Stop aux diktats du lobby LGBT !

Des joueurs de foot ayant refusé de porter un maillot aux couleurs LGBT ont déclenché un véritable scandale.

Si l’on en croit beaucoup de médias, il serait homophobe de refuser de porter un brassard arc-en-ciel lors d’une journée dédiée à la lutte contre l’homophobie !

Il conviendrait d’abord de définir l’homophobie !

J’ai participé à plusieurs manifestations contre le mariage gay et à ce titre, j’ai été traité, par la gauche et les médias, d’homophobe. Pourtant, je respectais les homosexuels mais je manifestais contre la dénaturation du mariage classique entre un homme et une femme, mais surtout contre le droit à l’adoption qui était inclus dans la loi. J’estimais que le droit des enfants à avoir un père et une mère était bafoué par cette loi.

Je récuse le terme d’homophobe en ce qui me concerne !

Personnellement, je pourrais porter un pin’s avec la mention « Non à l’homophobie » (l’homophobie au sens strict !) mais jamais je n’arborerai le drapeau arc-en-ciel qui représente, pour moi, un emblème militant d’une idéologie dont je rejette plusieurs aspects.

Selon moi, porter les couleurs du lobby gay, ce serait cautionner entre autres les délires de l’identité de genre, la propagande transgenre et l’irruption des drag queens dans les écoles.

Par ailleurs, chacun reste libre de manifester pour ses propres convictions et on ne peut obliger personne à soutenir un mouvement fut-il d’utilité publique !

C’est la grande perversion du progressisme qui veut imposer à toute la population les errements dus à son idéologie comme par exemple l’écriture inclusive !

Voici un article paru sur le site Marcel D. – le média en 4-4-2 qui nous raconte cette histoire de maillot LGBT :

Des joueurs de foot refusent de porter le t-shirt
de l’idéologie LGBT qui prône le transsexualisme
et l’indifférenciation sexuelle

Le match de la 35e journée de Ligue 1 entre Toulouse et Nantes, remake de la dernière finale de la Coupe de France, a été marqué par un événement qui n’a rien à voir avec le foot. Le TFC a choisi d’écarter des joueurs qui ont refusé de porter le flocage arc-en-ciel LGBT sur leur maillot pour la journée internationale de lutte contre l’homophobie.

La veille, La Dépêche avait révélé que les joueurs Zakaria Aboukhlal, Moussa Diarra et Saïd Hamulic refusaient de porter ce flocage. « Des joueurs de l’effectif professionnel ont exprimé leur désaccord concernant l’association de leur image aux couleurs arc-en-ciel représentant le mouvement LGBT », a déclaré le club dans un communiqué publié quelques minutes avant le début du match.

Bien que respectueux des choix individuels de ses joueurs, et après de nombreux échanges, le Toulouse Football Club a choisi d’écarter lesdits joueurs. Le club a rappelé que 18 nationalités et 5 continents sont représentés au sein de son effectif professionnel et que l’ouverture sur le monde fait partie intégrante de son ADN. Il a ajouté :

Nos joueurs sont choisis pour leurs qualités humaines indépendamment de leurs croyances ou de leurs convictions.

Le droit à la liberté de pensée des joueurs est un sujet sensible. Bien que le club ait pris la décision d’écarter les joueurs qui ont refusé de porter le flocage arc-en-ciel, il est important de rappeler que chacun a le droit d’exprimer ses convictions personnelles. Le Nantais Mostafa Mohamed et le Guingampais Donatien Gomis ont également refusé de porter ce maillot aux couleurs LGBT.

Une polémique qui rappelle celle du joueur de football Idrissa Gana Gueye qui avait refusé de jouer sous le maillot aux couleurs de l’arc-en-ciel pour la journée internationale de lutte contre l’homophobie l’année dernière. Le journaliste Bastien Lejeune avait alors pointé du doigt l’hypocrisie ambiante, alors qu’au même moment la Fédération française de football organisait la coupe du monde au Qatar, un pays qui punit l’homosexualité de la peine de mort.

Face à l’hystérie véhiculée par certains, Bastien Lejeune rappelait des fondamentaux :

Ce n’est pas la même chose d’être homophobe et de refuser de cautionner ou de s’associer à une idéologie LGBT qui fait la promotion du transsexualisme, de l’indifférenciation sexuelle… Je pense qu’on a le droit d’être en désaccord et que cette injonction est stupéfiante et totalitaire.

Le Média en 4-4-2.