« Prochaine pandémie : ne vous inquiétez pas ! »

Partout sauf en France, les preuves de l’inefficacité totale des vaccins ARN et de leur dangerosité avérée, sont publiées et largement diffusées.

Droits dans leurs bottes – qui méritent le terme de godillots – les médias français maintiennent l’omerta qu’ils ont pratiquée depuis le tout début de la pandémie.

Leur aveuglement et leur entêtement n’a d’égal que ceux de certaines instances internationales comme l’OMS qui a démontré sa toxicité et l’Union européenne à l’origine du plus grand scandale sanitaire – et surtout financier – de son histoire.

Ursula von der Leyen avait négocié, avec le PDG de Pfizer, Alfred Bourla, l’achat de plus de 10 doses de vaccins par européen – un chiffre en lui-même aberrant – via des SMS qu’elle refuse de transmettre au Parlement européen.

Et voila qu’elle vient de signer un nouveau contrat exorbitant de 325 millions de doses, toujours avec Pfizer ! Et pour une hypothétique future pandémie !

Mais pourquoi Pfizer ? Alors que le laboratoire a échoué dans la fourniture d’un vaccin efficace et inoffensif contre le covid-19 et qu’il a été condamné à de multiples reprises dans le passé pour fraude et contrefaçon !

Mais n’oublions pas que les vrais coupables de ce nouveau scandale sont les chefs d’Etat des pays européens et, pour nous, Emmanuel Macron qui laissent faire Ursula Von der Leyen.

Voici la Lettre alternatif Bien-être qui dénonce ce nouveau contrat :

Cher ami,

L’UE vient de passer un (nouveau) contrat exorbitant avec Pfizer pour… un vaccin qui n’existe pas encore, contre une maladie encore inconnue.

J’ai cru à un canular quand j’ai lu la dépêche de l’agence Reuters à ce sujet.

En 2020 il y avait déjà eu un méga-contrat passé entre l’UE et Pfizer pour une commande de vaccins anti-Covid.

Ce contrat avait fait couler beaucoup d’encre :

• Son coût réel reste aujourd’hui inconnu –il est assurément dément, puisqu’en trois contrats l’UE a, tenez-vous bien, commandé au seul Pfizer 1500 millions de doses (300M en novembre-décembre 2020 + 300M en mai 2021 + 900M en mai 2021) ;
• Les négociations – menées à coups de SMS entre Ursula von der Leyen, présidente de la Commission Européenne, et Albert Bourla, PDG de Pfizer – restent inconnues des citoyens, Mme von der Leyen ayant toujours refusé de rendre ces échanges publics.

Plusieurs eurodéputés ont réclamé, à nouveau en janvier 2023, de la transparence sur ces contrats[1] … en vain.

Mais là, aujourd’hui, rebelote…

325 millions de nouvelles doses de vaccins viennent d’être « commandées » par l’UE à Pfizer.

De vaccins contre le Covid ? Non.
De vaccins contre la grippe ? Non plus.
De vaccins contre le papillomavirus ? Non.
Une hépatite ? Le rhume ? Non non non …

325 millions de doses de vaccins … contre rien.

Le chèque en blanc de la Commission Européenne à Pfizer

Lisez bien : le Commission Européenne affirme que l’Europe doit « mieux se préparer contre de futures pandémies »…

… alors elle commande 325 millions de doses de vaccins contre… une maladie hypothétique [2].

L’accord se double d’un « plan de guerre » pour assurer la recherche et la production de ces futurs vaccins :

La Commission a sélectionné les usines de Pfizer en Irlande et en Belgique pour réserver des capacités de production de vaccins à ARNm. Il a sélectionné les sociétés espagnoles Reig Jofre et Laboratorios Hipra SA pour réserver des capacités pour les vaccins protéiques et Bilthoven Biologicals B.V. des Pays-Bas pour les vaccins à base de vecteurs (viraux) [3].

En d’autres mots, l’UE réquisitionne des centres de recherche et/ou de production au profit de Pfizer, en prévision de l’apparition d’une nouvelle pandémie.

Ce contrat est d’une durée de 4 ans, extensible à 8 ans.

Le montant et les conditions de ce contrat, à nouveau, n’ont pas été rendus publics. 

Personne ne sait pas pourquoi.

Et si c’est une gigantesque épidémie … bactérienne ?

D’un point de vue sanitaire, ça n’a pas sens.

Qui est capable de prédire que la prochaine pandémie sera virale et qu’il y aura besoin d’un vaccin ? Cela pourrait tout à fait être une épidémie bactérienne – d’autant plus plausible que la résistance aux antibiotiques explose – il faudra alors plutôt accélérer la recherche d’un nouvel antibiotique adapté.

Par ailleurs, parier sur l’élaboration et la production industrielle d’un vaccin en quelques mois n’a pas de sens. Lors du Covid, l’improvisation et le non-respect des règles d’essais cliniques ont régné. Et là, on nous remet exactement dans le même scénario.

Autre bizarrerie : pourquoi Pfizer ?

Quand bien même un laboratoire pharmaceutique parvenait à sortir un vaccin en battant des records de vitesse , face à une future maladie X …

…qui peut dire à l’avance que le « vainqueur » de cette course sera Pfizer ?

Tout cela est fort étrange, pour ne pas dire trouble.

La Commission Européenne travaille-t-elle avec des devins ?

Deux explications sont possibles :

Première explication : la Commission Européenne travaille avec des devins, qui lui ont assuré, on ne sait comment – marc de café ? observation des étoiles ? lecture dans des viscères de chien ? – qu’une nouvelle pandémie de l’ampleur du Covid allait nous tomber dessus très bientôt.

Seconde explication : la Commission Européenne et Pfizer profitent de « l’ambiance Covid » et de la peur qu’elle a provoquée pour passer des accords exorbitants, avec notre argent, sans consulter ni les citoyens ni les eurodéputés sur le sujet.

Dans le premier cas, nous sommes face à un problème de santé publique : où est l’autorité scientifique légitime ? Sur quelles bases fonde-t-elle ses prévisions ?

Dans le second cas, on a affaire à une manœuvre politico-industrielle … avec son cortège de conflits d’intérêts.

« Nous savons ce qui est bon pour vous et votre santé »

Mais il y a un problème encore plus profond.

L’Union Européenne, les États, les laboratoires pharmaceutiques, en agissant comme ils le font, vous transmettent un message.

Nous savons ce qui est bon pour vous et votre santé.

Ils en prennent le contrôle. Ils jouent sur la peur du lendemain.

Devez-vous vous soumettre à ces solutions que le gouvernement décide pour l’avenir sans vous consulter ?

Devez-vous financer, avec vos impôts, ces décisions qui vont d’abord faire la fortune des laboratoires pharmaceutiques ?

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