Trop, c’est trop !
Nous, peuple de droite, nous refusons de continuer à financer avec nos impôts la propagande sans foi ni loi du « Sévice public de l’odieux visuel » comme l’a surnommé le pugnace avocat Gilles-William Goldnadel !
Nous n’acceptons plus que la ministre de la culture Rima Abdul-Malak ose menacer les chaines CNnews et C8, au nom d’un supposé manque de pluralisme, alors qu’elle laisse France Inter et France 5 déverser, à longueur d’antennes, une propagande gauchoprogressiste continue !
Pour la même raison, nous refusons que l’ARCOM ose demander à CNews de décompter les temps de paroles d’une dizaines de chroniqueurs dont Jean Messiha et Gilles-William Goldnadel du côté des partis de droite auprès desquels ils ne sont pas membres !
Ça suffit !
Oui, nous demandons l’expulsion immédiate de l’antenne de Patrick Cohen qui vient de se déshonorer lui-même et aussi France 5, en produisant une chronique mensongère et partisane !
Et ceci, en attendant la privatisation de toute la partie information du Service public !
Voici des extraits d’un article du Club de Valeurs actuelles qui suggère aussi cette privatisation :
Mort de Thomas à Crépol :
Quand Patrick Cohen relance le débat
sur la privatisation du service public
L’indignation provoquée par la chronique du journaliste sur l’attaque de Crépol fait ressurgir un vieux serpent de mer de la droite : faut-il en finir avec l’audiovisuel public ?
Trois minutes et une poignée de secondes pour relativiser la descente meurtrière des huit jeunes de Romans-sur-Isère sur le bal Crépol. « Les faits, rien que les faits », assure-t-il sans broncher. Vérification.
Ils sont venus pour s’amuser, pour draguer des filles. Pas d’incident jusqu’à la dernière chanson de la soirée, « Tchikita » du rappeur Jul, débute le journaliste. C’est là que, d’après les mis en cause, l’un des participants au bal, un rugbyman, aurait tiré les cheveux longs d’un des membres du groupe, le traitant de “Tchikita”, c’est-à-dire de fille sexy. Altercation, bagarre, les offensés sortent des couteaux. Un adolescent de 16 ans s’effondre, poignardé à mort. Il s’appelait Thomas.
Les faits, rien que les faits ?
Patrick Cohen élague, divague. La version des assaillants présumés se voit ici présentée comme la vérité la plus absolue. Pas un mot sur les témoignages glaçants de connaissances des victimes. « On est là pour planter des Blancs. » Certains riverains présents ce soir-là jurent l’avoir entendu.
Les faits, rien que les faits ? Pourtant, Patrick Cohen ne daigne pas rappeler que neuf personnes sont mises en examen pour « meurtre en bande organisée », « tentative de meurtre » et « violences volontaires commises en réunion ».
Pas un mot non plus sur le casier judiciaire de l’individu soupçonné d’avoir porté le coup fatal à Thomas. Le jeune homme de 20 ans avait pourtant déjà été condamné pour « port d’arme blanche ou incapacitante de catégorie D sans motif légitime ».
Je saute la partie de l’article dédiée aux réactions à la chronique pour en venir à l’éventualité d’une privatisation du service public de l’audiovisuel.
L’audiovisuel public payé par nos impôts reflète la vision sociétale et politique d’environ 30 % des Français », regrette Olivier Babeau, auteur d’une note remarquée à droite sur la refondation de l’audiovisuel public en 2016 pour la Fondapol.
L’économiste y préconisait alors la privatisation d’une partie des chaînes et stations radios du service public pour recentrer les missions des médias d’État vers la défense de la culture et du patrimoine français.
À droite, c’est mission privatisation
Une vision partagée au sein des droites patriotes. Chez Reconquête, on prône un virage radical. Selon Eric Zemmour, France 2, France info et France inter devraient être intégralement privatisés, France 24, TV5 Monde recentrés sur « la voix de la France à l’international », France 5, France Culture et Arte consacrés exclusivement à la mise en valeur du patrimoine, France 3 et France Bleu placés sous le contrôle des collectivités locales.
« L’audiovisuel public est censé être la maison de tous les français, confie Stanislas Rigault, patron de Génération Z, mouvement jeune de Reconquête. Il n’est pas possible qu’une minorité s’en serve pour imposer une idéologie gauchiste à toute la société. »
Lors de la dernière campagne présidentielle, Marine Le Pen proposait, elle, de supprimer la redevance audiovisuelle. Une suggestion reprise et appliquée par Emmanuel Macron. Au RN, on plaide toujours pour une privatisation massive, qui exclurait cependant les chaînes et stations d’outre-mer, Arte et l’INA, qui serait transférée au ministère de la Culture.
Une proposition de résolution sera déposée en janvier 2024 par la députée RN Caroline Parmentier, ancienne journaliste et attachée de presse de Marine Le Pen.
Bénéfice de la réforme ? 3 milliards d’euros. Une affaire !
Sébastien Lignier pour Le Club de Valeurs actuelles.
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2 Réponses à “Patrick Cohen : DEHORS !”
Ce toto est indigne et signe une fois de plus sa perversion, qu’il deguise en journalisme.
Ce genre d’individu trahit sans vergogne la France, et le fait que les médias dans l’ensemble ne le condamnent pas les met presque tous dans le même panier.
Ils ne valent rien dans l’ensemble et ne sont bons qu’a nuire et trahir le peuple.