Notre société est en pleine décadence car elle abandonne peu à peu ses valeurs les plus profondes.
Les politiques ne se préoccupent que du court terme, jamais de notre avenir. Leur horizon le plus lointain ne dépasse pas leur prochaine réélection !
Alors ils tentent d’atténuer ou de cacher sous le tapis les symptômes des problèmes de la France sans jamais s’attaquer aux causes. Les exemples sont légion :
- Un proviseur est menacé de mort par des élèves ou leurs parents ? On le déplace ou on le met à le retraite !
- Une école est menacée par la proximité d’un point de deal ? On construit un mur autour de l’école !
- Des migrants harcèlent les femmes à la Chapelle-Pujol ? Caroline de Haas (Osez le féminisme) propose d’élargir les trottoirs !
- A Metz, une Française est violée par un nigérian dans un parking ? Le maire met en place des zones réservées aux femmes !
C’est ce dernier point qui a inspiré à Jean Kast, cet article de Boulevard Voltaire :
Bus réservés aux Juifs à Londres,
places de parking pour les femmes en France
Nous vous en parlions l’été dernier. À la suite du viol d’une Française par un migrant nigérian, au mois d’août, dans un sous-sol de Metz, le maire de la ville a eu une riche idée : réserver aux femmes des places de parking. Celles-ci sont situées « à proximité des sorties » afin de permettre aux dames de prendre plus facilement la poudre d’escampette à l’approche d’hommes aux intentions louches… Il était prévu d’en installer une cinquantaine à travers la ville, mais face au plébiscite, la mairie a doublé les emplacements et, aussi, ajouté des caméras.
Depuis, la disposition semble ravir les conductrices. « Quand on doit se déplacer dans l’obscurité, on se sent davantage rassurées, c’est indéniable », témoigne ainsi Sylvie, jeune maman interrogée par Le Parisien. « C’est une très bonne initiative, abonde une autre, cliente du centre commercial Saint-Jacques, en centre-ville. Car Metz est devenue une ville anxiogène. » Anxiogène, pour ne pas dire dangereuse…
La banalisation de l’inacceptable
La bien-pensance veut nous faire croire que les hommes d’avant se comportaient affreusement avec les femmes et que la révolution MeToo aurait changé la donne. Il n’en est rien. Viol, tentative de viol, agression sexuelle, proxénétisme, harcèlement sexuel, exhibition… les crimes et délits à caractère sexuel (hors cadre familial) enregistrés par la police et la gendarmerie ont encore été en hausse de 6 %, sur l’année 2023. Mais plutôt que de lutter efficacement contre cet essor intolérable des violences sexuelles, les autorités s’y adaptent. Elles font avec.
À Paris, la RATP a testé, fin 2023, son nouveau dispositif contre les violences sexistes et sexuelles avec des « safe places », c’est-à-dire des endroits dans lesquels se réfugier en cas d’agression. Sur le même principe, les fêtes de Bayonne se sont parées, depuis 2022, du logo « Safe Toki » – signifiant « lieu sûr », en anglo-basque, et qui signale les peñas où sont accueillies les femmes en danger. À Marseille, enfin, l’appli « Safer Plages » permet aux victimes de harcèlement de lancer l’alerte et de déclencher l’intervention d’une équipe de médiation spécialisée…
https://twitter.com/marseille/status/1829413811549245749
L’initiative de Metz fait immanquablement penser à une autre expérimentation, faite cette fois à Londres, où une ligne de bus spéciale a été lancée dans le but de permettre aux citadins de confession juive de se sentir « en sécurité lorsqu’ils voyagent ». À Berlin, les autorités locales sont allées encore plus loin et ont carrément déconseillé aux Juifs et aux homosexuels de se rendre dans les « quartiers dans lesquels vivent une majorité de personnes d’origine arabe ».
Jusqu’où ira cette démission du politique ? Conseillera-t-on, bientôt, aux Juifs de partir en Israël s’ils veulent rester en vie ? Invitera-t-on les femmes à se voiler pour ne pas être agressées sexuellement ? Ou peut-être à rester à la cuisine et à s’emmurer vivantes, comme c’est désormais la règle en Afghanistan ?
L’impensé migratoire
Plutôt que de multiplier partout les « safe spaces », il s’agirait de s’attaquer à l’une des racines du problème. Celle-ci est bien connue de ceux qui s’intéressent au sujet : on sait, en effet, de source officielle, que, s’ils ne représentent que 8 % de la population vivant en France, les étrangers commettent 13 % des violences sexuelles. Leur part bondit dans les zones où ils sont fortement présents, comme en Île-de-France où ils sont les auteurs d’une grosse majorité (63 %) des agressions sexuelles commises dans les transports en commun. Le harcèlement de rue est également un fléau dont l’origine étrangère est reconnue par tous. « Quand on a fait la loi sur le harcèlement de rue en 2018, nos premiers opposants n’étaient pas des réactionnaires voulant conserver le droit à importuner, mais des collectifs dits féministes intersectionnels qui avaient peur de stigmatiser les « hommes racisés », se souvient Marlène Schiappa, à l’origine du projet. Leur raisonnement part du principe que le harcèlement de rue serait commis par des hommes racisés et qu’il serait très urgent de protéger ces agresseurs parce qu’eux-mêmes seraient victimes d’on ne sait quelle oppression dans leur vie personnelle… »
En attendant, notre société paraît condamnée à multiplier les zones d’apartheid sexuel et, finalement, à restreindre la liberté fondamentale des femmes à aller où elles le souhaitent.
Jean Kast pour Boulevard Voltaire.
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Une réponse à “On traite les symptômes, jamais les causes !”
C’est la goche pseudo progressiste qui accepte bien volontiers de ne rien faire qui puisse remettre en cause leur interets, c’est a dire une immigration forcenée, avec la misere du monde qui s’installe, en plus des problemes en france.