Surtout, ne pas nuire au récit de la diversité heureuse !

Publié par le 4 Jan, 2025 dans Blog | 1 commentaire

Surtout, ne pas nuire au récit de la diversité heureuse !

Le titre de cet article est la devise fondamentale des médias qui, à défaut de l’afficher au mur des salles de rédaction, est gravée dans le cerveau des journalistes !

Cela explique la haine viscérale qu’inspire la chaine d’infos CNews dans les autres médias et au sein de la gauche !

CNews refuse de se plier aux codes édictés par la doxa dominante qui veut que tout fait divers mettant en cause un migrant doit être minimisé ou même caché pour :

ne pas « faire monter l’extrême droite  » !

Force est de constater que cette stratégie médiatique a échoué quand on voit la montée inexorable du Rassemblement national et l’arrivée de nouveaux partis comme Reconquête.

Cette stratégie de négation et de dissimulation de la corrélation entre immigration et délinquance, est appliquée aussi chez les néoféministes qui ne défendent les femmes harcelées ou violées que si leurs agresseurs ne sont pas racisés.

En Grande-Bretagne, il a été mis à jour un énorme scandale découlant de la stratégie évoquée plus haut. Au cours des 40 dernières années, des dizaines, voire centaines de milliers de très jeunes filles blanches ont été violées et transformées en esclaves sexuels par des gangs composés d’immigrés pakistanais.

Ces crimes étaient connus de la police et pire, des services sociaux, mais cachés de peur d’être accusé de racisme et de stigmatisation d’une population immigrée.

C’est ce que rapporte cet article de Boulevard Voltaire :

Viols collectifs au Royaume-Uni :
Musk et un lord anglais relancent le scandale

Ce jeudi 2 janvier, à la Chambre des lords, cité de Westminster à Londres. Le sénateur Lord Pearson réveille en quelques mots une assemblée encore endormie après les festivités du Nouvel An en abordant la longue affaire des viols de jeunes filles anglaises :

Si nous extrapolons à l’échelle nationale les rapports pénitentiaires sur Rotherham et Telford, ainsi que celui d’Oxford […], il semblerait que plus de 250.000 jeunes filles blanches aient été violées au cours de ce siècle, principalement par des hommes musulmans, ces victimes subissant souvent des abus quotidiens pendant des années.

 Il n’en fallait pas plus pour faire resurgir une polémique qui secoue régulièrement l’Angleterre, les premiers viols présumés de jeunes filles remontant au début des années 1980.

Sordide comme une série Netflix

Le baron Pearson de Rannoch, membre de la Chambre des lords depuis plus de 34 ans et âgé de 82 ans, est un homme d’affaires et homme politique britannique connu pour avoir repris les rênes du parti nationaliste anglais UKIP derrière Nigel Farage, entre 2009 et 2010. Cette affaire, ou plutôt cet enchevêtrement d’affaires, a tout pour constituer la base d’une série d’épouvante comme en produit Netflix : de sordides viols en série, à répétition et à grande échelle, faisant voyager le spectateur dans plusieurs villes anglaises. La vérité est en partie connue, en partie sujette à démentis et sous bonne garde.

Sauf qu’il y a des faits incontestables, mentionnés dans Le Monde et que résume un article du Figaro. Dans le Yorkshire, le tribunal de Bradford a effectivement condamné vingt hommes pour une série de viols collectifs, commis contre quatre jeunes filles de 12 à 16 ans, entre 2001 et 2010, à l’issue de six procès couvrant trois affaires différentes, mais toutes liées au même scandale. Verdict : 219 années de prison, soit 11 ans (en moyenne) par agresseur. Or, on constate que sur les vingt condamnés, dix-neuf portent des noms à consonance indo-pakistanaise. Détail troublant : ces condamnations ont été gardées secrètes par la Justice britannique. Combien de temps ? La police du Yorkshire de l’Ouest, qui a été autorisée à révéler ces condamnations le mercredi 6 novembre 2024, ne le précise pas.

Dans ce dossier extrêmement sensible au Royaume-Uni, Elon Musk vient d’entrer comme un éléphant dans un magasin de porcelaine. Par un message sur X, il dénonce le pouvoir travailliste anglais : « Au Royaume-Uni, des crimes graves comme le viol nécessitent l’approbation du service du procureur (CPS) pour que la police puisse inculper les suspects. Qui était à la tête du CPS, lorsque des gangs de violeurs ont pu exploiter de jeunes filles sans avoir à faire face à la Justice ? Keir Starmer », écrit Elon Musk. « Une nouvelle élection devrait être organisée au Royaume-Uni », ajoute-t-il.

Beaucoup de questions, peu de réponses

La droite et l’extrême droite anglaises accusent depuis longtemps, non sans éléments, des autorités au rôle obscur, une police qui n’aurait pas mené au bout ses enquêtes (sur ordres, disent certains, ce qui est pour l’instant impossible à prouver), une Justice qui a condamné suffisamment pour que l’existence de ces affaires soit avérée mais pas assez au regard du nombre de viols, de violeurs et de victimes. Une presse, enfin, en partie empêchée de rendre compte des faits.

Comment autant de viols ont-ils pu être commis sur quarante ans sans qu’il y soit mis fin ? À écouter de nombreux anciens enquêteurs aujourd’hui démissionnaires, comme Maggie Oliver, la peur de faire scandale en stigmatisant une communauté étrangère (et musulmane) serait la principale, voire la seule, raison de l’immobilisme politique, policier et judiciaire.

Pourquoi la presse a-t-elle peu parlé de ces affaires ? Bien souvent, comme le relate Marianne, par peur d’être accusé de racisme et de faire le jeu de l’extrême droite, mais aussi parce qu’une loi anglaise de 1981 permet aux juges de « reporter la publication de tout article relatant une procédure judiciaire […] aussi longtemps que la cour estime nécessaire d’éviter un risque important de porter préjudice à l’administration de la justice », affirme le texte de loi. C’est ce même texte qui a été utilisé par le tribunal de Bradford dans l’affaire des vingt condamnés. Les politiques ont-ils influé sur l’utilisation de cette loi par la Justice, dans ces affaires de viols ? Rien ne permet (pour l’instant) de l’affirmer. Dans la presse française, depuis 2018, quelques informations sont parues sur cette affaire, y compris dans des médias conformistes, comme Le Monde, Radio France, Le Figaro et quelques (rares) autres. Mais bien peu, finalement.

Cette affaire, qui rebondit depuis quarante ans maintenant, révèle plus que jamais la gêne du système face aux conséquences dramatiques de l’immigration.

Etienne Lombard pour Boulevard Voltaire.

Merci de tweeter cet article :





Une réponse à “Surtout, ne pas nuire au récit de la diversité heureuse !”

  1. Des salauds !!!

    Pendant 25 ans, 250 000 mineures anglaises ont été violées par des gangs pakistanais
    https://ripostelaique.com/pendant-25-ans-250-000-mineures-anglaises-ont-ete-violees-par-des-gangs-pakistanais.html

    « La « chair » des jeunes filles se négocie dans l’arrière-boutique de kebabs sordides. »

    https://www.bvoltaire.fr/point-de-vue-viols-de-masse-en-angleterre-les-autorites-agissent-enfin/

    On lit même que plus d’un million de mineures anglaises, certaines âgées de douze ans, auraient été victimes de cette barbarie qui durerait depuis des décennies, sans aucune réaction de l’Etat, qui savait mais se taisait.

    Pauvre Angleterre, devenue l’otage de ses immigrés et totalement tétanisée par la dictature du politiquement correct. Comment ce grand pays qui a si longtemps dominé le monde et guerroyé comme la France sur tous les continents, comment a-t-il pu tomber aussi bas et fermer les yeux sur un viol de masse de ses propres jeunes filles de souche, par des gangs pakistanais ?

    Comment les autorités et les élites de cette grande démocratie, ont-elles pu cautionner ce crime barbare pendant si longtemps ?

    Car si les viols de Telfort, en 2017, ont fait la Une des médias, on apprend aujourd’hui que le crime dure en réalité depuis des décennies et qu’il est d’une ampleur démentielle, organisé en toute impunité par des gangs pakistanais dans la plupart des villes d’Angleterre.

    Ce sont des centaines de milliers de jeunes Anglaises mineures qui ont été mises en esclavage sexuel sans la moindre réaction des autorités. Un crime dont la dimension raciale ne saurait être contestée puisque seules les jeunes filles blanches étaient la cible de ces gangs.

    Non seulement les autorités ont détourné le regard, mais elles ont tout fait pour enterrer l’affaire ! Pourquoi ?

    Pour ne pas susciter la haine raciale !

    C’est sidérant. On a caché ce crime parce qu’il était perpétré par des immigrés, par peur de voir les natifs se révolter et exercer des représailles à l’encontre des criminels.

    La presse de gauche, égale à elle même, a longtemps prétendu que c’était une thèse conspirationniste de droite.

    Ceux qui dénonçaient le crime étaient taxés de racisme, voire diabolisés et condamnés.

    Mais tous les gouvernements ont minimisé ces crimes, par peur de cautionner le discours dénonçant les ravages de la société multiculturelle.

    https://www.bvoltaire.fr/viols-collectifs-au-royaume-uni-musk-et-un-lord-anglais-relancent-le-scandale/

    Dans ce climat de dictature digne de l’ère soviétique, il ne faut pas s’étonner que l’activiste identitaire Tommy Robinson, soit persécuté comme jamais et traité en ennemi public numéro 1, emprisonné dans des conditions de détention sévères. Ce qu’Elon Musk vient de dénoncer en réclamant sa libération. Tommy Robinson est bien un prisonnier politique parce qu’il est hostile au multiculturalisme et le dit.

    Dans l’Angleterre de 2024, on a vu le gouvernement travailliste libérer par anticipation des détenus pour faire de la place et emprisonner les manifestants dénonçant les crimes des immigrés.

    Le droit de manifester est tout à fait relatif. Manifester contre l’immigration peut faire de vous un délinquant raciste tenant des propos haineux. Et s’il n’y a plus de place dans les prisons pour les criminels, on en trouve toujours pour les militants identitaires et les patriotes.

    Evidemment, c’est le petit peuple qui manifeste car c’est lui qui subit de plein fouet la promiscuité avec des populations qui refusent de plus en plus de s’intégrer. Les élites bien tranquilles dans leur tour d’ivoire ignorent tout simplement ce peuple de souche qui refuse de disparaitre et s’oppose à la mondialisation. Son seul droit est de se taire.

    La conclusion de tout cela est que l’Europe immigrationniste adopte de plus en plus une justice à deux vitesses. L’une, intraitable avec les natifs qui défendent leur identité, l’autre, très laxiste avec la violence issue de la diversité, souvent minimisée voire niée.

    Avec des sociétés qui instaurent une différence des droits au nom du droit à la différence, une nation, même millénaire comme l’Angleterre ou la France, ne peut que se désintégrer tôt ou tard.

    A voir l’évolution tragique de la société britannique, où la charia civile s’étend dans la plupart des villes, tribunaux islamiques à l’appui, il n’est nul besoin d’être devin pour prédire que l’aventure multiculturelle va très mal finir. L’Europe paiera au prix fort sa grande illusion mondialiste.

    (source : tribune de Mathieu Bock Côté dans le Figaro)

Laissez une réponse

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *