Scandale ! Hérésie ! Transphobie caractérisée !
Mais quel est le dangereux militant de droite, homophobe et transphobe, qui ose proférer des propos aussi infâmes ?
« On ne nait pas femme, on le devient ! »
nous disait Simone de Beauvoir ! Et depuis, la théorie du genre s’est infiltrée partout et on se demande comment ce militant a pu en rester à de tels errements !
Après enquête, il s’avère que ce militant attardé n’est autre que … le premier ministre britannique, Rishi Sunak et qu’ainsi il se distingue des autres dirigeants européens qui, pour rien au monde, n’oseraient braver l’air du temps progressiste !
Iris Bridier, dans cet article de Boulevard Voltaire, nous raconte toute l’histoire. En voici quelques extraits :
Le courageux combat de Rishi Sunak contre les transactivistes
S’exprimant à l’occasion du congrès annuel du Parti conservateur ce mercredi, l’ancien ministre des Finances de BoJo n’a pas mâché ses mots :
Nous ne devrions pas nous laisser intimider en nous faisant croire que les gens peuvent avoir le sexe qu’ils veulent. Un homme est un homme et une femme est une femme, c’est du bon sens.
En guerre contre les « absurdités wokistes »
Du bon sens à l’évidence, mais pas tant que ça, à une époque où les lobbys transactivistes ont réussi à imposer leur idéologie du genre au point de nier cette réalité et crier à l’homophobie. Il faut dire que le locataire du 10 Downing Street n’en est pas à son coup d’essai et a toujours fait preuve d’un discours ferme envers les tentatives de relativisme ambiant. En juillet 2022, il n’est pas encore Premier ministre mais s’engage à protéger les termes « femmes » et « mère », accusant la loi sur l’égalité de promouvoir des « absurdités wokistes ».
Quelques mois plus tard, le 16 janvier 2023, Rishi Sunak provoque l’ire des Écossais en bloquant une loi sur le changement de genre qui avait pour objectif d’abaisser de 18 à 16 ans l’âge requis pour demander une transition, d’une part, et supprimer la consultation médicale et psychiatrique obligatoire lors de la demande d’un certificat de reconnaissance de genre, d’autre part. Le quadragénaire britannique devient le premier homme politique à utiliser ce mécanisme de blocage.
Accusé de transphobie
Fidèle à ses convictions – tandis que son opposant, Keir Starmer, le chef de file des Travaillistes, pense ouvertement que si l’écrasante majorité des femmes n’ont pas d’organes génitaux masculins, certaines en ont -, Rishi Sunak ne cède pas aux sirènes médiatiques. Dans un entretien accordé au site Web ConservativeHome, il affirme que 100 % des femmes n’ont pas de pénis. Le Telegraph rapporte ses propos :
La première chose à dire est que nous devrions toujours avoir de la compassion, de la compréhension et de la tolérance pour ceux qui pensent à leur genre. Mais quand il s’agit de ces questions de protection des droits des femmes et des espaces des femmes, la question du sexe biologique est fondamentalement importante.
Rappeler dans la loi que le sexe signifie bien le sexe biologique et non le genre auquel la personne s’identifie, telle est l’ambition du Premier ministre afin d’aider, notamment, les sports féminins à écarter les personnes trans.
Deux mois plus tard, l’ancien banquier chez Goldman Sachs s’attire à nouveau les foudres de la presse LGBT en étant, cette fois, enregistré à son insu en train de plaisanter sur le soutien aux personnes trans du leader des libéraux-démocartes Ed Davey :
Vous avez peut-être remarqué qu’Ed Davey a été très occupé. Comme moi, vous avez probablement pu voir qu’il essayait de convaincre tout le monde que les femmes avaient un pénis.
Le média PinkNews fait fuiter la vidéo… Têtu lui emboîte le pas, titrant sur
Les blagues transphobes du Premier ministre britannique à ses députés conservateurs.
Malgré des sondages qui le donnent perdant aux prochaines élections de janvier 2025, Rishi Sunak s’est voulu rassurant lors de son congrès annuel. Le Monde n’y a vu qu’une « dérive droitière » au cours de laquelle le Premier ministre aurait « radicalisé ses discours sur l’immigration, les impôts ou les valeurs familiales ». Reste à voir si ses convictions payeront sur du long terme. Maître de conférence en civilisation britannique, Christine Cotton observe l’économie de ce pays depuis des années. Elle se dit plutôt positive quant à l’évolution de la cote de popularité du ministre en raison de l’inflation qui a baissé et des salaires et du pouvoir d’achat qui ont légèrement repris. À ses yeux, c’est plutôt « l’usure du pouvoir » des conservateurs qui menace le chef du parti.
Peut-être aussi le poids des lobbys ?
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2 Réponses à “Un homme est un homme et une femme est une femme !”
Ce monsieur a raison contre les fous qui veulent imposer leur idées qui au final ne veut qu’amener le chaos et la division forcée.
L’humanité n’a pas eu besoin d’ideologie pour vivre tel quel pendant des milliers d’années, pourquoi tout d’un coup ce serait un probleme ?
Il n’y a que ces ideologues malsain que cela derangent.
Apres les errements et les belements des wokistes en recherche d’eux meme… comme la goche,
enfin, quelqu’un qui remet de l’ordre dans la folie de certains !
Il le peut car c’est un homme de couleur, si la pseudo justice l’attaque sur ces propos, elle pourra etre taxée de racisme.
A l’inverse, si c’etait un homme blanc, la pseudo justice le mettrait de suite en proces ppur des imaginaire comportement contre la société ou des personnes…
Le deux poids deux mesure que l’on retrouve a goche et chez les radicalisés ou extremistes.