Oui, nous avons un problème avec l’islam !

Sale temps pour l’islamo-gauchisme !

Par islamo-gauchisme, je parle de la doctrine notamment de la France Insoumise mais j’y inclus aussi sa forme molle incarnée par la gauche en général. Les deux variantes agissant par idéologie et par électoralisme.

Les deux derniers attentats perpétrés au nom de l’islam ont, me semble t-il, durablement ébranlé les tabous que la gauche a imposés à la France depuis des années.

Plusieurs affirmations de la gauche – souvent des diktats non négociables – ont été démenties par l’assassinat d’un professeur et de plusieurs chrétiens dans une église.

Comme par exemple :

1. Il n’y a pas de lien entre immigration et terrorisme,
2. L’islamisme n’a rien à voir avec l’islam,
3. Les islamistes ne sont qu’une infime minorité en France.

Le premier point tombe quand on sait que les trois derniers terroristes étaient des immigrés respectivement Pakistanais, Tchétchène et Tunisien !

Le deuxième point est notoirement affaibli quand on mesure la mollesse des réactions de la communauté musulmane. Notamment, illustré par la déclaration du président du CFCM qui confirme que le droit au blasphème doit être supprimé en France,

Quand au dernier point, un récent sondage nous a confirmé que 40 % des musulmans de France placent la charia au dessus des lois de la République et que la proportion parmi les jeunes de moins de 25 ans est de … 74 % !

L’attentat contre Charlie Hebdo n’est pas condamné par seulement 8 % des Français. Mais cette proportion atteint 18 % chez les musulmans et … 26 % chez les jeunes musulmans !

Cela veut dire qu’il n’y a pas de frontière précise entre les musulmans intégrés et les musulmans radicaux, mais un continuum.

Il me semble qu’aujourd’hui, il est moins iconoclaste de prétendre qu’il y a un double problème. Un gros problème avec l’islam radical, mais aussi un certain problème avec l’islam tout court !

Tout part des textes régissant l’islam !

Et ça commence mal quand on nous assure que le coran est une émanation directe de Dieu, et qu’à ce titre, aucune modification humaine ne peut y être apportée ! Il y a également les “Hadiths“ qui sont des interprétations du coran qui ont donc une origine humaine et donc contestable.

Pour que l’islam soit compatible avec la république, il faudrait au moins que certaines parties des hadiths soient abrogées.

Il y a sûrement des dizaines de points incompatibles avec nos lois mais j’en vois deux qui sont inacceptables en France :

• La peine de mort en cas de blasphème contre le prophète,
• La peine de mort en cas d’apostasie (musulman reniant sa religion).

Mais il faudrait du courage pour faire bouger les choses !

Pourquoi ne pas encadrer l’islam comme l’Etat a su le faire, dans le passé, avec le catholicisme et le judaïsme ?

Les « Lumières » puis plus tard, la loi sur la laïcité, avaient su remettre la religion catholique à sa place et ce fut parfois au prix d’une certaine violence. Napoléon, par le concordat de 1801, avait forcé les Juifs à se structurer et à devenir une religion comme une autre.

Mais qui osera faire la même chose avec l’islam ?

Pourquoi ne pas rédiger une charte de l’islam contenant un certain nombre d’engagements (pas de prêches subversifs, acceptation du blasphème, acceptation de l’apostasie, etc …) ?

Evidemment, cette charte ne serait pas rédigée spécifiquement pour l’islam, et serait proposée toutes les religions.

Seules les églises, les synagogues et les mosquées acceptant
de signer cette charte seraient autorisées à recevoir des fidèles !

Rassurez-vous, cela ne se fera pas ! En tout cas, pas sous Macron ! Mais si les choses devaient dégénérer un peu plus, cela pourrait devenir plus crédible.

En tout cas, certains politiques sont loin d’imaginer, même, ce genre de contraintes pour l’islam !

Regardez cette vidéo dans laquelle Patrick Karam donne des leçons de morale à Alexandre Del Valle qui ose critiquer les mosquées qui refusent de renoncer à la peine de mort pour le blasphème.

Quand je vois que Patrick Karam est conseiller régional d’Île de France (UMP), cela me conforte dans ma décision d’avoir renvoyé ma carte d’adhérent au siège des Républicains.