Dans la grande série, je suis complotiste, je reviens à la charge avec un nouvel article sur le réchauffement climatique qui bat en brèche les allégations selon laquelle le CO2 produit par l’Homme en est responsable.
Il s’agit d’un article du précieux blog de Patrice Gibertie qui fait état d’études qui, à partir de l’analyse des carottes glaciaires démontrent que les variations de température du globe dépendent principalement des variations de l’inclinaison de l’axe de rotation de la Terre.
Rappelons par ailleurs les chiffres concernant le CO2 :
– Dans l’atmosphère il n’y a que 0,042 % de CO2 ?
– Dans ce CO2, l’homme n’en produit que 5 %, la nature, 95 % ?
– La France, quant à elle, produit 0,9 % du carbone mondial !
– Au final, le Français est donc responsable du CO2 à concurrence de : 0,19 millionième !
Comment est-il possible que l’Europe et la France se suicident industriellement pour cette transition soi-disant écologique basée sur des modèles du GIEC hautement contestables ?
D’ailleurs l’examen de la carte mondiale des pays qui ont décidé de bannir les moteurs thermiques dès 2035 est édifiant :
Voici l’article du blog de Patrice Gibertie :
L’étude des carottes glaciaires prouve que les hausses de CO2 sont liées à l’inclinaison de l’axe de la terre . De même pour la tectonique des plaques .Vaches et diésel innocentés
Nous présentons ici un enregistrement de dioxyde de carbone à haute résolution mesuré sur une carotte de glace de l’Antarctique entre 260 000 et 190 000 ans, qui révèle sept sauts de dioxyde de carbone supplémentaires. Dix-huit des 22 sauts identifiés au cours des 500 000 dernières années se sont produits dans un contexte de forte obliquité. Les simulations réalisées avec un modèle du système terrestre de complexité intermédiaire pointent vers l’océan Austral et la biosphère continentale comme les deux principales sources de carbone lors des sauts de dioxyde de carbone liés aux événements de rafting de glace de Heinrich. Notamment, la biosphère continentale apparaît comme la source de dioxyde de carbone dépendante de l’obliquité pour ces événements brusques. Nous démontrons que le forçage externe à l’échelle orbitale a un impact direct sur les changements brusques du dioxyde de carbone atmosphérique dans le passé.
Le forçage orbital est l’effet sur le climat de lents changements d’inclinaison de l’axe de la Terre et de la forme de l’orbite (voir les cycles de Milankovitch). Ces modifications orbitales influent sur la quantité de rayonnement solaire atteignant la Terre de jusqu’à 25 % aux latitudes moyennes (de 400 à 500 W/m2 à 60 degrés de latitude)[réf. nécessaire]. Dans ce contexte, le terme de « forçage » signifie un processus physique affectant le climat de la Terre.
https://www.nature.com/articles/s41561-024-01556-5
https://agupubs.onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1029/2024GC011713
De temps à autre, lorsque les plaques tectoniques de la Terre se déplacent, la planète émet un long et lent rejet de dioxyde de carbone. Dans une nouvelle étude de modélisation publiée dans Geochemistry, Geophysics, Geosystems , R. Dietmar Müller et ses collègues montrent comment ce gaz libéré des profondeurs de la Terre a pu affecter le climat au cours du dernier milliard d’années.
Les volcans, les cheminées sous-marines et les dorsales médio-océaniques se trouvent tous là où les plaques terrestres entrent en collision ou se séparent. Chacune de ces structures permet au dioxyde de carbone de s’échapper des profondeurs de la planète et de pénétrer dans l’atmosphère. Bien que leur impact sur le climat soit mineur par rapport aux émissions anthropiques , on pense que les gaz libérés par les profondeurs de la Terre ont un impact substantiel sur la composition de l’atmosphère terrestre à l’échelle des temps géologiques.
Les scientifiques ont souvent estimé le volume de ces émissions de carbone en se basant uniquement sur le gaz libéré par la tectonique des plaques. Mais la tectonique des plaques peut également capturer du carbone en l’incorporant dans la nouvelle croûte formée sur les dorsales médio-océaniques. Dans cette nouvelle étude, les chercheurs se sont appuyés sur deux études récentes sur le mouvement des plaques au cours du dernier milliard d’années pour modéliser plus précisément la quantité de dioxyde de carbone générée par ce processus.
Les résultats du modèle sont cohérents avec la façon dont le climat de la Terre a évolué au fil du temps. Par exemple, les périodes pendant lesquelles le modèle suggère que davantage de carbone a été libéré correspondent aux périodes les plus chaudes de l’histoire de la Terre, comme le début de la période édiacarienne il y a environ 653 millions d’années.
Les périodes qui, selon le modèle, auraient pu connaître des niveaux plus faibles de dégazage de carbone coïncident avec des périodes plus froides de l’histoire de la Terre, comme la période de la « Terre boule de neige », il y a 700 à 600 millions d’années.
La recherche suggère également que la rupture de la Pangée a permis la libération de grandes quantités de dioxyde de carbone à mesure que les plaques de la planète s’éloignaient, ce qui est cohérent avec le réchauffement qui aurait eu lieu à cette époque.
L’activité tectonique est un facteur déterminant de la composition atmosphérique de la Terre au cours des temps géologiques, concluent les chercheurs. Malgré les avancées récentes, il reste encore beaucoup à apprendre sur la manière dont le mouvement des plaques tectoniques affecte le cycle du carbone de la planète.
Pour conclure, l’Association des Climatologies-Réalistes communique les records d’enneigement observés récemment, ce qui relativise cette notion de réchauffement climatique, et l’hystérie qui va avec :
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