Macron ramasse ses boules puantes dans le caniveau

Il y a un mois, Israel a été victime d’un véritable pogrom !

Durant ce même mois, plus de 1 000 actes antisémites ont été relevés dans nos rues et la plateforme de signalement sur internet, Pharos, a reçu plus de 6 000 signalements.

Parallèlement, les manifestations autorisées ou interdites selon l’humeur des préfets et des juges se succèdent.

On n’y voit aucun drapeau israélien mais des drapeaux palestiniens ! On n’y entend aucun slogan de défense et de compassion vis-a-vis des 1400 morts innocents massacrés par le Hamas mais au contraire des slogans pro-palestiniens hostiles à Israel.

Depuis ce dernier mois, la France Insoumise a jeté le masque et tient des propos franchement antisémites. Les députés de LFI refusent de qualifier le Hamas de mouvement terroriste et la sinistre Danièle Obono ne voit en lui qu’un mouvement de résistance !

Par ailleurs, de nombreux incidents venant de la communauté musulmane – dont on aimerait penser qu’ils émanent d’une minorité – viennent inquiéter les Français en leur faisant craindre de vivre bientôt en France ce que  Israel vient de vivre !

Pour illustrer, cette inquiétude, je voudrais prendre un seul exemple, ô combien symbolique.

Il s’agit d’un fait divers qui est venu des Petits chanteurs à La Croix de bois qui ont entonné, dans le métro parisien, la célèbre chanson de Charles Trenet, « Douce France ».

Douce France, cher pays de mon enfance,
bercé de tant d’insouciance,
je t’ai gardé dans mon coeur.
Mon village, au clocher, aux maisons sages,
où les enfants de mon âge,
Ont partagé mon bonheur …

Il faut rendre hommage à ces jeunes enfants qui ont su, dans l’ambiance morbide d’aujourd’hui, spontanément choisir cette chanson qui concentre en si peu de vers tant de valeurs nostalgiques :

Enfance, insouciance, coeur, village, clocher et bonheur !

Cette chanson ne pouvait, ne devait qu’apaiser les tensions, et appeler à chacun à la modération. Malheureusement, cette chanson a déclenché sur les réseaux sociaux un torrent de haine dont voici quelques extraits :

Ça sent la France rance, voire la famille de cathos consanguins qui moleste le cadet dans la cave,
C’est pas très coloré, tout ça, et surtout très blond. Les heures sombres sont décidément de retour. J’aurais été très mal à l’aise dans ce métro.
Ah, bordel, des cathos intégristes Ça vaut pas plus que les autres.

Pourtant les paroles de Douce France tranchaient, par leur douceur, avec un chant antisémite entendu, quelques jours auparavant dans le même métro, dans un véritable appel à la haine :

Nique les Juifs et nique leur mère […]
On est des nazis, on est fiers !

L’heure est gravissime et une fois de plus la gauche se déshonore en tentant une diversion parfaitement dégueulasse – je n’ai pas trouvé d’autres mots !

Une formidable opération de diversion

Depuis deux ou trois jours, l’extrême gauche mais aussi, honteusement, la gauche dite modérée, ont lancé avec l’aide complaisante des médias, une campagne qui tend à allumer un contre-feu, à installer un écran de fumée pour cacher l’origine arabo-musulmane du pogrom du 7 octobre.

Il s’agit de déplacer les projecteurs, de les enlever des arabo-musulmans pour les braquer sur l’extrême droite !

Depuis combien de temps n’a t-on pas vu, en France, un acte antisémite en France attribuée à l’extrême droite ? Des mois, des années, peut-être des décennies ?

Et pourtant, un complot gaucho-médiatique vient de sortir de la naphtaline le fondateur du Front National, Jean-Marie Le Pen, en sommant les responsables du Rassemblement national, Marine Le Pen, et Jordan Bardella, de se battre la coulpe en confirmant qu’il reconnaissait l’antisémitisme du fondateur du Front !

Le malheureux Jordan Bardella, qui n’était même pas né aux heures sombres de la naissance du Front National, est malheureusement tombé dans le piège d’un gauchiste déguisé en journaliste en refusant de reconnaitre que Jean-Marie Le Pen était antisémite.

L’excellente Marion Maréchal, soumise à la même question par Sonia Mabrouk, a tiré les enseignements de la bévue de Jordan Bardella, et s’est sortie brillamment de l’épreuve (voir la vidéo en fin d’article).

Et depuis la presse et la gauche en font des gorges chaudes !

Mais qu’a à voir, alors que Jean-Marie Le Pen, à 95 ans, est retiré de la vie politique, le fait qu’il soit ou non un antisémite avec des bébés coupés en deux, leurs mamans violées par des arabo-musulmans du Hamas ?

Le fait que Marine Le Pen ait viré de son parti son propre père et ses partisans douteux, ne suffit pas, selon la gauche, à l’absoudre des fautes de son père !

Demande t-on à Olivier Faure, et à tous les socialistes, qui s’étaient rangés derrière François Mitterrand, l’homme qui reçut la Francisque des mains de Pétain, et maintint jusqu’au bout ses amitiés avec la Cagoule et René Bousquet, si François Mitterrand était antisémite ?

Et là arrive l’argument massue de la gauche : « Oui, mais Mitterrand, lui, n’a jamais été condamné par la Justice » à laquelle on répondra :

• D’abord, parlez-vous de la justice du« Mur des cons » qui punaisait sur un mur d’infamie, les politiques de droite ?
• Certes, la Justice n’a pas condamné François Mitterrand, mais pour nous, à droite, l’Histoire avec un grand H, s’en est chargée !

Il s’agit en fait d’une diversion grossière et scélérate de la gauche alors qu’une partie d’entre elle, vient de tomber le masque en tenant des propos ouvertement antisémites !

Mais il y pire que cette scélératesse !

Que les politiciens de bas étage de la gauche se comportent aussi bassement , et qu’ils soient assistés, dans leur sombre besogne, par des médias qui les soutiennent, n’étonne personne, surtout parmi le peuple de droite.

Mais que le président de la République, garant de la cohésion nationale, s’agenouille dans la fange du caniveau, pour y reprendre la boule puante laissée par les gauchistes, est inadmissible.

C’est pourtant ce à quoi s’est abaissé Emmanuel Macron, en visite chez les Francs-Maçons, en taclant Jordan Bardella pour sa déclaration malencontreuse :

Veillons à toutes les confusions dans une époque où les uns préfèrent rester ambigus sur la question de l’antisémitisme par souci de flatter de nouveaux communautarismes et les autres prétendent soutenir nos compatriotes de confession juive en confondant le rejet des musulmans et le soutien des juifs, en refusant, ceux-là mêmes, de condamner clairement leurs positions passées et tous les mots définitifs d’hier.

Certes, la France Insoumise est également mouchée par Macron mais renvoyer dos à dos LFI et le RN, stratégie constante de la Macronie, est parfaitement injuste.

Est-il juste d’opposer le soutien au Hamas – et donc la justification du massacre des juifs – affiché par LFI au refus maladroit du RN de reconnaitre l’antisémitisme du fondateur du Front National ?

Nous laisserons aux juifs le soin de savoir, d’où vient le danger pour leur communauté, d’un LFI soutien de leurs bourreaux, ou du RN qui soutient sans réserves la communauté juive !

En conclusion

Honte à la gauche d’utiliser un tel subterfuge pour tromper les Français. C’est la preuve qu’elle panique devant la progression du Rassemblement national qui lui, a pris la mesure du danger que représente pour la France aussi, la menace islamique.

Honte aux journalistes de se faire les valets de cette gauche dévoyée en harcelant les responsables du RN et en épargnant les comportements anti-républicains de LFI !

Honte, enfin, à Macron, qui s’abaisse à utiliser les mêmes procédés que la gauche et ses médias aux ordres.

Ce faisant, ce n’est, ni le RN, ni Marine Le Pen qu’il attaque. Il gifle juste les 13 288 686 Français qui ont voté Marine Le Pen le 24 avril 2022 !

Voici la vidéo de l’interview de Marion Maréchal par Sonia Mabrouk. La question sur l’antisémitisme de Jean-Marie Le Pen arrive 13 minutes après le début :

Je rajoute, après coup, une intervention de Gilles-William Goldnadel, qui me semble raccord avec mon article, en ajoutant le point de vue d’un juif français :

@veroreconquete #CapCut ♬ son original – Encore du Panache

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