège de France dans un entretien écrit dont on peut penser qu’il a été soigneusement relu. La responsabilité de Patrick Boucheron l’oblige à s’expliquer. La responsabilité de l’intellectuel réside dans le devoir de vérité. Or, au XXe siècle et au XXIe siècle, le devoir de l’« intellectuel compagnon de route » a surtout consisté à mentir. …/…
Si le monde doit souffrir d’une religion, c’est plutôt de la religion musulmane quand elle gouverne un pays, comme en Iran. La cérémonie d’ouverture des JO n’était peut-être pas le bon moment pour se moquer des chrétiens. Sinon, il fallait se moquer de plusieurs religions. Pourquoi avoir choisi seulement les chrétiens, alors qu’ils sont persécutés partout dans le monde musulman ? Non seulement ce choix n’est pas courageux, mais il n’est pas pertinent. Le sens politique de ce passage, parce qu’il est cautionné par le Collège de France, reste choquant.
Philippe Val pour Le Figaro (et rapporté par la Lettre patriote).
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Une réponse à “Macron n’avait pas choisi Patrick Boucheron au hasard !”
Le degenerecence a atteint profondement les couches politicardes,
surtout de goche, sauf pour quelque ‘uns plutot dans la vraie droite en general…