J’avais déjà relayé un article du blog de Patrice Gibertie:
Covid : ces vérités que les stats officielles vous cachent
Aujourd’hui, je reprends des éléments d’un nouvel article dédié à l’inefficacité désormais prouvée des vaccins :
Big Pharma change de stratégie en raison des dégâts massifs des injections à répétition sur le système immunitaire (Syndrome d’ImmunoDéficience Acquis )
Les hésitations sur la quatrième dose traduisent une réelle inquiétude des autorités sanitaires de plusieurs pays et de l’OMS. Bourla , le maître des horloges semble opter pour une pillule magique plus chère et moins efficace que l’ivermectine, en attendant un hypothétique produit injectable chaque année .
La preuve est faite que si les doses de rappel boostent les anticorps la durée de cette effectivité se révèle de plus en plus courte et surtout elle est suivie d’une dégradation du système immunitaire qui place le « vacciné » dans une situation particulièrement fragile. Les études scientifiques parlent d’un syndrome immunodéficience acquis.
77.119 personnes ont déjà reçu sur le territoire une quatrième dose contre le coronavirus au 12 janvier 2022 selon la Direction générale de la Santé.
Les risques de décéder avec omicron seraient deux à trois plus faibles pour les non vaccines que pour les vaccinés (voir ce précédent article).
Le système immunitaire a une fonction : combattre les organismes étrangers qui attaquent le corps. Sur la vaccination contre la même maladie à répétition, le virologue est catégorique : cela affaiblira le système immunitaire.
Avec de multiples vaccins contre une seule maladie dans un laps de temps si court, le système immunitaire sera habitué à combattre une seule maladie, et donc, sera bien plus vulnérable aux autres infections. Il reconnaîtra moins les autres virus et bactéries.
Dans la foulée, il précise :
Si l’on fait plusieurs vaccins contre différents organismes, toutes les parties du système immunitaire sont activées et pourront reconnaître une panoplie de corps étrangers. Le danger est réellement dans la vaccination contre un seul virus dans un court laps de temps.
En Israël, chaque dose relance la courbe des décès !
De plus, les vaccinés deviennent plus cliniquement malades que les non vaccinés. L’ Écosse a signalé que le taux de mortalité par infection chez les vaccinés est de 3,3 fois celui des non vaccinés et le risque de décès en cas d’hospitalisation est de 2,15 fois celui des non vaccinés.
Une étude du Lancet comparant les personnes vaccinées et non vaccinées en Suède a été menée auprès de 1,6 million de personnes sur neuf mois. Il a montré que la protection contre le COVID-19 symptomatique diminuait avec le temps, de sorte qu’à six mois, certains des groupes vaccinés les plus vulnérables étaient plus à risque que leurs pairs non vaccinés.
Les médecins appellent ce phénomène chez les vaccinés à plusieurs reprises « l’érosion immunitaire » ou « l’immunodéficience acquise », ce qui explique l’incidence élevée de la myocardite et d’autres maladies post-vaccinales qui les affectent soit plus rapidement, entraînant la mort, soit plus lentement, entraînant une maladie chronique.
Je vous renvoie à l’article original pour plus de détails.
En conclusion …
Sur quelle planète se situe la France ? Toutes ces informations n’arrivent-elles pas jusqu’aux autorités sanitaires françaises ?
On peut craindre que le pouvoir macronien, craignant de se déjuger trop tôt, ne fasse trainer les choses plus que de raison …
Histoire « d’emmerder » un peu plus longtemps les non-vaccinés …
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3 Réponses à “Vaccination : arrêtez le massacre !”
les big pharma financent à mon avis la prochaine campagne de Macron
les journaux également à la botte des macronistes , ces torchons sont plus financés par nos impôts Macron a distribué des millions pour qu’ils restent à sa botte
ce qui me fait plaisir il s’est hué à Strasbourg rien sur BFM ni sur France 2 à 13h, en plus des journalistes européens ont quitté la salle de presse du parlement européen avant la prise de parole de MACRON pour protester contre la décision de transformer la conférence de presse en une déclaration sans questions Macron a une réputation de petit dictateur dans tout l’Europe
L’Ivermectine coutant bien moins cher soigne sans efet secondaire catastrophique.
Et j’insiste aussi la dessus,
des rapport officiels ont demontr » que au mieux 49 % des vacciné etait en hopital contre 51 % de NON vaccinés,
tandis qu’un autres rapport officiel indique que 57 % des vaccinés sont en hopital et 43% de NON vaccinés en hopital.
Dans les deux cas,
le benefice du pseudo vaccin, qui de plus n’en ai pas un un, mais présenté comme tel, est presque nul.
En attendant, du coté de la pseudo justice :
Lettre de vrais magistrats :
Chère Madame, cher Monsieur,
Lundi, le parquet de Bobigny annonçait que 23 personnes avaient été placées en garde à vue.
Vingt-trois personnes d’un seul coup, cela doit probablement être une grosse affaire de stupéfiants ou de crime organisé, penserez-vous.
Mais vous auriez tort. Ces vingt-trois personnes ont été placées en garde à vue pour « violences en réunion » et « violation de domicile ». Leur crime ? Avoir voulu aider un propriétaire à rentrer dans son logement, squatté depuis des semaines.
Oui, vous avez bien lu : le propriétaire et ceux qui l’ont aidé pourraient être condamnés pour « violation de domicile ». Autrement dit, ils risquent une peine supérieure à celle qui pourrait être infligée aux squatteurs.
Quant aux « violences en réunion », tout s’est passé pacifiquement alors que les squatteurs, eux, s’étaient déjà montrés violents.
Mais le parquet de Bobigny estime que « les violences peuvent être psychologiques : le simple fait d’arriver à 23 en menaçant d’expulser des gens en pleine nuit, en plein hiver. »
Oui, vous avez bien lu : expliquer poliment mais fermement à des squatteurs qu’ils vont devoir partir est considéré comme une « violence psychologique » par la justice.
Pas de doute, nous sommes bien en France…
Tout a commencé le 13 octobre dernier. En rentrant du supermarché, Youssef constate que la porte du petit pavillon qu’il habite avec sa mère, une septuagénaire sous curatelle, a été fracturée. Il trouve chez lui « deux jeunes hommes, une femme et un pitbull », qui ont déjà commencé à s’installer en jetant à la cave une partie des affaires de Youssef et sa mère.
Après plusieurs interventions de la police, les squatteurs finissent par partir.
Mais, deux semaines plus tard, les voleurs de domicile sont de retour ! Cette fois ils ont réussi à se faire établir un contrat EDF et prétendent que Youssef leur a loué sa maison. Et voilà Youssef qui se retrouve dans les locaux de la police.
« L’un d’eux a dit à la police que je l’avais escroqué de 3 500 euros », explique-t-il au journal Le Figaro. « Ils m’ont menacé de mort, ont cassé mon pare-brise, fracturé les portes, causé plein de dégradations dans la maison, et c’est moi qui ai subi un interrogatoire ! »
Le malheur de Youssef et de sa mère commence à s’ébruiter sur les réseaux sociaux et dans les médias. Un certain nombre de riverains décident alors de leur venir en aide.
« Après un appel sur les réseaux sociaux, on s’est donc retrouvés à un point de rendez-vous, à quelques centaines de mètres de la maison, samedi vers 20 heures », explique Elias, un jeune infirmier. « On était 26, pour la plupart des étudiants. Youssef nous attendait devant le portail cassé, avec sa sœur et sa mère : puisque c’est elle la propriétaire, il fallait qu’elle soit là, même malade ! ».
Ils entrent dans le pavillon et se retrouvent face à un couple avec un enfant d’environ trois ans, et deux hommes. « Youssef a fondu en larmes en rentrant : tout était d’une saleté répugnante. Dans la cave, c’était horrible, tout était sens dessus dessous. J’ai raccompagné la dame et son bébé à une voiture qui les attendait dehors », raconte encore Elias.
Et c’est à ce moment, alors que l’affaire semblait sur le point de se régler pacifiquement, que la police intervient et emmène Youssef et ses soutiens au commissariat… tandis que les squatteurs réintègrent le pavillon.
Pour se justifier, le parquet de Bobigny explique : « on ne règle pas ses problèmes soi-même en appelant des personnes qui n’ont rien à voir avec l’histoire. Il y a des moyens légaux pour obtenir une expulsion ».
Oui, en effet il y a des moyens légaux : des moyens qui demandent souvent des mois voire des années pour aboutir à un résultat et, au terme de cette procédure coûteuse, le propriétaire récupère presque toujours un logement saccagé, qu’il devra remettre en état à ses frais.
Pas de doute, c’est une belle protection que la justice offre aux propriétaires…
Pourtant la loi a changé l’année dernière afin d’accélérer les procédures d’expulsion. Emmanuelle Wargon, la ministre déléguée au logement, avait même été jusqu’à claironner : « Le squat n’est plus un bon filon dans notre pays. »
Et cependant, les histoires ahurissantes de squats et de propriétaires désemparés continuent un peu partout en France. Pour une raison simple : la décision d’employer la force publique dépend toujours du préfet. Or ceux-ci ne sont pas toujours pressés d’expulser les voleurs de domicile et se réfugient trop souvent derrière le « risque de troubles à l’ordre public ».
« Les raisons qui justifient les refus de concours de force publique sont multiples : présence de militants politiques et d’associations, absence de solution de relogement, occupants en situation de grande précarité, présence d’enfants, de femmes enceintes ou de personnes âgées… », affirme Me Romain Rossi-Landi, avocat qui défend des dizaines de propriétaires chaque année.
Bref, c’est encore et toujours la même histoire : les politiques plastronnent en disant qu’ils ont rendu les lois plus sévères, mais derrière l’administration – c’est-à-dire en définitive le gouvernement – temporise, biaise, et abandonne les Français face à la délinquance.
Enfin, il y a parfois des exceptions.
Mercredi dernier, Le Canard enchaîné révélait en effet qu’un restaurant dancing, « Le chalet du lac », situé à Saint-Mandé, dans le bois de Vincennes, avait fait l’objet de près de 200 contrôles l’année passée.
La raison ? Ce restaurant est situé à proximité du domicile d’Emmanuelle Wargon, qui habite une maison à Saint-Mandé et qui se serait plainte du bruit émanant de l’établissement.
Alors là, la Préfecture de Police y a été à fond : contrôles d’identité, de stationnement, contrôles d’hygiènes ou des nuisances sonores, même la brigade de répression du proxénétisme, tout a été essayé. En vain puisque l’établissement est parfaitement en règle.
Comme quoi, un préfet peut agir avec rapidité et décision lorsqu’il s’agit de préserver le confort d’un ministre.
Mais pour les Français ordinaires, c’est autre chose. Là, on verra la justice se soucier du bien-être psychologique des squatteurs.
Combien de temps allons-nous encore tolérer cela ?
Avec tout mon dévouement,
Axelle Theillier
Présidente de l’Institut pour la Justice