Avant toute chose, il me faut rendre hommage à Madame Gisèle Pélicot pour son courage et son incroyable résilience. Car supporter pendant trois mois l’exposé de faits ignobles dont elle fut victime et entendre les avocats des accusés s’en prendre à elle, défient l’entendement.
Le malaise que j’évoque dans mon titre ne concerne pas madame Pélicot mais plutôt l’environnement du procès.
Tout d’abord, on peut trouver anormale l’ahurissante différence de traitement médiatique entre le procès de l’affaire Pélicot et le procès de l’assassinat de Samuel Paty, qui, selon moi a été totalement marginalisé.
Avec ce lourd sentiment que tout ce qui rompt avec le récit de l’immigration heureuse est systématiquement minimisé voire ignoré par les médias …
C’est ensuite, le retentissement de ce procès dont visiblement on veut faire un exemple. Le cas de l’affaire Pélicot est un cas extrême de violences faites aux femmes. En faire un exemple, est très dangereux car elle conduit à un amalgame de faits de nature et d’intensité totalement différentes.
Je m’inscris en faux sur cette Une du journal l’Humanité :
Bien au contraire, le caractère extrême des violences faites à Madame Pélicot relève du fait divers et non du fait de société. Une fois encore, la gauche qui refuse absolument que les affaires qui se répètent régulièrement comme les affaires Thomas, Lola, Philippine, montre sa totale partialité.
Ce sont les néoféministes qui tentent d’imposer la notion perverse de continuum dans ce qu’elles appellent la « culture du viol ». Pour elles, entre la remarque sexiste déplacée et le viol il n’y a pas de différences de nature, mais juste une différence de niveau.
L’affaire Pélicot est un cas extrême dans la perversité et dans la violence faite à cette femme. On ne peut l’assimiler à toutes les formes de violences contre les femmes.
En manifestant bruyamment autour du palais de justice où se jugeait l’affaire Pélicot, ces néoféministes avancent sur ce continuum en prétendant défendre toutes les femmes victimes de violences, et donc, en creux, assimilent tous les hommes à ce pervers extrême qu’est M. Dominique Pélicot.
Ces féministes ont fait remarquer que Dominique Pélicot était un « bon père de famille », et en apparence « un bon époux ». Il y a derrière ces propos l’idée que potentiellement, tous les « bons pères de famille », peuvent se comporter comme Dominique Pélicot !
Et c’est insupportable, pour tous les hommes qui, comme moi, respectent les femmes !
Ce point de vue est partagé dans cet article de Breizh-Info qui dénonce la récupération de l’affaire Pélicot par les néoféministes mais aussi sur leurs indignations à géométrie variable, les poussant à condamner le patriarcat blanc et à ignorer les agresseurs racisés :
Les féministes à géométrie variable :
l’affaire Gisèle Pélicot et le silence sur l’immigration
L’affaire Gisèle Pélicot, tragique et sordide, a permis une fois de plus à certaines figures du féminisme de gauche de déployer leur discours obsessionnel :
tous les hommes seraient des prédateurs, potentiels Dominique Pélicot en puissance.
Leur diatribe est connue, leur cible tout autant : la masculinité en tant que concept et réalité. Mais au-delà des slogans et des condamnations à sens unique, c’est l’hypocrisie crasse de ces militantes qui saute aux yeux.
Car dans cette affaire, un fait demeure obstinément étouffé par leurs cris d’orfraie : au moins 14 des 51 agresseurs condamnés, soit 27 %, sont des immigrés extra-européens. Cette surreprésentation – que dénonce des féministes de droite comme Némésis depuis des années – ne relève pas d’un hasard statistique, mais bien d’un problème systémique qu’elles refusent de voir en face. Pourquoi ? Parce que pour ces féministes, l’ennemi, le vrai, n’est pas l’agresseur ou le criminel. Non, leur obsession est bien plus insidieuse : détester l’homme blanc occidental.
Quand le féminisme devient une arme contre l’homme occidental
Soyons clairs : toute agression, tout viol est une horreur qui doit être dénoncée et punie. Mais pourquoi ce silence gêné dès qu’il s’agit d’évoquer l’origine des agresseurs ? Pourquoi l’affaire Gisèle Pélicot n’a-t-elle pas déclenché une vague de questionnement sur le fait que les extras européens sont surreprésentés parmi les condamnés ?
La réponse est simple : ces féministes, qui se targuent de défendre les femmes, sont avant tout animées par une haine viscérale de l’homme occidental. Pour elles, chaque agression est une opportunité de condamner le « patriarcat blanc » et d’ignorer commodément les réalités sociologiques lorsqu’elles contredisent leur idéologie. Les hommes immigrés extra-européens, eux, bénéficient d’une indulgence incroyable, car dénoncer leur responsabilité reviendrait à briser le totem sacré de l’antiracisme.
Les chiffres qui dérangent
Regardons les faits. Dans l’affaire Pélicot, un quart des condamnés minimum sont des immigrés extra-européens, une proportion largement supérieure à leur poids dans la population. Ces statistiques ne sont pas nouvelles : les immigrés non européens sont surreprésentés parmi les auteurs de violences sexuelles en France, et ce depuis des années. Pourtant, cette réalité est systématiquement passée sous silence par les féministes de gauche, trop occupées à conspuer un « patriarcat blanc » imaginaire.
Pire encore, ces militantes n’hésitent pas à utiliser des tragédies comme l’affaire Pélicot pour alimenter leur guerre idéologique contre les hommes en général. Leur discours réduit chaque individu à son sexe, effaçant toute nuance, toute réalité.
Tous les hommes seraient des prédateurs en puissance, et chaque femme une victime potentielle.
Une vision aussi caricaturale que dangereuse.
En refusant de nommer le problème de l’immigration massive et ses conséquences sur la sécurité des femmes, ces féministes se rendent complices. Complices d’un système qui tolère l’arrivée de populations aux pratiques parfois profondément misogynes. Complices d’une idéologie qui sacrifie les victimes sur l’autel de l’antiracisme.
Et pendant qu’elles hurlent à la « culture du viol » occidentale, des quartiers entiers échappent à la loi. Ces zones où les femmes n’osent plus marcher seules, où les lois patriarcales importées supplantent les droits fondamentaux. Mais chut ! Parler de cela serait raciste, paraît-il.
Reprendre le contrôle de la narration
Il est temps de sortir de cette hypocrisie. L’affaire Gisèle Pélicot doit être un électrochoc, non pas pour condamner tous les hommes, mais pour ouvrir les yeux sur les véritables causes de l’insécurité des femmes. Oui, le féminisme a sa place dans notre société, mais pas ce féminisme-là. Pas ce dogme qui préfère accuser en bloc les hommes blancs plutôt que de regarder la réalité en face.
Ce féminisme est un outil d’oppression, une arme idéologique utilisée pour détruire les fondements mêmes de notre civilisation. À nous de reprendre la main et de défendre un féminisme enraciné, qui protège réellement les femmes sans sacrifier la vérité sur l’autel de l’idéologie.
Les masques doivent tomber. L’affaire Pélicot n’est pas seulement le symbole d’un drame individuel. Elle est le miroir déformant d’une société malade de ses mensonges. À nous de refuser ces silences complices et ces discours dévoyés. La vérité, toute la vérité, doit être rétablie, coûte que coûte.
Julien Dir pour Breizh-Info.
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Une réponse à “Mon malaise derrière l’affaire Pélicot”
Un crime ignoble que cette affaire,
bien d’autres furent commis, avec acte de barbarie, torture, et victimes brûlées pour faire disparaitre leur corps qui aurait, merité d’etre mis en avant par les medias de goche ou corrompus, afin de faire diminuer ces crimes.
Meme dans cette affaire abjecte, la politique s’en mele :
Il y a deux types de feminisme,
celui de la goche qui fait du deux poids deux mesure, le le violeur est de couleurs, on ne les entendra pas,
s’il est blanc, tous les medias de goche et neogochofelministe hurleront…
Le deuxieme feminime, celui de la vraie droite, conspue tous les viols quelques soit la couleur de la peau.
Ce feminisme est combattue par la goche fêlée.