« Je tiens beaucoup à l’unité de la Nation. Sur le plan sanitaire, chaque innovation a été accessible à tous. Les tests sont gratuits en France. Très peu de pays sont dans ce cas. Nous n’avons laissé personne au bord de la route. La République et l’Etat Providence ont été au rendez-vous. Le « quoiqu’il en coûte », c’est aussi ça.
Le pass sanitaire ne sera jamais un droit d’accès qui différencie les Français. Il ne saurait être obligatoire pour accéder aux lieux de la vie de tous les jours comme les restaurants, théâtres et cinémas, ou pour aller chez des amis. »
Ces propos étaient ceux du chef de l’Etat, le 29 avril dernier devant la presse quotidienne régionale.
Maxime Tandonnet, dans son blog, confronte cette déclaration à la situation actuelle après la mise en place du pass sanitaire :
L’ordre du mépris
Deux mois après les propos d’Emmanuel Macron, le pass sanitaire devient obligatoire pour entrer dans les cinémas, les bars, restaurant, les spectacles, les transports en commun. Et cela se déroule dans le plus parfait silence (omerta) sur le spectaculaire revirement élyséen. L’argument selon lequel les circonstances ont contraint le pouvoir à cette volte-face est insoutenable : 25 000 contaminations quotidienne quand ces paroles furent prononcées, pour environ 15 à 20 000 aujourd’hui Mais surtout 350 morts par jour à cette époque (selon les statistiques officielles) pour une vingtaine aujourd’hui. De fait, la situation au regard du nombre des victimes, est infiniment moins inquiétante aujourd’hui que lors des poussées épidémiques précédentes qui n’avaient pas justifié des mesures aussi liberticides (et l’exemple britannique le confirme). Quant à la la courbe des contaminations, chacun sait qu’elle est totalement erratique depuis un an et un responsable public digne de ce nom, quand il a tenu ces paroles ne pouvait pas ne pas savoir qu’une quatrième reprise avait des chances de se produire surtout au regard de la situation en cours à ce moment là Outre-Manche.
Mais le plus abominable – les mots sont pesés – c’est le mépris social (de la France d’en haut, médiatique, intellectuelle ou supposée telle, politique) – envers les réfractaires qui au nom de la liberté et de l’égalité, se contentent de dire ou de penser en ce moment, exactement dans les mêmes termes que l’occupant de l’Elysée le 29 avril dernier. C’était formidable il y a deux mois car venant de l’occupant de l’Elysée. La même chose est immonde désormais, deux mois plus tard, car l’occupant de l’Elysée ayant tourné casaque, désormais dit le contraire. Voilà comment fonctionne une certaine supposée élite persuadée de sa supériorité.
Les noms d’oiseau fusent, comme dans une véritable chasse à l’homme: « irresponsables, égoïstes, complotistes, populistes, imbéciles, attardés, barbares, fascistes, nazis ou staliniens (vu sur twitter, parole d’honneur) ». Les moqueries, les caricatures, les paroles haineuses et méprisantes fusent envers les « antipass ». Il y aurait ainsi les lumières de la pensée éclairée des gens bien contre la tourbe infecte des « anti-pass ». Dans le sillage fidèle et étroit de l’occupant de l’Elysée, comme le guide du politiquement correct, la société bienpensante est entrée dans une logique de chasse au gaulois réfractaire, à l’immonde réactionnaire ou la vile populace, l’antipass ou l’antivax…
Si l’on en juge par les déclarations du 29 avril dernier, c’est donc un choix délibéré, assumé de « différencier » (sic) les Français qui a été accompli, c’est-à-dire de rouvrir, alimenter, exacerber la plaie ouverte par le référendum de 2005 entre la France bienpensante, bourgeoise mondialisée et la France périphérique. Cette logique de rupture par le mépris, en germes dans le quinquennat précédent qui vouait aux gémonies les « sans dents » est devenue le marqueur d’un quinquennat consacré au combat des lumières progressistes contre l’obscurantisme (dit) populiste personnifié par le gaulois réfractaire. En arrière-plan, cette volonté évidente (déclaration du 29 avril) de souffler sur les braises dans l’apathie et l’abrutissement d’une France d’en haut jamais sortie de son éblouissement, un seul objectif: la réélection grâce au renouvellement du second tour des présidentielles Macron/le Pen. Il faut une belle dose d’aveuglement ou de totale mauvaise foi (consciente ou inconsciente) pour ne pas être écoeuré par un tel spectacle.
Maxime Tandonnet dans son blog.
Une fois de plus, les médias ont démontré leur servilité quand on voit avec quelle facilité ils ont accompagné les errements et les mensonges du pouvoir macronien.
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4 Réponses à “Vérités d’hier, mensonges d’aujourd’hui !”
Les medias sont pire que serviles, ce sont des serpilieres pour le mieux, au pire des connards finis !
Pendant que Véran pique la Grégoire, Maxime, 22 ans, meurt du vaccin
Une histoire qu’il va être difficile de raconter au père de Maxime, 22 ans, vacciné à 14 heures, et décédé à 23 heures.
https://ripostelaique.com/pendant-que-veran-pique-la-gregoire-maxime-22-ans-meurt-du-vaccin.html
NON les tests ne sont pas gratuits, mais quel média aura le courage de démentir cette affirmation.
Nous payons tous les mois des cotisations prélevées sur les salaires et l’ASSURANCE maladie nous rembourse en cas de maladie, comme toutes les assurances, on cotise et on est remboursé en cas de dommage.
Les cotisations sont récoltées par l’Urssaf qui les reverse à L’Acoss qui elle même les reverse dans chaque CPAM ensuite s’ajoute la mutuelle qui n’est pas donné, alors non les soins ne sont pas gratuits ils sont gratuits pour une seule catégorie de la population « les clandestins »
La seule chose qui est gratuite est la violence de l’exécutif qui souffle sur les braises pour scinder les électeurs en trois camps
– les bienpensants vaccinés et pro passe-sanitaire (40 millions à les écouter)
– les complotistes et les gaulois réfractaires (« 160 000″selon leur décompte)
– les indécis qui ont cru « Manu » sur la promesse de limite du passe-sanitaire
40 millions plus ceux qui auront été contraints à se vacciner et qui ne supporteront pas ceux qui tiennent tête aux injonctions du gouvernement en manifestant tous les samedis.
En effet, les black-blocks seront de retour pour remplacer les porteurs d’étoile jaune pour enterrer une nouvelle fois la contestation.
Les nouvelles injonctions réservées aux non vaccinés, jauges, regroupement et autres viendront s’ajouter pour casser la levée des boucliers et cristalliser un nouveau partage de l’électorat évitant par dessus tout le débat mondialistes / souverainistes qui fait peur aux soi-disant « républicains » du centre, des droites et gauches modérées.
Ils souhaitent aussi éviter les sujets de l’immigration ainsi que du « sentiment d’insécurité » à part en faisant quelques « promesses de gascon » comme bien des promesses du candidat élu de 2017 qui effectivement a un lien avec cette expression, plus qu’avec cette région.
Le parti « Les Républicains » s’est soumis une nouvelle fois à « Zupiter » tout en faisant semblant de résister et je pense qu’il est tombé une nouvelle fois dans le piège constitutionnel de l’utilité, ou non, du Sénat à cause de son aile centriste, bien trop proche de la « macronie », qu’il traîne comme un boulet.
On se dirige vers la fin des LR et vers la suppression du Sénat si la maudite réélection a bien lieu.