Une bataille de titans se préparent outre-atlantique !
Pour le « Deep State », l’Etat profond américain, Hillary Clinton devait entrer à la Maison Blanche en 2016.
La victoire de Donald Trump avait alors sonné comme un coup de tonnerre et l’Etat profond est prêt à tout pour empêcher le retour de Donald Trump au pouvoir.
Surtout que ce dernier a déclaré la guerre totale à l’Etat profond et au wokisme et qu’il fait désormais équipe avec des pointures comme Elon Musk à la tête de l’un des plus puissants réseaux sociaux (X, ex-Twitter) et comme Robert Kennedy Junior qui l’a rallié récemment.
Le combat se jouera avec d’un côté, la défense de la liberté d’expression, et de l’autre, la censure de toute idée déviante de la pensée progressiste dominante.
Voici un article proposé par La Sélection du Jour qui évoque cette coalition de géants :
Robert Kennedy Jr soutient Donald Trump :
les dissidents rejoignent les rebelles
Les élections présidentielles américaines de novembre prochain s’annoncent très incertaines après des péripéties inédites : une tentative d’assassinat sur Donald Trump, l’expulsion de Joe Biden et son remplacement par sa Vice-Présidente… Le candidat indépendant Robert Kennedy a abandonné sa campagne pour soutenir Donald Trump. On assiste à un bouleversement profond du paysage politique américain.
La campagne présidentielle américaine – qui débouchera sur les élections de novembre prochain – est décidemment inédite…
Donald Trump, qui cherche à reprendre la Maison Blanche pour le Parti républicain, a échappé de très peu à une tentative d’assassinat le 18 juillet dernier. Le Président Joe Biden, choisi lors des primaires démocrates pour briguer un nouveau mandat, a été brutalement écarté par les caciques de son parti alors que les sondages lui promettaient une déroute dans les urnes. Il faut dire que le débat du 27 juin entre les 2 candidats a été catastrophique pour Joe Biden : son parti ne pouvait plus cacher son déclin cognitif (voir LSDJ 2232). C’est en août que sa Vice-Présidente Kamala Harris a été poussée sur le devant de la scène avant d’être confirmée lors de la convention démocrate (19-22 août).
Depuis, les louanges médiatiques tentent de faire oublier les critiques acerbes dont la Vice-Présidente a fait l’objet – y compris dans son propre camp.
Si cette candidature de secours a permis de refermer le fossé face à Donald Trump dans les intentions de vote, elle n’a pas bénéficié du bond espéré une fois la convention terminée. Les élections approchent à grands pas et le suspens est à son comble car les sondages sont indécis.
Et un nouveau rebondissement s’est produit : Robert Kennedy Jr. (RFK), le candidat indépendant (mais issu du camp démocrate), a jeté l’éponge le 23 août pour annoncer son ralliement à la candidature Trump.
Écarté sans ménagement par l’appareil du Parti démocrate (avec l’ancien Président Obama dans les coulisses) lors des primaires – il a fortement gêné son ancien parti jusqu’au retrait de Joe Biden. L’arrivée de Kamala Harris a réduit ses chances d’exister électoralement. Et les manigances d’appareil l’ont convaincu de franchir le Rubicon. Son discours du 23 août a fait jaser : il dénonce ce qu’il considère comme des menaces mortelles pour la démocratie américaine. Le renforcement du contrôle étatique sur la société qui met en danger des libertés fondamentales (pendant la période du Covid). La censure de plus en plus présente grâce à la connivence avérée par les « Twitter Files » entre l’administration fédérale et les réseaux sociaux (voir LSDJ 1740). Il dénonce la trahison du Parti démocrate dont l’ADN était historiquement de s’opposer à l’emprise de l’État fédéral, de protéger les classes laborieuses face aux grands lobbys. Il observe le rapprochement des élites démocrates avec les néo-conservateurs républicains – alliance mise en évidence par l’interventionnisme militaire direct ou indirect avec Bush comme avec Clinton. Le soutien de RFK permet à Donald Trump d’attirer les libertariens qui s’inquiètent de l’emprise étatique tout en donnant une couleur verte à sa candidature. Car la défense de l’environnement, le combat contre les grands industriels sont au cœur de l’engagement politique de RFK… Big Pharma, Big Tech and l’appareil militaro-industriel sont les cibles de ses discours enflammés – ce qui renforce Donald Trump dans son positionnement de « rebelle ». Le renfort de RFK vient équilibrer la ligne idéologique conservatrice du colistier – potentiel futur Vice-Président – JD. Vance…
Au-delà du ralliement de RFK (crédité de 6 % dans les derniers sondages à la veille de sa décision), on observe une transformation en profondeur du paysage politique américain.
« Populistes » contre « extrême-centre », partisans d’une démocratie plus représentative – le refondation du paysage politique ne se limite pas à RFK. Tulsi Gabbard, ancienne représentante démocrate de l’État de Hawaï et qui a présenté sa candidature pour les primaires démocrates en 2020, a annoncé qu’elle soutenait Donald Trump le mois dernier. Elle rejoint RFK dans sa dénonciation de l’implication américaine en Ukraine. Les représailles de l’administration au pouvoir ne se sont pas fait attendre : son nom comme celui de son mari ont été ajoutés à la liste des personnalités à surveiller de la TSA (ministère des Transports). Elle s’étonnait de contrôles de plus en plus pointilleux dans les aéroports… RFK comme Gabbard sont depuis étiquetés par leur parti d’origine comme ayant échoué à « l’extrême-droite ». D’autres personnalités sont entrées ouvertement dans la bataille : le milliardaire Elon Musk qui revendique une ligne libertarienne. L’ancienne star de Fox News, Tucker Carlson, garde de son côté une ligne conservatrice… En face, les pions se déplacent aussi sur l’échiquier. Certains républicains néo-conservateurs de premier plan – les faucons de la période Bush – officialisent leur soutien à Kamala Harris. Ce faisant, ils confirment les accusations de RFK qui dénonce une coalition des élites – venant des 2 partis – au service de grands lobbys. Dick Cheney, l’ancien Vice-Président de Georges W. Bush de 2001 à 2009 et chantre de la « guerre contre la terreur », vient d’annoncer par l’intermédiaire de sa fille Liz (ancienne représentante républicaine anti-trumpiste) qu’il voterait Harris.
Le grand tremblement de terre politique provoqué par la victoire de Donald Trump poursuit ses secousses – au-delà de la « droite » et de la « gauche »…
Ludovic Lavaucelle pour La Sélection du Jour.
C’est désormais une équipe de choc qui entoure Donald Trump :
L’article original est disponible dans The American Conservative.
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2 Réponses à “Trump, Kennedy et Musk en guerre contre l’Etat profond !”
On notera au passage, que les democrate se nomme les extremes centre,
comme macron il y a peu…
C’est dans l’ adn de la goche et des democrates que de tromper au maximum les gens.
En guise de tromperie on pourra ajouter C Kelly qui a essayée de saborder l’information pour la faire devier dans un discours de goche et par des ommisions complaisante a la doxa.
Le tout aidé par le directeur d’Atlantico qui s’est devoilé plutot tres a goche comme C Kelly et avec toutes les tares connu sur la goche manipulatrice qui vont avec.
Pendant une semaine on a assisté a un push sur l’information reelle, que ces deux manipulateurs ont voulu taire ou modifier le reel.
Les realistes de cette emission, avaient droit qu’a a peine quelques munutes de parole, tandis que le blondinet de goche occupait toute l’emmision avec l’aval de C Kelly qui avait organisé la manipulation pour rompre avec le reel.
Ce n’est pas la 1 ere fois qu’elle trahi ces collegues, ou elle a essayer de prendre le controle de l’information pour eliminer le reel ou tout au moins le reduire au maximum afin que le reel ne profite pas aux gens de droite…
C’est aussi une bande organisé sur Cnews qui agit dans ce sens, ou des pseudo journalistes tres a goche, refusent le reel pour preferer leur mantra gochiste.
C Kelly a tenté de falsifier le reel, ( ce n’est pas la 1 ere fois )
et il est plus que probable que celle ci a tenter de pousser les autres pseudo journalistes de goche a faire pareil, vu son degré de formatage de goche, ce que certains font deja depuis des années.
Il existe des gens de gauche realistes comme M Menant et qui respectent les autres, et des personnes de goche qui preferent les mensonges ou les arrangements avec le reel,
et qui preferent vivre dans l’aveuglement et la betise.
https://ripostelaique.com/elections-usa-seul-contre-trois-trump-sen-est-assez-bien-sorti.html
Je cite :
C’était trois heures du matin pour vous, donc quinze heures pour moi. Au bord du lagon, à l’ombre d’un cocotier, en me sifflant un punch goyave, j’ai suivi le débat en direct et en anglais. Détail qui a son importance quand je compare la version originale avec les transcriptions des médias français. Qui, à leur habitude, élaguent, interprètent, cenSSurent et édulcorent.
Le duo des journalistes progressistes David Muir et Linsay Davis avait tout prévu pour favoriser la prestation de Kamala. Interdiction à Trump de répondre à ses accusations, micro coupé pour l’empêcher de réagir, questions sournoises et orientées des présentateurs qui n’avaient même pas la décence de faire semblant d’être neutres.