« Notre Drame de Paris » à l’Elysée ? Vous voulez rire !

Après François Hollande, et Emmanuel Macron, l’élection d’Anne Hidalgo à la présidence de la République sonnerait comme une véritable descente aux enfers !

Quand on est Anne Hidalgo, il faut avoir sacrément la grosse tête pour imaginer une seule seconde qu’on pourrait être élue, et, pire, qu’on pourrait réussir dans le redressement d’une France mise à terre par la pandémie !

Vous me direz que le médiocre Hollande a bien été élu.

C’est vrai, mais le bilan d’Anne Hidalgo à la tête de la capitale est tellement catastrophique qu’on espère tous que les Français ne referont pas la même erreur …

Car, à part avoir diminué la circulation automobile prix d’embouteillages monstrueux, qui peut me citer un point positif du bilan d’Anne Hidalgo ?

Voici quelques informations sur le bilan d’Anne Hidalgo tirées d’un article paru dans l’Incorrect et intitulé :

Enquête : comment Anne Hidalgo a ruiné Paris

Cette semaine, Anne Hidalgo a présenté le plan de relance de Paris. Hier, dans Les Échos, elle appelait l’État à un investissement massif pour relancer l’économie parisienne. Madame le maire veut dépenser 1,4 milliard d’euros en 2021 dans son plan et elle souhaite que l’État mette la même somme. Regardons son budget 2021 de plus près.

Comparons les budgets des capitales européennes :

• Paris : 9,4 milliards d’euros soit 4 272 euros par habitant,
• Le Grand Londres : 22 millards d’euros soit 2 480 euros par habitant,
• Madrid : 4,8 Milliards d’euros soit 750 euros par habitant.

Anne Hidalgo dépense donc 1,7 fois moins que Londres et 5,6 fois moins que Madrid ! Et la ville Madrid est-elle plus sale et moins sûre que Paris ?

Une armée de fonctionnaires !

La mairie de Paris emploie … 50 000 personnes 20 % de plus que la Commission européenne qui gère … 1une population 193 fois plus grande !

La masse salariale, depuis 2011, a cru de 22 % pour atteindre 2,5 milliards d’euros alors que la population parisienne a baissé de 14 %.

L’environnement plutôt que la sécurité !

La sécurité, avec 24 millions d’euros, ne représente que 6 % du total, et 2 % de l’investissement. L’insécurité n’a pas l’air d’être un problème pour tout le monde. On s’en réjouit. Et puis il faut bien trouver 719 millions pour l’environnement. L’agriculture urbaine, voilà une priorité. La reine Anne va consacrer près de 10 millions à l’achat de terres agricoles et au financement de fermes d’élevage. Paris possède sans doute le potager le plus cher du monde, avec une subvention de 200 000 €.

C’est le prix de l’immobilier qui remplit les caisses

C’est un comble de constater que sous un mandat socialiste, c’est la hausse de l’immobilier qui s’accompagne d’une désertion des classes populaires de Paris. Les riches vous remercient, madame Hidalgo !

La ville perçoit ainsi 934 millions des droits fiscaux sur les transactions immobilières mais comme elle a dépensé 10 milliards entre 

2015 et 2020, Anne Hidalgo utilise une pratique plus que douteuse : quand elle confie un immeuble à un bailleur social, elle se fait verser en une fois la part de la Mairie sur les décennies de loyers qui seront payés par leurs résidents. Le fusil est à un coup. Et elle emprunte le reste.

La dette s’envole !

En 10 ans, antre 2011 et 2021, Bertrand Delanoë et Anne Hidalgo ont fait passer la dette de 2,5 à 7 milliards d’euros (+180 % !)

L’article conclut :

En résumé, Anne Hidalgo vide sa ville de ses familles. Chaque année, elle dépense en une fois des décennies de revenus et assèche les futurs budgets. Ses dépenses ne créent pas de valeur pérenne. Elle n’investit pas dans ce qui fait venir les familles dont elle a besoin pour cofinancer ses écoles et équipements. Ses charges vont mécaniquement augmenter et ses capacités d’emprunt baisser. Il faudra augmenter les impôts et tailler dans les prestations.

En attendant, madame le maire demande à l’État de mettre la main à la poche pour l’aider. Et personne n’imagine une politique destinée à générer du développement structurellement sain.

Anne Hidalgo ferait un excellent président de la République.

Emmanuel Rechberg pour l’Incorrect.