La polémique lancée par la ministre de l’enseignement supérieure, Frédérique Vidal, est à peine retombée qu’à Sciences Po Grenoble des étudiants et leur syndicat d’ultragauche, l’Unef, ont relancé un énorme pavé dans le marigot de l’islamogauchisme.
Mais l’affaire est bien plus grave que l’entrisme de l’islamogauchisme dans les universités !
Cette fois-ci, on a mis une cible dans le dos de deux professeurs ! La même cible qui avait été collée dans le dos de Samuel Paty et qui avait abouti à sa décapitation.
Quand on sait d’où est partie l’affaire, on ne peut qu’être sidéré par le sectarisme qui règne à l’Unef de Sciences Po Grenoble. Voici la genèse de l’histoire :
Après la création d’un groupe de travail dont le thème était : « Racisme, islamophobie et antisémitisme », un professeur s’inscrit dans le groupe en faisant savoir néanmoins, par mail, qu’il est assez intrigué par « l’alignement révélateur de ces trois concepts dont l’un ne devrait certainement pas y figurer. »
Aidé d’un de ses collègues, ils explicitent leur position dans plusieurs mails qui considèrent que le racisme et l’antisémitisme sont des délits alors que la critique d’une religion, ce que les islamistes radicaux ont baptisé islamophobie, est autorisée dans une démocratie laïque comme la nôtre.
Il n’en fallut pas plus pour déchainer la haine des islamogauchistes – avérés, du coup ! – de l’Unef ! Une haine qui aboutit à l’affichage par des étudiants sur les murs de l’école des portraits et des noms des deux professeurs félons à leurs yeux.
Comme si la terrible affaire Samuel Paty n’avait pas servi de leçon !
On est terrifié quand on pense que Sciences Po est une des grandes écoles qui sont censés former l’élite de la nation.
Voici la vidéo d’une conférence de presse de l’Une dont je vous laisse apprécier le contenu :
Et je termine avec l’interview de l’un des professeurs victimes du sectarisme qui se résume ainsi :
« Il y a une majorité de mes collègues qui me hait ! »
C’est dans une grande école comme dans beaucoup d’universités, qui devraient être le temple des savoirs et des libertés que se tiennent ces propos sectaires ! Que se piétinent la liberté d’expression ! Que l’on désigne aux terroristes peut-être leurs prochaines cibles …
Affligeant ! Terrifiant !
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4 Réponses à “S’il y avait un doute sur la réalité de l’islamogauchisme,
l’UNEF de Sciences Po Grenoble l’a levé avec brio !”
Oh, simple début d’une guerre de religions et de colonisation d’ un pays où les élites auto-proclamées sont des collaborateurs de l’ennemi, ce qui, en soi, n’est pas nouveau.
Eh oui ! Ainsi va le monde ! Peut-être croient-ils qu’en venant en aide à ces conquérants, ceux-ci leurs réserveront une place de choix. Ils ne se doutent pas ou ne savent pas, qu’ils seront les premiers à être éliminés. Ex. : la prise de pouvoir de l’ayatollah Khomein en Iran, facilitée par les communistes qui ont été les premiers à être éliminés.
Grace aux islamo gochiste, la goche et la super connerie peuvent s’etaler au grand jour une fois de plus.
Les extremistes de goche, rappelant les pires heures sombre de notre histoire, cible les prof qui ne pensent pas comme eux ( façon lavette), et n’hesitent pas a les « livrer » a leur futur bourreau en les devoilants.
La goche c’est ça !
Depuis 1968, on ne peut pas dire que l’UNEF ait beaucoup progressé …