Les sondages nous apprennent que la France penche à droite et pourtant nous venons d’enchainer deux quinquennats avec des présidents de gauche !
Les Français votent à gauche mais leurs impôts engraissent un service public audiovisuel outrageusement marqué à gauche !
D’une manière générale, les médias sont plutôt de gauche avec l’exception notable et nouvelle de la chaine CNews.
Elle est d’ailleurs dénoncée par les autres journalistes pour son penchant droitier, pour ne pas dire sa zemmourisation, au mépris des libertés d’opinion et d’expression !
Une des clefs pour mettre fin à ces aberrations anti-démocratiques passent par la suppression de toutes les subventions à la presse. Il est en effet anti-démocratique que les impôts de tous les Français soient utilisés pour promouvoir uniquement l’idéologie de gauche.
C’est la raison pour laquelle je soutiens la pétition lancée par Damoclès pour la suppression de ces subventions. Voici leur communiqué :
Madame, Monsieur,
France Télévisions vient de nommer le nouveau chef de son service politique. Un « journaliste » proche de Macron. À un an de l’élection présidentielle.
Déjà aux précédentes élections, les médias de propagande avaient porté haut leur candidat. Et lors de la présidentielle de 2017, on avait frisé le délire.
Les seuls quotidiens Libération, L’Obs, Le Monde et L’Express totalisent plus de 8 000 articles évoquant Emmanuel Macron de janvier 2015 à janvier 2017.
Ils se prennent pour des modèles de vertu, des penseurs supérieurs. Ils veulent vous imposer leur idéologie. Jour après jour, les « journalistes » de propagande concentrent leurs efforts pour vous apprendre à « bien penser »… et à « bien voter ».
Du haut de leur tour d’ivoire, ils vous font la morale, comme l’assume par exemple Christophe Barbier, un soutien de Macron :
« Se confronter au terrain pollue l’esprit de l’éditorialiste. »
Prenez encore Delphine Ernotte, présidente de France Télévisions et proche d’Emmanuel Macron, qui a été réélue à son poste (une première historique !). Imbue d’elle-même, elle se sent investie d’une grande responsabilité : vous imposer de la « diversité ».
Et ce n’est pas pour fâcher Julien Pain, de France Info :
Hélène Bekmezian, rédacteur en chef du journal Le Monde, voudrait même interdire aux séniors de voter !
C’est assez révélateur de leur état d’esprit : ce qui ne va pas dans leur sens doit être méprisé, voire éliminé. Sophia Aram de France Inter voudrait que les Français votent « bien », c’est-à-dire comme elle l’entend et pas comme « les gros cons qui votent Front national ».
Est-ce digne de la profession de journaliste ? Même la réalité doit se plier à leurs exigences.
« Les journalistes se prennent pour Dieu : ils estiment qu’en ne parlant pas d’un sujet, par pacifisme, la catastrophe n’arrivera pas », analyse Éric Zemmour.
Par exemple, quand une élue ose dire que le violeur de dame âgée était un Algérien, c’est la panique chez les journalistes :
« Non mais c’est pas possible ! ? »
« Ah d’accord, elle fait sereinement le lien entre immigration et terrorisme, quoi… »
Même quand un Algérien agresse gravement un de leur confrère journaliste, comme c’est arrivé fin février à Reims, c’est un non-événement.
Il aura fallu une indignation massive sur les réseaux sociaux pour que les journaux commencent à parler de cette sauvage agression !
Tous les euphémismes sont bons pour cacher la réalité.
- Un délinquant d’origine étrangère est sobrement appelé « jeune ».
- Une racaille qui fonce dans la foule ? Une « voiture folle » !
- Un clandestin violeur est un « migrant fuyant les conflits ».
- Un islamiste tentant d’égorger les passants au cri « d’Allah akbar » ? Un « fou ».
Ces médias de propagande n’ont aucune légitimité. Ils sont maintenus artificiellement en vie par des subventions injectées en intraveineuse. Et pourtant ! Selon un rapport du Sénat, le prix de vente des journaux en France est parmi les plus élevés des pays industrialisés ! Cela montre un problème structurel grave, qui ne fait qu’empirer année après année.
57 % des Français pensent que les journalistes tentent délibérément d’induire le public en erreur.
La réalité, c’est que sur le terrain, il n’existe quasiment plus de journalistes pouvant faire un travail d’enquête. Non seulement ils sont formatés à l’école de journalisme, mais surtout, la plupart se contentent de copier-coller à la va-vite des dépêches AFP. Ce qui vous donne ce sentiment d’entendre toujours la même ritournelle, la même voix unique, quel que soit le média de propagande que vous ayez sous le nez.
Les subventions étaient censées permettre une pluralité de points de vue, pour vous donner le choix … Les médias devaient servir de contre-pouvoir … Pas entretenir une propagande insupportable.
Aujourd’hui, vous voyez bien que c’est un échec cuisant. Les rédactions sont en flux tendu. Les « journalistes » imbus de leur personne, qui monopolisent l’antenne, grouillent dans le même milieu. Ces médias baignent dans l’idéologie, dans l’entre-soi et se gavent de vos impôts.
Avec la Pétition : supprimons les subventions aux médias !, Damoclès donne un grand coup de pied dans la fourmilière.
Même la Cour des comptes relève que « Pour coûteuses qu’elles soient, les aides à la presse n’ont pas démontré leur efficacité. »
L’Allemagne, l’Espagne, le Royaume-Uni et la Suisse, eux, ne fournissent aucune aide directe.
Il est grand temps d’arrêter ce désastre. Ce système vous coûte une fortune. Il est nocif à la pensée.
Signez la pétition et demandez aux députés et aux sénateurs de supprimer les subventions aux médias !
Quand vous avez signé, partagez d’urgence le lien : https://damocles.co/petition-stop-subventions-medias/
Et transférez cet email.
Un grand merci d’agir maintenant.Pour la France !
Samuel Lafont et l’équipe Damoclès
Damoclès — Premier Média de mobilisation
Suivre @ChrisBalboa78
3 Réponses à “Stop Subventions Médias”
signé !
je signe
Signé aussi, bien sûr.