« L’islam ne reconnaît pas la liberté de conscience.
C’est quand même absolument terrifiant ! »
Ce propos, tenu quelques jours après l’assassinat de Samuel Paty par une enseignante de l’université d’Aix-Marseille lui a valu plusieurs menaces de mort.
Pour être complet, l’enseignante avait ajouté sur un ton plus humoristique : l’islam et le judaïsme sont des :
« religions sexuellement transmissibles »
faisant allusion au fait que l’on naît musulman par son père et juif par sa mère.
Si les deux affirmations sont pures vérités, on peut comprendre que certains trouvent la seconde maladroite avec ce rapprochement des religions des maladies sexuellement transmissibles. Mais ça ne vaut en tout cas pas des menaces de mort !
Concernant la non reconnaissance de la liberté de conscience, rappelons qu’un musulman, selon le Coran, n’a pas de droit de changer de religion (apostasie) sous peine de mort encore appliquée dans plusieurs pays.
Ce n’est pas l’avis d’Edwy Plenel qui n’a pas hésité à révéler dans les colonnes de Mediapart, sa feuille de chou islamo-gauchiste, le nom de l’enseignante en qualifiant ses propos d’islamophobes comme en atteste son tweet :
L’enseignante est maintenant sous protection policière et elle a porté plainte le 6 janvier dernier contre Mediapart pour mise en danger d’autrui.
Le magazine Le Point a également révélé que l’avocat de l’enseignante dénonçait les agissements de la vice-présidente de la Commission nationale consultative des droits de l’homme (CNCDH) qui aurait diffusé un extrait audio du cours incriminé lors d’échange de mails au sein de la CNCDH avec la mention « à vomir ».
Hier encore, 21 janvier, l’article de Mediapart contenait toujours le nom et le prénom de la principale intéressée.
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