Les progressistes ne sont qu’outrecuidance et arrogance.
Ils veulent détruire l’Histoire parce qu’elle s’inscrit souvent en faux contre leurs théories ou parce que, bien souvent, ils ne la connaissent ou ne la comprennent pas.
Il faut des siècles pour construire une Nation, des millénaires pour une civilisation. Et ces progressistes et autres fanatiques du mouvement « Woke » et de la « Cancel culture« , voudraient tuer nos nations et renverser notre civilisation en dix ans !
Resté passif depuis trop longtemps, le peuple de France semble prendre désormais conscience du danger. L’incroyable succès de CNews – Merci à Monsieur Vincent Bolloré – est dû à la volonté d’y faire entendre une autre musique que les berceuses de la bien-pensance et les comptines du politiquement correct.
Décidément, Eric Zemmour avance sur tous les fronts …
En regardant, hier soir, une interview de Sébastien Le Fol par Mathieu Bock-Côté, je remarquais une fois de plus la hausse du niveau intellectuel de la chaine CNews par rapport aux autres chaines d’infos.
Pour sauver la culture française – qui existe bel et bien contrairement à ce que prétend Macron – , pour sauver notre pays, et au final notre civilisation, la première des choses à défendre, c’est notre patrimoine.
C’est pourquoi j’aimerais partager avec vous, l’édito de Bertrand de Saint Vincent paru dans le dernier Figaro :
Extension du domaine de la lutte.
Que devient la France ? Son passé, ses paysages, ses monuments, sa culture ?
Le patrimoine s’impose comme un enjeu majeur. Il étend son champ d’action. Chacun sent que tout est lié : l’histoire, que l’on n’apprend plus à l’école, les édifices que l’on laisse à l’abandon, les sites que l’on défigure, les grands hommes que l’on déboulonne. Même la baguette, candidate au patrimoine mondial de I’Unesco, témoigne de la grandeur française.
Il y a urgence à défendre ce qui fonde la nation. C’est une question de survie. Sans racines, tout s’efface. Les talibans l’ont bien compris, qui dynamitent les bouddhas de Bamiyan; Daech, qui détruit les trésors de Palmyre. En France, les fossoyeurs avancent masqués. Animés par une idéologie souterraine – souvent enrobée d’écologie -, ils rêvent de faire table rase d’un passé qu’ils exècrent. Adieu, châteaux, symboles d’un ordre féodal, églises, lavoirs où les femmes courbaient le dos, villages où l’on grandissait entre soi. Il faut « libérer » l’homme de ce qui le rattache à lui-même pour en faire un objet flottant, dépourvu de repères, facilement manipulable.
Cette perception confuse que quelque chose d’essentiel est en train de mourir agite les réseaux sociaux. Ils s’animent, se mobilisent, s’indignent. Cela va de l’enjouée défense des bancs de Paris à des souscriptions salvatrices en faveur de chefs d’oeuvre en péril. Parfois, ce sont de simples photos que les internautes échangent en hommage à la mystérieuse beauté d’un lieu.
Les consciences s’éveillent. Même les politiques s’y mettent, c’est tout dire. Nicolas Sarkozy, revigoré, appelle à lutter contre les tentatives de « désaffiliation civilisationnelle ». « Donnez aux Français une cathédrale à construire ensemble, et ils s’aimeront », s’enflamme Arnaud Montebourg, citant Saint-Exupéry. Le candidat souverainiste prône une aide massive pour aider les vieilles maisons de village à renaître.
Le combat est lancé; il est de civilisation. Nous n’avons plus les moyens de le perdre.
Bertrand de Saint Vincent pour Le Figaro.
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5 Réponses à “Que devient la France ?”
Ma grand-mère, qui avait son certif cuvée 1910 avait plus de culture, plus d’orthographe et plus de connaissances qu’un bachelier cuvée 2021. Tant que nous n’aurons pas résolu la dérive de l’enseignement, nous continuerons de couler. Rien n’est plus facile à mater qu’un peuple ignorant abreuvé de propagande, à qui les maîtres ont désappris le sens critique.
Conclusion, la France est moribonde, je ne vois rien à l’heure actuelle qui puisse troubler son agonie.
Tout à fait d’accord mais là encore c’est la totale responsabilité de la gauche avec ses théories pédagogiques à la Bourdieu et ses profs votant tous à gauches et attachés à transmettre plus d’idéologies que de savoirs. Encore aujourd’hui je suis effarée de voir ce qu’on essaie de passer dans la tête des enfants sur le climat sur l’esclavage la colonisation….Le sens critique n’existe plus et ne peut plus s’exercer faute de dialectique et de débats. Seuls les parents et la famille peuvent rectifier un peu le tir mais c’est difficile dans le contexte actuel des réseaux sociaux très importants chez les jeunes.
Il est patent que l’éducation nationale a cédé sur tous les plans notamment – et surtout – sur la formation des professeurs. Dès lors, l’effondrement est inévitable. Le pire est sans doute que la démission de la caste professionnelle, gangrénée par son gauchisme de principe, n’est pas près de virer de bord, alors que la soi-disant modernité, avec sa cohorte de jeux vidéos primaires va accélérer le mouvement.
Ah, non, pas sûr, puisque Macron – loué soit son nom – va nous sauver tous.
et encore, nous n’avons rien vu : la nouvelle cuvée de l’EdNat fleure bon l’écologisme khmer vert, la repentance ultra woke et son inséparable indigénisme militant, sans oublier le prosélytisme LGBTQI …
Hélas, je ne vois guère que les talibans pour mettre un terme à tous ces délires … c’est dire mon désespoir !
Que devient la France ? Son passé, ses paysages, ses monuments, sa culture ?
Le patrimoine s’impose comme un enjeu majeur. Il étend son champ d’action. Chacun sent que tout est lié : l’histoire, que l’on n’apprend plus à l’école, les édifices que l’on laisse à l’abandon, les sites que l’on défigure, les grands hommes que l’on déboulonne. Même la baguette, candidate au patrimoine mondial de I’Unesco, témoigne de la grandeur française.
Tout ceux que les connards de pseudo bien pensant veulent detruire pour remplacer la civilisation par de la pourriture…