Dans une sublimation de la théorie du « En même temps », Macron s’apprête à présenter sa loi sur l’immigration après avoir nommé à un poste stratégique du Conseil d’état, Thierry Tuot, un pro-immigrationniste compulsif.
Sans doute caresse t-il l’espoir hypocrite que le fameux auteur du rapport Tuot en faveur de l’immigration, rétoque sa loi avant même qu’elle puisse être appliquée …
Pendant que la France se laisse submerger par la vague migratoire, d’autres pays légifèrent pour tenter de maitriser l’envahissement que la Macronie encourage en France :
- les Britanniques s’apprêtent à priver du droit d’asile – à vie ! – toute personne entrée clandestinement sur le sol anglais !
- les Danois voient l’immigration se réduire après une législation anti-immigration très sévère,
- les Suédois, après une décennies de laxisme, se reprennent et attaquent frontalement le problème migratoire,
- même le président de la Tunisie décide et exécute une remigration vers l’Afrique subsaharienne !
- Giorgia Meloni, elle, s’attaque à la Commission européenne dans le même but !
C’est ce que nous rapporte Nicolas Gauthier dans cet article de Boulevard Voltaire :
Immigration clandestine :
l’Italie de Giorgia Meloni défie la Commission européenne
Quand on veut lutter contre l’immigration clandestine, on peut. La preuve par l’Angleterre et même par la Tunisie. Combattre ce fléau, l’Italienne Giorgia Meloni, présidente du Conseil, le veut, manifestement. D’où l’arsenal juridique qu’elle présente au peuple qui l’a élue.
De telles mesures étaient évidemment à hauts risques, depuis le naufrage d’un bateau d’immigrés clandestins, afghans pour la plupart, ce 26 février, aux alentours de Cutro, dans le sud de l’Italie. Bilan ? 72 victimes à déplorer. Si une telle tragédie était survenue sur les côtes françaises, nul doute que nos autorités, après avoir joué les pleureuses, auraient illico promis une loi nouvelle visant à renforcer le contrôle technique sur les navires passablement fatigués.
La pétulante Giorgia Meloni prend une tout autre voie, proposant au contraire une loi permettant d’infliger des peines de prison allant jusqu’à trente ans pour les passeurs :
On notera que le pape François, sortant pour une fois de son ambiguïté coutumière – jésuite un jour, jésuite toujours –, a été droit au but, ce 5 mars :
Que les trafiquants d’êtres humains soient arrêtés, qu’ils ne puissent plus disposer de la vie de tant d’innocents.
Ficelle comme à son habitude, c’est précisément cette phrase que Giorgia Meloni a choisi de graver dans le marbre de la stèle érigée sur les lieux de ce naufrage. Et d’en profiter, au passage, pour proposer une restriction drastique des droits jusque-là accordés à la masse des indésirables. Parmi ces restrictions, les permis de séjour, à l’en croire trop généreusement attribués pour des raisons humanitaires souvent assez vagues. Dans la foulée, la nouvelle dame de fer italienne tient en ligne de mire ces pays qui « collaborent », de près ou de loin, au juteux business de la misère, leur promettant, s’ils persistent, une réduction drastique des visas de leurs ressortissants.
Sans grande surprise, son opposition ronchonne. Mais pas trop fort non plus, car sa politique est plus que populaire, dans ce pays placé en première ligne face à la déferlante migratoire. Ainsi, Laura Boldrini, député du Parti démocrate (centre gauche) et ancienne porte-parole du Haut-Commissariat de l’ONU pour les réfugiés, assure-t-elle une sorte de service minimum en affirmant :
Rien n’est fait pour une bonne politique italienne de gouvernance de l’immigration.
Dans le registre C’est pas parce qu’on n’a rien à dire qu’il faut fermer sa gueule, le fameux film de Jacques Besnard tourné en 1975, la déclaration ne peut que faire sourire.
Prévenant les critiques à venir, Antonio Tajani, patron de la diplomatie italienne, affirme, non sans raison :
Ni l’Italie, ni aucun autre pays n’est capable d’affronter seul des situations internationales complexes.
Seule, non. Mais seule, l’Italie l’est de moins en moins.
Ainsi, l’Angleterre, autre pays européen, ne l’est certes que lorsque cela l’arrange. Mais il serre aussi la vis de l’immigration. Comme la Hongrie, l’Autriche, la Suède, le Danemark et d’autres, qui pourraient bien basculer à courte échéance. Bref, il n’est pas improbable que le Vieux Continent finisse par sortir de cette torpeur à base d’angélisme niais et de ces vilaines arrière-pensées voulant qu’une immigration de masse puisse résoudre ses problèmes de natalité, de retraites et de main-d’œuvre peu qualifiée.
En ce sens, il n’y a guère, entre les trafiquants de l’immigration et Ursula von der Leyen, matrone de la Commission européenne, qu’une menue différence : elle veut importer des immigrés en masse.
Qui pourrait s’indigner que des aigrefins les lui fournissent sur un plateau ?
Nicolas Gauthier pour Boulevard Voltaire.
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Une réponse à “Quand Giorgia défie Ursula …”
L’italie et certains pays de l’UE s’attaque a ce probleme d’immigration, sauf la france evidement corrompue au niveau de dirigeants et de la pseudo justice, qui invente a chaque fois des pretextes loufoques et mensongers pour nier les problemes de l’immigration et l’insecurité / violence envers las autochtones
et nier la volonté faites par eux de changer la composante demographique du pays.
Les dirigreant agissent comme des forcenés pour eviter de regler les problemes, en inventant un langage lié a une pseudo bien pensance qui etabli les regle de la pensée et limite la realité a ce que veulent entendre les dirigeant pourri, de la pseudo biren pensance.
Si la realité est mis trop en evidence, la pseudo justice intervient pour mettre en proces ceux qui osent montrer la realité pene et entiere, le reste, c’est du bla bla comme les propos de haine mis a toutes les sauce contre les opposants a leur idée corrompues.
La republique des pseudo bien pensant, bananiere et corrompue
se moque du peuple et manipulant les chiffres, la realité, et en modifiant les valeurs chez les jeunes a l’ecole pour leur faire imaginer une autre realité, celle des corrompus.