Au lieu de dissoudre des mouvements pacifiques comme Génération identitaire, c’est plutôt une bonne parte des médias qu’il faudrait dissoudre de toute urgence !
Après la soumission et la servilité au pouvoir dont ont fait preuve les médias dans la crise du Covid, on a pu constater le même manque d’indépendance dans la couverture de la guerre en Ukraine.
Et ce qu’on vient de vivre durant la campagne présidentielle américaine, est une nouvelle preuve de la déchéance des médias mainstream.
Dans le dernier mois, ceux qui comparaient les informations diffusées par ces médias à celles qui remontaient sur les réseaux sociaux, étaient fascinés voire sidérés !
Au fur et à mesure de l’avancement de la campagne, les réseaux sociaux notaient l’effondrement continu de Kamala Harris, pendant que les grands médias continuaient à la soutenir en assurant que le résultat serait serré !
Qui lancera une enquête sur ces sondeurs qui soi-disant pronostiquaient un résultat serré ? Les sondages américains n’ont jamais brillé par leur justesse de prédiction, mais quand on voit la carte des résultats en descendant au niveau des comtés, on ne peut pas croire qu’on était dans la marge d’erreur statistique !
Les médias français ont vraiment manqué de réserve et de professionnalisme en relayant sans vergogne les sondages officiels que démentaient jour après jour les données disponibles sur internet !
Voici un article de France-Soir qui ouvre le procès des médias :
Jour de deuil pour les médias occidentaux en général,
pour les médias français en particulier et pour la corruption
Pour ce qui est des médias français, que les fans de Michel Drucker se rassurent : il n’est pas mort. (1). Le décès du dernier dinosaure du PAF (2) n’est pas l’information attachée au deuil de TF1, LCI, BFMTV, CNEWS, France Télévision et Cie dont je vous fais état ici. Non. C’est une information d’une tout autre nature (quoique ?) : la victoire de Donald Trump à l’élection présidentielle américaine. Le 45ᵉ et 47ᵉ président des États-Unis.
Eh oui !
La victoire de Donald Trump sonne le glas de la campagne de désinformation abracadabrantesque que les médias mainstream français ont menée contre lui. Pour discréditer tant l’homme lui-même, que son programme et ses partisans. Et, ceci du début de la campagne électorale jusqu’à la toute fin, à savoir dans le sillage des médias américains dont l’ultra majorité est sous influence démocrate. Des médias mainstream américains dont nul n’ignore qu’ils comptent parmi leurs vassaux les plus zélés (voire parfois carrément pires menteurs et partiaux que leurs suzerains), les médias mainstream français : leurs parfaits perroquets… en pire.
À tel point qu’on peut finalement avancer que c’est en quelque sorte un décès qui fait que les médias mainstream français sont en deuil aujourd’hui (et pour au minimum quatre ans) : la mort politique de « Madame Promotion Dernière Minute », Kamala Harris.
Retour à la case départ, direction le Mac Do où, celle qui a été investie en urgence cet été, en remplacement forcé, après la piètre performance de Joe Biden face à Donald Trump le 27 juin 2024, dit avoir travaillé pendant sa jeunesse :
Clap de fin pour la « défunte » candidate des leaders démocrates, nulle « à mourir » qu’elle a été. Et pourtant, elle a été portée aux nues par les médias mainstream français, qui voyaient en elle le renouveau démocratique américain, la juste continuité des descendants de Clinton-Obama & cie. Ceux qui l’ont choisie pour mener à bien leur rêve de protection légale pour toutes les formes de corruption opérées par lobbys interposés. Finies également les trop nombreuses inversions accusatoires et la capture des esprits enfermés dans des croyances. Ces idéologies qui s’apparentent plus à du scientisme et à de l’obscurantisme qu’au respect des libertés fondamentales. Une œuvre sournoise visant l’asservissement des populations, par une acceptation progressive inconsciente générée artificiellement par des messages subliminaux, mimétisme intellectuel et la banalisation (publicité, télévision, cinéma, théâtre, peinture, musique, internet) de ces pratiques pourtant sévèrement condamnées par la morale, plutôt que leur dépénalisation qui serait rejetée par le peuple. Notamment, les crimes qui touchent les enfants. Cela passe par une ingérence de plus en plus pressante de l’État dans l’éducation sexuelle des enfants, dès un âge considéré comme inacceptable par bien des parents, jusqu’à la tentative de légalisation de pratiques que la loi devrait servir à combattre. Voilà pourquoi l’apparition au grand jour des noms présents sur la liste d’Epstein fait si peur aux « élites » de ce monde. Outre la corruption en pécuniaire et la possibilité de pouvoir « booster » sa carrière, accélérer l’avancement, tout ce petit monde est tenu par « la barbichette » (pour ne pas dire par autre chose) du fait d’actes auxquels ils se sont livrés en privé, au « moins pire » des actes immoraux, ou, plus grave, des actes qui en l’état du droit, fort heureusement, sont encore très sévèrement punis par la loi.
La suite est lire dans l’article original.
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2 Réponses à “Qui fera le procès des médias américains et français ?”
Ca serait bien que Trump s’occupe des medias en france…
La goche le sait et s’en sert toujours :
celui qui tient les medias tient le pays…
Je cite :
Au fur et à mesure de l’avancement de la campagne, les réseaux sociaux notaient l’effondrement continu de Kamala Harris, pendant que les grands médias continuaient à la soutenir en assurant que le résultat serait serré !
Qui des medias ou des reseaux sociaux etaient censés mieux connaitre les vrais resultats…
Une fois de plus, il ont demontrés leur felonnies envers le peuple.