Quand je vous dis que le salut de l’Occident viendra des pays de l’Est (Pologne, Hongrie) voire de Russie, on me dit que j’exagère et que la démocratie reste à l’ouest !
Pourtant si l’on juge de ce qui se passe actuellement en Russie pour la vaccination, ça donne à réfléchir !
Cet article de Breizh-info nous rapporte ce que vient de décider Vladimir Poutine, un homme souvent qualifié de dictateur par les soi-disant démocraties libérales de l’Ouest:
Poutine : il ne faut pas imposer le vaccin anti-covid aux gens
Dans une réunion avec les membres du gouvernement russe ce 21 juillet, Vladimir Poutine s’est exprimé sur le vaccin anti-covid et les réticences d’une partie de la population russe à l’égard d’une vaccination obligatoire. A rebours des autorités de divers pays européens – dont la France, mais aussi le Portugal, la Grèce ou l’Irlande, qui semblent avoir décidé de compliquer au maximum la vie des non vaccinés (pass sanitaire, quarantaines obligatoires, amendes salées), il s’est prononcé fermement contre l’obligation vaccinale.
« La plupart des gens comprennent qu’il faut se vacciner contre le coronavirus », a-t-il déclaré. « On ne doit pas imposer le vaccin de force, mais expliquer aux gens, répondre à leurs question. Il est très important de convaincre les gens de la nécessité de vacciner, il n’y a que comme cela que nous pourrons dresser un rempart contre l’épidémie ».
Le 30 juin dernier, Poutine s’était prononcée contre la vaccination obligatoire de la population, tout en précisant que les régions – qui disposent en Russie de compétences sanitaires – ont le droit de la rendre obligatoire à certaines catégories de travailleurs jugées indispensables pour la poursuite de l’activité économique et la vie quotidienne.
Certaines régions ont, en ordre dispersé, rendu obligatoire la vaccination aux professeurs, artisans taxi, travailleurs du secteur marchand, de l’hôtellerie-restauration ou encore aux médecins. Néanmoins, du fait de fortes tensions sociales et d’effets délétères pour la restauration – les établissements ont perdu de 60 à 95 % de leurs recettes – le pass sanitaire a été supprimé à Moscou à peine trois semaines après sa mise en place.
La vaccination de certaines catégories de la population alimente aussi de fortes tensions sociales dans certaines régions, suscitant l’inquiétude du pouvoir dans la mesure où des forces politiques extérieures – ou des médias subventionnés par des pays étrangers, ce qui est le cas d’un certain nombre de portails d’information locaux en Sibérie – soufflent sur les braises.
Les dirigeants russes se souviennent aussi de leur Histoire – ce que les dirigeants français semblent avoir oublié – et notamment des révoltes populaires contre les mesures de quarantaine (déjà), notamment en 1771 et surtout en 1830-31 à Sébastopol – où les mesures de quarantaine ont du être annulées sous la pression de la foule – Staraja Roussa, Tambov, en Transcarpathie et en Pologne…
La Russie a actuellement quatre vaccins anti-covid, Sputnik V, EpivacCorona, Covivac et Sputnik Light. D’après les derniers chiffres disponibles ce 21 juillet, 33.6 millions de russes (22 %) ont au moins une dose de vaccin, 22.6 millions deux doses (15 %), sur une population de 146 millions d’habitants.
Louis-Benoît Greffe pour Breizh-info.com
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2 Réponses à “Poutine, ce dictateur qui refuse d’imposer la vaccination”
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Emploi en politique
— Le vaccin Sputnik V, du laboratoire russe Gamaleya, utilise la protéine S (ou protéine de spicule) complète du SARS-CoV-2, dont le gène est inséré dans le génome d’un adénovirus humain non réplicatif de type 26 ou de type 5.
Chaque dose de vaccin Sputnik V contient 10¹¹ particules virales recombinantes (de l’adénovirus 26 ou bien de l’adénovirus 5) exprimant la protéine S.
–> Protéines recombinantes exprimant la protéine spike.
Méfiance, je préfère attendre un peu, même si les études sont, en apparence positives
(je n’ai pas trouvé la composition du « Like » qui serait « semblable, mais en même temps différente….)
CoviVac
ce dernier utilise un virus inactivé, une technologie plus classique. Le ministère précise qu’il est, pour l’heure, uniquement recommandé aux personnes âgées de 18 à 60 ans.
–> Il serait donc l’équivalent de « notre » Valneva que « notre » gouvernement a refusé de fiancer, ce qui fait que ce sont la GB et L’Autriche qui seront les premiers servis
–> EpiVac
Le vaccin repose sur des antigènes peptidiques des protéines du SRAS-CoV-2 synthétisés chimiquement, conjugués à une protéine porteuse et adsorbés sur un adjuvant contenant de l’aluminium (hydroxyde d’aluminium). Le vaccin ne contient pas le virus vivant et forme une immunité grâce aux peptides synthétisés artificiellement.
Selon les chercheurs, les peptides et la partie virale de la protéine chimérique devraient immuniser les personnes ayant reçu ce vaccin contre le coronavirus SRAS-CoV-2 et déclencher la production d’anticorps protecteurs.
–> cela ne m’inspire pas, d’autant que comme Pfizer et Moderna, « ils » envisagent une troisième piquouse!!!
(quasi même procédé!)
Pour le reste, ma foi, si il y en a qui veulent se faire vacciner, qu’ils le fassent.
Ce n’est pas ma santé, c’est la leur, ce n’est pas ma responsabilité c’est la leur
(ils larguent la potéine spike et j’en sais quelque chose, car ma muqueuse nasale s’enflamme jusqu’à la micro hémorragie, heureusement pour moi,dès que j’en croise un.
ils peuvent être contaminés et contaminer, cette dernière éventualité, me dérangeant davantage, même si les non vaccinés sont eux aussi éventuellement contaminant, bien entendu)
Mais qu’on impose le choix : NON!
–>
Au dela de la vaccination il est bien mieux que beaucoup de politiciens a l’ouest !