Il y a des signes de décadence qui ne trompent pas !
L’Occident en montre de plus nombreux tous les jours !
Le délire progressiste en est la raison principale et il est à l’origine de multiples aberrations.
Le néoféministe a accouché du monstre de l’écriture inclusive et la fumeuse théorie du genre débouche sur la négation des évidences biologiques.
Dans ce domaine, le transgenrisme est la pointe avancée de cette théorie qui remet en cause un millénaire de construction progressive – et non progressiste – de la civilisation occidentale.
Dans le sport, surtout, ne pouvait-on pas s’attendre à de graves problèmes lorsqu’on a imposé la participation des athlètes transgenres (homme vers femme) dans les compétitions réservées aux femmes ?
Il fallait être d’un imbécillité crasse pour nier les réalités de la biologie qui fait que, en moyenne, les hommes sont plus grands et plus musclés que les femmes.
Les dirigeants des différentes fédérations de sport ne pouvaient ignorer ces réalités mais par couardise, et pour respecter l’air du temps, ils ont méprisé les athlètes féminines en les pénalisant de manière outrancière !
Cela montre aussi la puissance du lobby LGBT qui ne représente pourtant qu’une extrême minorité de la population.
C’est aussi là un signe de la décadence de l’Occident : la dictature des minorités !
Voici un article paru dans la Sélection du jour, qui décrit l’incroyable situation du sport américain confronté à la folie transgenre :
L’intrusion des transsexuels menace le sport féminin
Nous sommes en train d’assister au retour de pratiques honteuses qu’on croyait bannies …
Alors qu’il a fallu attendre la chute de l’empire soviétique pour faire la lumière sur le dopage systématique d’athlètes est-allemandes, l’intrusion d’hommes se déclarant femmes dans le sport de haut niveau aux États-Unis est un phénomène qui prend de l’ampleur. Sharron Davies a gagné la médaille d’argent en natation lors des Jeux de Moscou en 1980 pour le Royaume-Uni. Petra Schneider, médaille d’or pour la RDA, avouera plus tard qu’elle était dopée à la testostérone. Lors d’une interview pour Unherd (voir la vidéo en lien), Davies fait le lien entre l’injustice qu’elle a subie pendant sa carrière et cette nouvelle tendance qui, au nom de « l’inclusion », menace de faire disparaitre le sport féminin …
De 1970 à 1989, de jeunes est-allemandes promises au sport de haut niveau étaient massivement droguées dès l’âge de 11 ans à la testostérone, l’idée étant d’acquérir un avantage décisif.
L’impact sur le sport féminin a été significatif : lors des Jeux de Montréal en 1976, les est-allemandes ont remporté 11 des 13 courses de natation. À noter que leurs homologues masculins n’ont pas rencontré un tel succès … La tricherie était évidente ! Elles avaient des corps qui n’avaient plus rien de féminin, des pommes d’Adam et des voix graves. On a laissé faire pour des raisons géostratégiques. Les dégâts ont été terribles : de nombreuses athlètes occidentales ont vu leurs espoirs de carrière contrariés et, pire, leurs concurrentes bourrées de testostérone sont mortes prématurément, ou ont souffert de séquelles à vie …
En 2023, de jeunes hommes s’imposent sur les podiums de compétitions féminines en affirmant qu’ils ont fait une « transition de genre ».
Le cas de Lia Thomas aux E.U. est parlant : nageur aux performances médiocres (10 000 ème mondial), il a accumulé des victoires face à des jeunes femmes depuis sa « transition ». Là encore, la priorité semble être donnée à l’idéologie … Davies insiste sur le respect de la biologie : quels que soient les traitements donnés à un jeune homme pour « devenir une femme », être passé par une puberté masculine prodigue un avantage majeur qui ne s’annule pas. Toutes les études scientifiques (1819 à ce jour) démontrent cette irréversibilité. C’est une sorte de dopage renversé : on permet à des athlètes mâles de concourir face à des femmes avec les avantages de la testostérone naturellement présente dans leur organisme. Sharron Davies note que, bizarrement, aucune fille qui se présente comme un homme n’a cherché à nager contre des garçons : elle sait qu’elle n’a aucune chance. Un exemple récent leur donne raison : un « transgenre » spécialiste en MMA (sport de combat) a rejoint la compétition féminine. Lors de son premier combat, son opposante a été assommée après 30 secondes.
C’est tout le sport de haut niveau féminin qui est menacé par cette tendance.
Or, les jeunes filles s’entraînent aussi durement que les garçons. Ils appartiennent, biologiquement, à des catégories distinctes. On ne permet pas à des garçons de 16 ans d’affronter des concurrents de 12 ans … On ne laisserait pas un athlète valide participer aux Jeux paralympiques etc … Le sexe est le premier déterminant : en 100 ans de Jeux Olympiques, on a constaté que les hommes ont des performances supérieures aux femmes. La seule période où cet écart s’est un peu réduit correspond aux décennies de dopage communiste. Plus le sport est « explosif » plus l’écart se creuse. Ce fossé est colossal : Davies rappelle que le grand Michael Phelps battait ses rivaux au sprint avec des écarts de moins de 1 %.
Les autorités sportives semblent tétanisées par l’enjeu idéologique : les groupes de pression veillent …
Un compromis serait de créer une nouvelle catégorie « transgenre » pour assurer aux athlètes féminines une compétition équitable.
On fait là face au mur de l’idéologie : proposer une nouvelle catégorie reviendrait à admettre qu’un Lia Thomas, par exemple, n’est pas une femme…
Le fossé naturel creusé par la différence en performance induit une inégalité : 1 % seulement des fonds de sponsoring vont aux athlètes féminines aux E.U. et 4 % du temps médiatique sportif. La porte ouverte aux transsexuels dans le sport de haut niveau risque de chasser les femmes des podiums. Certaines fédérations mondiales commencent à édicter des règles pour protéger les sportives (comme l’aviron, l’athlétisme ou le rugby). La marque de montres Egard Watches a fait sensation en dénonçant par un clip publicitaire l’injure faite aux athlètes (pub Egard).
Sans effort concerté, l’hypocrisie règne.
L’espoir d’une carrière internationale du propre père et entraîneur de Sharron Davies avait été anéanti pour avoir osé dénoncer le dopage est-allemand. En 2023 aux E.U., de jeunes sportives universitaires qui dénoncent le fait d’avoir des hommes nus dans leurs vestiaires sont menacées d’exclusion.
Ludovic Lavaucelle pour La Sélection du Jour.
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Une réponse à “Sports : halte à la folie transgenre !”
A quand les debiles a l’asile ?