Vaccin Covid : la protéine Spike s’attaque à votre cerveau

Publié par le 16 Avr, 2025 dans Blog | 1 commentaire

Vaccin Covid  : la protéine Spike s’attaque à votre cerveau

Alors que vient d’être lancée, ces jours-ci, une énième campagne de vaccination contre le covid, les études sur les effets secondaires des vaccins ARN Message se succèdent, et deviennent toujours plus alarmantes.

Le tout, dans l’omerta la plus totale des grands médias

– Depuis 5 ans, les médias se taisent sur les vaccins,
– Depuis 3 ans, les médias nous mentent sur l’Ukraine,
– Depuis des décennies, les médias relayent, sans contrôle, l’alarmisme climatique,
– Depuis 2 ans, les médias nous cachent l’explosion des faillites d’entreprises.

Nous devons nous battre pour la sauvegarde de la liberté d’expression sur les réseaux sociaux, qui sont devenus aujourd’hui, pratiquement la seule source d’informations alternative à la propagande du pouvoir, complaisamment relayée par les grands médias.

Je vous propose aujourd’hui un article du site web The Focal Point qui rapporte les résultats alarmistes d’une étude sur les effets secondaires neuropsychiatriques des vaccins anti-covid.

L’étude compare les effets secondaires de ce vaccin à ceux des vaccins contre la grippe. Pour chaque effet indésirable, il calcule un coefficient PRR (Proportional reporting ratio).

Par exemple,  si un effet indésirable a un PRR de 1,5, cela signifie que la fréquence de cet effet est 1,5 fois plus fréquent que lors de la vaccination contre la grippe (soit + 50 %).

Dans la pratique, tout PRR supérieur à 2 déclenche une alerte de sécurité.

L’étude donne des PRR hallucinants :

  • 118 pour les troubles cognitifs !
  • 115 pour les maladies psychiatriques !
  • 80 pour les suicides et les homicides !

Voici des extraits de cet article traduit par Google :

Une étude identifie 86 alertes de sécurité neuropsychiatriques graves liés à la vaccination contre la COVID-19

L’étude de Thorp et al., intitulée « Association entre la vaccination contre la COVID-19 et les troubles neuropsychiatriques », vient d’être mise en ligne sur le serveur de prépublications de Preprints.org. Ils ont analysé les données du VAERS de janvier 1990 à décembre 2024 et ont identifié une augmentation alarmante de 86 effets indésirables liés aux fonctions cérébrales, au comportement et à la cognition après l’injection d’ARNm de la COVID-19 :

Introduction

Les vaccins à ARNm contre la COVID-19 sont connus pour traverser la barrière hémato-encéphalique et pourraient potentiellement provoquer une multitude d’effets indésirables non intentionnels. L’objectif de cette étude est d’explorer les liens potentiels entre la vaccination et les troubles neuropsychiatriques.

Méthodes 

Les données ont été recueillies auprès des Centres pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC) et de la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis. Le système de déclaration des effets indésirables des vaccins (VAERS) des CDC et de la FDA a été interrogé du 1er janvier 1990 au 27 décembre 2024 pour les effets indésirables (EI) impliquant des complications neuropsychiatriques suite à la vaccination contre la COVID-19.

Les ratios proportionnels de déclaration (PRR) ont été calculés en comparant dans le temps les effets indésirables après la vaccination contre la COVID-19 à ceux après la vaccination contre la grippe et à ceux après tous les autres vaccins. Les CDC/FDA stipulent qu’un risque de sécurité est présent si le PRR est ≥ 2.

Résultats 

En comparant la vaccination contre la COVID-19 aux vaccinations contre la grippe, les signaux de sécurité des CDC/FDA (PRR, intervalle de confiance à 95 %, valeur p, score Z) ont été violés pour les combinaisons suivantes :

  • 47 effets indésirables (EI) associés à des troubles cognitifs (PRR : 118, IC à 95 %) ;
  • 28 EI associés à une maladie psychiatrique générale (PRR : 115, IC à 95 %) ;
  • 11 EI associés au suicide/homicide (PRR : 80,1, IC à 95 %).

De même, en comparant la vaccination contre la COVID-19 à tous les autres vaccins à l’exception de la COVID-19, les signaux de sécurité ont également été violés pour les éléments suivants :

  • 47 EI associés à des troubles cognitifs (PRR : 26,8, IC à 95 %) ;
  • 28 EI associés à une maladie psychiatrique générale (PRR : 28,6, IC à 95 %) ;
  • 11 EI associés au suicide/homicide (PRR : 14,0, IC à 95 %).

Conclusions

Des signaux d’alerte alarmants concernant les troubles neuropsychiatriques consécutifs à la vaccination contre la COVID-19 sont observés, comparativement à la vaccination contre la grippe seule et à toutes les autres vaccinations combinées.

Ces données suscitent des inquiétudes quant aux conséquences à long terme, notamment un déclin cognitif persistant, la démence et la morbidité et la mortalité neuropsychiatriques.

Un moratoire mondial immédiat sur la vaccination contre la COVID-19 est justifié.

L’article détaille pour chaque catégorie d’effets indésirables les différentes sortes de problèmes de santé et leur PRR associé.

A titre d’exemple, voici le détail des troubles cognitifs :

Effets indésirables cognitifs (47 au total)

  • Thrombose veineuse cérébrale – PRR 3 060,
  • Thrombose cérébrale – PRR 794 
  • Fatigue mentale – PRR 704 
  • Hémorragie cérébrale – PRR 310
  • Hémorragie cérébrale – PRR 310 
  • Démence à corps de Lewy – PRR 425 
  • Démence (type Alzheimer) – PRR 142
  • Démence (générale) – PRR 137 
  • Trouble cérébral – PRR 118 
  • Brouillard cérébral – PRR 104
  • Ischémie cérébrale des petits vaisseaux – PRR 98 
  • Déficience mentale – PRR 115
  • Altération du niveau de conscience – PRR 87 
  • Lésion cérébrale – PRR 73 
  • Atrophie cérébrale – PRR 64 
  • Œdème cérébral – PRR 59 fois 
  • Délire – PRR 54 
  • Altérations de l’état mental – PRR 108 
  • Infarctus cérébral – PRR 34 
  • Démyélinisation ischémique – PRR 12 
  • Science cérébrale de perfusion anormale – PRR 6 
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Une réponse à “Vaccin Covid : la protéine Spike s’attaque à votre cerveau”

  1. Nous en avions tous le pressentiment car nous avions été avertis par quelques scientifiques dès la mise en route des campagnes de vaccination…
    En effet, bon nombre d’entre eux s’inquiétaient de la mise en application prématurée de la technologie ARN messager qui, expérimentée au préalable dans plusieurs formes de pathologie, n’avait pas apporté de résultats cliniques.
    D’où la mise en garde prônée par certains hommes et femmes de science.

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