Où s’arrêtera toute cette violence gratuite ?

Publié par le 25 Jan, 2020 dans Blog | 0 commentaire

Où s’arrêtera toute cette violence gratuite ?

Pourquoi toute cette violence ?

Quand je me promène sur mon fil Twitter, je suis sidéré du nombre de vidéos qui témoignent de la violence gratuite qui semble avoir pris possession de nos rues.

Notamment à Paris, les actes de violence explosent et la sécurité devient un enjeu majeur pour les prochaines élections municipales.

Je vous propose ce matin une vidéo, prise au hasard, et tout à fait typique de ce qui se passe tous les jours en France. J’ai vu bien pire dans le passé mais j’ai choisi un cas avec un niveau de violence « moyen » – si l’on peut dire – pour ne pas donner dans l’extrême.

Je remarque plusieurs choses sur cette vidéo :

  • L’extrême jeunesse des assaillants,
  • Le nombre de participants qui s’acharnent sur une seule victime,
  • Des noirs – semble t-il – s’acharnant sur un blanc,
  • La gratuité apparente de cette violence.

Rien ne m’horripile plus que ces bons gauchistes qui répètent sur les plateaux télé que la violence a toujours existé, qu’il n’y a rien de nouveau et que, de plus, il ne faut pas faire l’amalgame entre la violence et l’immigration. On nous revoie souvent aux fameux blousons noirs des années 50/60 …

Je suis assez âgé pour me souvenir de ces années-là !  Il est vrai que j’habitais alors à Asnières, dans Les Hauts-de-Seine et que des blousons noirs sévissaient dans les rues. Chevauchant leurs mobylettes gonflées et en échappement libre – la fameuse spécial 50 de Motobécane – , ils se livraient parfois à des bagarres sur la voie publique.

Voici un extrait d’un article trouvé sur un blog dédié aux blousons noirs des années 50 :

Les « blousons noirs » sont décrits comme des asociaux qui se battent à coups de chaînes de vélo (ou de moto), de coups de poing américains voire de couteaux à cran d’arrêt, qui cherchent la bagarre pour défendre leurs territoires urbains, particulièrement autour des portes de Paris, ou en faisant des descentes dans des bals ou des fêtes. Peu après, les journalistes forgèrent le terme « blousons dorés » pour désigner les jeunes fils de la bourgeoisie qui se faisaient remarquer dans les faits divers, par opposition aux « blousons noirs » qui étaient plutôt issus de milieux populaires.

Mais par rapport aux violences d’aujourd’hui on note d’énormes différences :

Les auteurs de violence sont beaucoup plus jeunes aujourd’hui (à partir de 12 ans) alors que les blousons noirs recrutaient plutôt chez les 17-20 ans.

Les bagarres mettaient le plus souvent aux prises, des bandes les unes contre les autres pour des défenses ou des conquêtes de territoires. On pouvait aussi trouver des bagarres entre deux individus, mais à l’époque, on n’aurait jamais vu une bande de barbares s’acharner sur un seul homme à terre !

De la même façon, dans les cours d’école, on pouvait assister à des bagarres entre deux élèves. Les autres élèves faisaient cercle autour des deux « furieux » en criant «  du Sang, du sang !  » Mais du sang, il n’en coulait jamais !

Et on ne voyait jamais dix élèves frapper un seul jeune à terre !

Cette violence d’aujourd’hui est effrayante

Elle est effrayante parce qu’elle touche de très jeunes enfants. Effrayante car l’on comprend que ces jeunes violents ont perdu tout repère, tout sens moral. Avant on pouvait se battre pour l’honneur, pour ne pas s’abaisser devant un rival, pour impressionner les filles (à l’époque, on disait les « quilles » !).

Mais où est l’honneur quand on tabasse un seul être humain à plusieurs ?

Il y a un énorme problème d’éducation notamment dans les populations issues de l’immigration. Oui, je sais, je ne suis pas politiquement correct ! J’ai lu que dans 70 % des familles noires immigrées en France, le père a déserté le foyer familial. Que peut faire une femme seule face à des grand dadais maliens de 1m80, qui passent une grande partie de la journée, et de la nuit, dans la rue ?

J’ai été frappé par le témoignage d’une psychologue qui affirmait que certains jeunes sont incapables de lire sur le visages des autres le moindre sentiment.

On est mal ! Très mal !

Et pourtant, Edouard Philippe et Emmanuel Macron laissent encore entrer 279 000 immigrés chaque année en France …

Serons-nous contraints, un jour, de voter pour l’extrême droite pour arrêter cette irresponsabilité mortifère ?

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