Toutes ces idéologies « bisounours » de pacotille ne résistent pas au temps et aux réalités de la vie.
Commençons par l’écologie !
Regardez Emmanuel Macron et les écolos ! Le premier, pour satisfaire les seconds, ferme la centrale nucléaire de Fessenheim et programme la fermeture de plusieurs autres centrales nucléaires.
Trois ans plus tard, on craint la pénurie d’énergie électrique et l’on rouvre, en catastrophe, des centrales à charbon, larges émettrices de gaz à effet de serre !
Le canon tonne en Ukraine et Macron ne ferme plus les centrales mais au contraire va en construire huit !
Continuons par la théorie du genre !
Le sexe biologique n’existe pas ! Si, né homme, tu te ressens plus comme une femme, nul ne peut contester ce que tu crois !
C’est ainsi que Will Thomas, nageur américain décide un jour qu’il est une femme et devient Lia Thomas. Il exige alors de participer aux compétitions féminines et bat tous les records … Les lesbiennes sont furieuses …
Bravo aux progressistes américains, Joe Biden en tête, qui, au nom de la diversité, ont autorisé les transgenres à participer aux compétitions féminines !
Terminons par les frontières !
Oh le vilain mot que voilà ! Même en pleine pandémie, Macron s’arc-boutait pour qu’on ne ferme pas les frontières et l’on voyait même des avions venant de Wuhan débarquer à Roissy leurs cohortes de Chinois !
Pour les progressistes, la frontière était un non-sens, le signe d’un pays rabougri, rassi, fermé sur lui-même !
Le même canon se met à tonner au dessus de Kiev et tout le monde se mobilise pour l’Ukraine qui se bat pour garder sa souveraineté derrière … ses frontières.
« Le nationalisme, c’est la guerre ! » clamait François Mitterrand. Depuis des décennies en France, on ne peut pas invoquer la patrie ou bien sortir un drapeau français sans que la gauche nous traite de fascistes !
Mais, la guerre en Ukraine a réveillé le nationalisme. Et les médias et la gauche s’émerveillent de ces Ukrainiens qui défendent leur nation !
Ce qui vaut en Ukraine serait donc proscrit en France ?
Gilles-William s’en gausse dans cet article paru dans Valeurs actuelles :
Vive le nationalisme de l’autre ! À bas le patriotisme français !
Le syndrome Kassovitz
Les Ukrainiens que je connais, ils sont ultra-nationalistes …
mais dans le bon sens, ils veulent défendre et protéger leur pays.
Monsieur Mathieu Kassovitz, acteur et réalisateur de métier, n’est pas économe de ses billevesées. Mais il se sera cette fois surpassé. On lui doit cette noble saillie, sortie de sa bouche mardi :
Si je n’avais pas d’enfants, je serais en Ukraine. Les Ukrainiens que je connais, ils sont ultra-nationalistes. Mais dans le bon sens, ils veulent défendre et protéger leur pays.
Ainsi le nationalisme irait dans le bon ou le mauvais sens. On reconnaît là l’esprit de discrimination gauchisant, dont, reconnaissons-le, Monsieur Kassovitz n’a point le monopole, notamment dans un milieu artistique qui ne brille pas par sa subtilité analytique.
Il y aurait donc un nationalisme vertueux, celui de l’Autre et un nationalisme honteux, celui des Français. Ces franchouillards lépreux, qui eux n’auraient pas le droit de vouloir défendre et protéger leur pays sans devenir, pour reprendre l’expression macronienne, des lépreux. Reconnaissons-le, les mêmes qui pensent que les frontières européennes sont obsolètes – à commencer par les françaises, qui considèrent, en citoyens du monde, qu’il ne saurait y avoir d’invasion étrangère, puisqu’il n’y a qu’une seule espèce humaine, ont découvert au lendemain de l’agression russe de l’Ukraine, que les frontières d’un pays européen devaient être considérées comme inviolables et sacrées.
À ma seule question de savoir si, toujours au nom du même sacro-saint principe, il était prêt à respecter celle de l’auteur du point de détail, notre acteur est demeuré pendant d’interminables secondes bouche bée.
Monsieur Kassovitz, s’il n’était père de famille, serait évidemment prêt à donner sa vie pour les protéger. Tout le malheur français est résumé dans cette différence flagrante de traitement, qui tient plus du réflexe pavlovien que du raisonnement. C’est le même que celui tenu par Bernard-Henri Lévy et ses amis, qui détestent tout ce qui est sauciflard, biniou et franchouillard, mais qui sont prêts à donner leur vie pour la Bosnie. Pardon de leur répliquer par le Talmud de Babylone : « Si je ne suis pas pour moi, alors qui le sera ? »
Retour et fin vers Kassovitz, qui décidément n’a pas changé depuis la première fois où je le croisais. Cette anecdote significative mérite, je crois, d’être narrée.
C’était lors du procès du groupe de rap Ministère A.M.E.R. pour son tristement fameux Sacrifice de poulets. Je représentais alors un syndicat de policiers partie civile. Le réalisateur de La Haine était venu soutenir ces brûleurs de flics en chanson au seul nom « de la liberté d’expression ». À ma seule question de savoir si, toujours au nom du même sacro-saint principe, il était prêt à respecter celle de l’auteur du point de détail, notre acteur est demeuré pendant d’interminables secondes bouche bée.
Toute la morale à géométrie variable de l’extrême gauche bébête est résumée dans cette béance. Les frontières pour l’étranger lointain, l’ouverture béante pour son prochain.
Gilles-William Goldnadel pour Valeurs actuelles.
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5 Réponses à “Vive le patriotisme ukrainien ! … mais pas le français !”
Les Ukrainiens que je connais, ils sont ultra-nationalistes. Mais dans le bon sens, ils veulent défendre et protéger leur pays.
Font ils partie de ceux qui se protègent avec des boucliers humains et tapent sur leurs frères du Donbass (civils eux aussi) depuis 8 ans après s’être assis sur les traités internatinaux???
Mais Suzanne, au Dombas ils sont du mauvais côté de la frontière.
Il n’est pas allé se battre car il a un enfant, mais il aurait rejoint tous les pères de famille qui ont mis leur femme et enfants à l’abri hors des frontières.
BHL a écrit de sa main la devise de la France sur une banderole à Odessa, mais il refuse à ses compatriotes l’idée de la défendre chez nous.
Schizophrénie permanente: psychopathologie ! En russe : dourdom = la maison des fous !
Zelensky, le president clown a poil sur scene devant un public.
Zelensky, ce clown dangereux qui rêve d’une troisième guerre mondiale
https://ripostelaique.com/zelensky-ce-clown-dangereux-qui-reve-dune-troisieme-guerre-mondiale.html
Voila pour connaitre la realité, pas celle que les medias vous impose pour ne plus etre manipulé :
https://www.youtube.com/watch?v=Mwx4H2htwiI
Olivier Tournafond | Poutine n’est pas fou
( Professeur de droit )