Non, Big Pharma n’est pas responsable de tout !

Un des grands plaisirs, dans la tenue de ce blog, est de découvrir dans les commentaires laissés par les contributeurs, un texte bien structuré, ou présentant une idée ou une position quelque peu originale.

Ce fut le cas ce matin, avec une contribution de Guillaume P. qui porte un regard pertinent sur cette crise qui a réussi à renverser la démocratie en seulement quelques mois.

Pour Guillaume P. toute la responsabilité n’est pas à chercher dans la toute puissance des laboratoires pharmaceutiques et dans leurs médecins rétribués pour prêcher la bonne parole sanitaire.

Le mal était dans le fruit bien avant l’arrivée du covid-19 ! Et c’est plus dans l’Etat profond et les moeurs politiques françaises qu’il faut rechercher les causes de ce désastre.

Voici le texte de Guillaume P.

Bonjour,

Pour voir si c’est le chien qui agite la queue ou l’inverse, il ne faut jamais oublier de comparer les ordres de grandeurs et tous les éléments pour voir si une explication tient la route.

1 – Les bénéfices « mondiaux » des Big Pharma représentent 9 jours de dépense du seul état français et 526 millions représentent 3h15 de dépense de l’état français ! En deux heures les « représentants » de la « majorité » font des lois qui claquent 10 ou 100 fois cette somme sans sourciller.

2 – Médias « publics », assemblée, Conseil constitutionnel, justice ne sont pas « achetés » par Pfizer et pourtant ils sont aux premières loges de cette prise de contrôle totalitaire et ils l’étaient déjà avant le covid.

Ça ne peut pas être les « intérêts financiers ». La bourgeoisie de pouvoir se fait bien plus d’argent en pillant simplement les impôts et trop de gens ne sont en rien affiliés à « Big Pharma », l’explication est plus complexe et plus simple à la fois : le pouvoir.

Macron a largement témoigné de son ivresse du pouvoir avant même le Covid.

Sous la férule de l’Etat profond socialiste, le pays s’effondre et dans une démocratie normale avec des médias et une justice neutre tous ces gens seraient balayés. Ils sont très minoritaires, le mécontentement est très fort et ils doivent donc utiliser des méthodes totalitaires pour garder le pouvoir.

Campagne de presse haineuse, apocalyptique, méthodes de contrôle de la population, justice corrompue, procès politisés : la répression et les manipulations contre ceux qui sont dangereux pour le pouvoir sont extrêmes et dans cette histoire ni les vaccins, ni la santé public, ni la corruption de certains médecins ni Pfizer ne comptent le moins du monde, la plupart de ces choses existaient avant même le covid.

1 – Le pouvoir ne peut pas abandonner le narratif « apocalypse covid+passe vaccinal » sans se discréditer à quelques mois des élections. C’est en partie une fuite en avant.

2 – Les méthodes de contrôle et le maintien de la propagande permet de faire taire toute opposition et de maintenir un narratif « positif » pour eux qui fait oublier leur bilan désastreux sur … tout.

3 – Trop de gens n’ont aucun lien avec Big Pharma. Macron s’est simplement entouré de « médecins » et de gens qui étaient d’accord pour continuer le narratif et les méthodes de contrôle. Qu’ils soient complètement cons, intéressés par le pouvoir ou que quelques-uns soient corrompus n’est pas la question, tant qu’ils vont dans le bon sens.

4 – Le jour où il n’a plus besoin de Pfizer et que le bilan « sanitaire » devient encombrant, je vous parie ma chemise qu’en deux jours il y aura une campagne de presse et des procès pour absolument tout leur coller sur le dos en se dédouanant totalement de toute responsabilité. « Macron ne savait rien » il a « écouté ces gens », « il est effaré » blablabla.

Conclusion:

Le pouvoir tout simplement !!!

Le pays bascule dans l’authentique fascisme et l’argent n’a jamais été la motivation du totalitarisme socialiste.

C’est une partition déjà jouée des dizaines de fois, même en URSS il y avait des opportunistes, mais ce n’étaient pas eux qui manipulaient le pouvoir, mais le pouvoir qui se servait d’eux. D’ailleurs, ils mourraient beaucoup dès qu’ils ne servaient plus ou devenaient encombrants.

Cordialement,

Guillaume P. pour A droite, fièrement !