La médecine, malheureusement a vu une bonne part de sa notoriété et de sa crédibilité entachée par ces médecins de plateaux télé, qui, bardés de conflits d’intérêts, se sont contredits sur le covid et surtout sur les vaccins ARN.
Les pouvoirs politiques sanitaires ont déroulé leur narratif très inquiétant au début sur le virus et lénifiant ensuite sur les vaccins.
Certaines statistiques sanitaires, depuis août 2023, ne sont plus mises à jour, probablement pour ne pas inquiéter la population qui risquerait, ensuite, de demander des comptes aux autorités.
Mais il est une statistique qu’il est difficile, voire impossible à falsifier c’est celle des décès.
Depuis quelques semaines, les critiques contre les vaccins ARN se sont focalisées d’une part sur les problèmes cardiaques (myocardites, AVC, mort subite) et d’autre part sur la surmortalité observée dans de nombreux pays.
Voici de larges extraits d’un excellent article paru dans le blog de Patrice Gibertie dont j’ai déjà publié quelques articles. Il rapporte l’analyse réalisée par le statisticien néerlandais Herman Steigstra à partir des données officielles disponibles :
Le risque de décès est de 1/1000 par piqure et sur 6 mois.
Des statisticiens néerlandais définissent le modèle qui prouve
que les vaccins ont déja fait plus de morts que la covid
Les pays vaccinés connaissent tous une surmortalité « inexpliquée », le statisticien Herman Steigstra analyse la correlation entre les vagues de vaccination et la mortalité.
La corrélation peut être quantifiée mathématiquement en tenant compte de la covid, de la canicule et de bien des variables. C‘est un décès inexplicable autrement pour mille injectés et pour chaque doses.
Une dose de vaccin est donc plus dangereuse qu’une infection covid.
Nous voyons maintenant que cette ligne de modèle coïncide presque parfaitement avec les chiffres réels. Le modèle de calcul est capable de faire une prédiction assez précise de la « surmortalité inexpliquée » sur la base des chiffres de vaccination. Bien sûr, nous n’avons pas encore trouvé d’explication médicale à cela.
Mais le nombre écrasant de publications qui sont maintenant apparues sur ce sujet est l’indication la plus forte que le modèle de prédiction explique effectivement les dommages de la vaccination.
Le taux de mortalité prédit par le modèle est désormais de 0,08 % par injection pour la série de base et de 0,09 % pour les injections de rappel et de booster. Autrement dit, 0,4 % pour quelqu’un qui a eu 5 injections, une chance de 1 sur 250. Cette chance est uniformément répartie sur les deux premières semaines et la période d’environ 20 semaines après la vaccination. On ne sait toujours pas combien de temps cela va continuer, mais il semble que ce soit au moins 18 mois. Nous avons supposé 24 mois.
Il s’agit d’une estimation approximative et la réalité peut bien sûr être légèrement différente. Des recherches de suivi sont nécessaires de toute urgence pour donner plus de certitude à ces chiffres.
En corrigeant l’effet « Sous-mortalité après surmortalité », les vrais décès dus au corona deviennent visibles. Ce sont les personnes qui seraient probablement mortes sans corona. Les autres sont morts d’une autre souffrance, corona étant « l’ami du vieil homme ».
Le risque de mourir de la vaccination semble être d’environ 0,1 % par vaccination. Les chiffres non présentés ici indiquent que la tranche d’âge des 65-80 ans est la plus touchée.
Nous avons montré ici que le nombre de vaccins administrés est un excellent prédicteur de la « surmortalité inexpliquée ». Cependant, cela ne peut pas servir de preuve juridique indépendante pour accuser les vaccins d’être le seul coupable. Il ne peut être exclu que plusieurs facteurs conduisent à cette surmortalité. La seule façon de fournir une réponse définitive à ce sujet est de lier les données de vaccination aux chiffres de décès, tels que conservés par Statistics Netherlands. Il y a plusieurs raisons pour lesquelles le gouvernement ne veut pas coopérer avec cela pour le moment.
En France 1,5 millions de 5 dosés, une étude néerlandaise démontre que 6000 devraient en mourir (ou en sont déja morts)
Les explications du modèle
Si les taux de mortalité augmentent effectivement au début des vaccinations (décembre 2021), alors il existe une corrélation positive et la vaccination semble entraîner la mortalité.La « campagne d’injections répétées » a commencé le 19 septembre et une vague de surmortalité s’est déclenchée. Causalité ou coïncidence ? Quiconque aime la corrélation se réfère à ces chiffres. Ceux qui préfèrent les nier utilisent souvent la phrase « la corrélation n’est pas la causalité ». Nous devons donc chercher une meilleure méthode.
Répartir les décès supplémentaires entre « dus au corona » et « autres problèmes » est donc devenu notre première priorité. Il ne suffit pas de soustraire le nombre de décès corona signalés à Statistics Netherlands, car nous avons également affaire au phénomène de « sous- mortalité après surmortalité ». Une épidémie fait généralement mourir plus tôt une partie de la population vulnérable en raison d’une maladie comme la grippe ou le corona, mais une vague de chaleur montre également le même phénomène. Nous avons déjà écrit un article à ce sujet sur ce site.
Pour faciliter la lecture des chiffres, tous les chiffres hebdomadaires ont été convertis à 100 % de la valeur attendue.
On voit que lors de la première vague, le nombre de décès était 70 % plus élevé que prévu. Donc, presque tous ces décès sont dus au corona (zone rouge). Mais ce que nous constatons également, c’est qu’à partir de la mi-mai, la mortalité totale était revenue à 100 %, tandis que 20 % des décès étaient encore causés par le corona. Environ 80% sont morts d’une cause autre que corona. À partir de juin, encore moins de personnes sont mortes que prévu, alors qu’il y avait encore corona. Sous-mortalité après surmortalité !
On voit la même chose avec la deuxième vague, mais beaucoup plus forte. Environ la moitié des décès corona sont en dessous de la ligne des 100 %. Ce sont les personnes qui seraient autrement décédées d’une autre maladie en quelques mois, mais qui sont maintenant décédées du corona quelques mois plus tôt. Il serait donc plus juste de « reporter » cette surmortalité au moment où ils seraient autrement probablement décédés.
Maintenant, l’image devient soudainement nette ! Jusqu’à ce que la vaccination ait lieu, les décès par corona s’ajouteront à la mortalité attendue. Le nombre de personnes qui seraient autrement décédées d’autres causes reste donc presque le même que 100 %. Mais à partir de mars/avril, l’image de la surmortalité inexpliquée émerge et coïncide globalement avec le nombre de vaccinations, qui est représenté par une ligne violette ci-dessous. La surmortalité, qui avait fortement baissé depuis janvier, remonte également à 110 %. Il est évident de supposer que les vaccinations sont aussi responsables de l’évolution de cette surmortalité jusque-là « inexpliquée », mais une relation causale n’a pas encore été prouvée.
Ici, nous voyons dans un graphique les vaccinations sous forme de ligne violette et le pronostic basé sur le modèle qui sera discuté plus tard. En général, il y a un bon accord. Ce graphique montre également la surmortalité due à la canicule du 10 août à début septembre, avec la sous-mortalité qui en a résulté. Il n’est pas facile de séparer les chiffres des autres chiffres, car la vaccination du 19 septembre a immédiatement suivi.
Particulièrement avec la dernière injection répétée, on observe une synchronisation presque parfaite du nombre de vaccinations et l’augmentation temporaire du nombre de décès. En raison de la quasi-absence de décès par corona, nous obtenons une bonne image de la surmortalité (inexpliquée) elle-même. Ce ratio a été utilisé comme facteur à court terme. Dans ce graphique, nous voyons l’agrandissement de cette période :
Les preuves statistiques dans les autres pays
La comparaison entre pays riches et pays pauvres est édifiante
Seule l’extrémité droite de ce graphique est lisible par les profanes. Comparer la mortalité au Japon et en France à celle de l’Indonésie, de l’Afrique et de l’Inde, pays faiblement vaccinés !!!
Le cas Japonais démontre la nocivité des injections avec ses 3 boosters
La population japonaise est la plus injectée au monde: plus de 300 doses pour 100 habitants d’habitants , les plus âgés en sont à 5 injections et plus ! On compte ainsi 130 boosters pour 100 habitants, deux fois plus qu’en France et six fois plus qu’en Inde .
Le Japon a six mois de retard sur un autre pays ultra boosté, le CHILI, qui a cessé tout rappel depuis six mois et une ultime vague de mortalité
En 2020 et 2021 la Covid épargna le Japon et pour cause celui ci ignorait les vaccins et soignait précocement …
2022 L’ année tragique
La fin de l’année 2021 voit, au Japon, la défaite du parti démocrate constitutionnel ouvertement pro ivermectine et la victoire d’un pro injection Fumio Kishida
Regardez la suite : chaque vague d’injections est immédiatement suivie d’une explosion de cas et de décès :
Conclusion
Une fois de plus, je pose la question : pourquoi les médias français ne font-ils pas état de cette étude néerlandaise dont les résultats devraient faire sandale dans toute démocratie digne de ce nom !
Et stopper immédiatement les injections !
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2 Réponses à “Vous n’avez pas confiance dans les médecins ?
Alors faites confiance aux statisticiens !”
Je cite :
« Conclusion
Une fois de plus, je pose la question : pourquoi les médias français ne font-ils pas état de cette étude néerlandaise dont les résultats devraient faire sandale dans toute démocratie digne de ce nom !
Et stopper immédiatement les injections ! »
Parce que nous sommes dirigé par une forme de mafia, voila pourquoi n’est pas pris en compte comme il ce doit la vie humaine et qu’aucun resultat n’est publié qui les derangeraient.
Aux USA le gouvernement n’a pas encore osé trop toucher au Premier Amendement qui garantit la liberté d’expression. Les médecins peuvent s’exprimer plus librement qu’en France. Et les statistiques qu’ils publient ont de quoi faire frémir les plus braves.
Des chiffres qui parlent mieux que tous les grands discours
Dans les années 2016 à 2019, le nombre de décès aux USA était de l’ordre de 2 millions 850 000 par an. Soit 7 800 par jour, en comptant les maladies, les accidents, les suicides et les crimes.
On peut comparer ces chiffres avec ceux de la période critique, entre l’automne 2021 et mai 2022. Juste après que le sénile ait rendu obligatoire la vaccination des fonctionnaires et des militaires, la Cour Suprême ayant limité les dégâts en annulant le diktat vaccinal pour les salariés du privé.
Comme par hasard, le nombre de morts s’est mis à augmenter brusquement, tournant entre 12 000 et 14 000 par jour. Soit un chiffre près de deux fois supérieur à la moyenne nationale auparavant. En compilant les résultats partiels établis État par État voire comté par comté. Un vrai travail de bénédictin.
Coïncidence ? Les « morts en trop » avaient été vaxinés dans une période comprise entre deux jours et quelques mois avant leur trépas.
Pour ne pas être taxés de parti pris, on a sorti des statistiques les gens souffrant de diverses pathologies même légères avant leur décès, ainsi que ceux âgés de plus de soixante ans. Même si on peut soupçonner les vaxins malsains d’avoir aggravé leur état de santé.
Sinon les vaccinators enragés auraient toujours pu arguer que leurs saloperies n’y étaient pour rien. En prononçant le mot magique qui les exonère de la responsabilité de leurs crimes : les comorbidités.
Restent quand même 3 000 à 4 000 personnes de moins de 60 ans, en bonne santé auparavant d’après leur dossier médical, qui décèdent chaque jour après avoir subi la funeste piquouse. Ou plutôt les piquouses car, là aussi, les observations ne laissent guère de place au doute. On crève plus vite et plus sûrement après trois ou quatre injections qu’avec une seule. Effets cumulatifs.
Ces chiffres ne peuvent évidemment prendre en compte les troubles de santé provoqués par les poisons de Big Pharma qui tueront dans les deux ans après les shoots. RV est pris en 2024 pour actualiser l’évaluation de l’hécatombe.
Athlètes, artistes, vedettes et parasites des médias, ils tombent comme des mouches !
Leurs points communs ? Ils ont tous fait une promo effrénée pour les prétendus vaccins. Utilisant la sympathie aveugle et l’admiration béate que leur porte un public panurgique pour le convaincre de se faire piquer. Plusieurs fois si possible. En donnant eux mêmes l’exemple.
Car tous n’ont pas trompé leur monde comme les politicards, pas fous, se faisant injecter du sérum physiologique devant les caméras. Pour honorer leurs pactes de corruption avec Big Pharma.
Beaucoup de ces « people » étaient de bonne foi car pour eux, l’ARN messager modifié était un concept aussi abscons que la théorie des particules élémentaires dans la physique quantique. Et leurs cibles partageaient leur ignorance.
En outre, beaucoup de gens influençables vouaient une confiance aveugle aux blouses blanches, ou vertes, ou de toute autre couleur, du moment qu’il y a un badge avec « docteur » accroché dessus. Si en plus le docteur passe à la télé, c’est qu’il est plus calé que les autres. Il ne peut pas se tromper !
Si la plupart de ces cobayes volontaires ne sont pas tous morts, beaucoup ont souffert, et pâtissent encore de divers troubles de santé. Après les allergies, fièvres, céphalées, insomnies, troubles menstruels, frissons et diarrhées, effets secondaires bénins qui peuvent pourrir la vie des piqués pendant plusieurs semaines ou mois, les maux les plus sérieux sont occasionnés par les thromboses. Des caillots sanguins s’accumulant dans les veines et les artères.
Les cas symptomatiques graves commencent avec les phlébites, causes de douleurs et de difficultés à se mouvoir lorsqu’elles se situent dans les membres inférieurs, cas le plus fréquent.
Si un caillot se détache, cela va provoquer une embolie. Celle-ci peut être pulmonaire avec douleur thoracique et gêne respiratoire. Avec fréquemment une évolution en défaillance cardiaque fatale. C’est un accident souvent observé chez des sportifs et des artistes jeunes, généralement moins de 40 ans, qui n’avaient jamais présenté auparavant de pathologies cardiaques ou cardio-pulmonaires.
Le caillot peut également provoquer un infarctus cérébral caractérisé, du plus anodin au plus grave, par des troubles neurologiques, vertiges, amnésie… Jusqu’à une destruction des cellules cérébrales privées d’oxygène, causant des paralysies partielles ou totales, et enfin la mort.
L’assassin s’appelle Spike, et son gang se planque 55 rue du Faubourg St Honoré
Dans son édition du premier juin 2021, le journal France-Soir ouvrait ses colonnes à Byram Bridle, professeur d’immunologie virale au Département de physiopathologie de l’Université de Guelph (Ontario). Une sommité mondialement reconnue, comme Raoult et Perronne, appelée en consultation par ses confrères quand ils se sentent dépassés par les événements.
Bridle mettait en garde contre les effets nuisibles des vaccins à ARN messager. Par ignorance, manque de recul et expérimentations insuffisantes au départ. Par tromperie délibérée ensuite pour servir les intérêts de Big Pharma.
Résultat : le 30 novembre 2022, soit 18 mois après, le paltoquet psychopathe et ses médicastres de cour se vengent en punissant France-Soir. Pour ces menteurs professionnels, FS n’est plus un média d’information et donc ne peut plus prétendre aux facilités accordées au moindre torchon gauchiste ou islamiste.
Même si le tribunal administratif de Paris vient de désavouer le pouvoir en rendant à France-Soir son agrément de presse, je doute que les macronards en restent là. Une longue et onéreuse procédure est prévisible.
Heureusement, malgré la cenSSure des dictatures stipendiées par Big Pharma comme la France, et malgré la corruption abjecte d’une partie du corps médical, de plus en plus de médecins, de biologistes et de généticiens ont alerté sur les risques anormalement élevés et souvent mortels liés à la protéine Spike.
Scènes de crime parfait et modus operandi du tueur
Spike aide le virus SARS-CoV2 à pénétrer dans les cellules humaines grâce à son récepteur : l’ACE2. Une fois bien ancré, celui-ci va libérer son ARN et se répliquer avant d’infecter d’autres cellules.
Le prétendu vaccin ne reste pas localisé au muscle deltoïde où la mixture est injectée, contrairement à la désinformation assénée par l’État voyou.
Le récepteur ACE2 ou Angiotensin-converting enzyme 2 est une protéine qui traverse la membrane des cellules qui la contiennent. Elle aide à réguler la pression sanguine et tient un rôle clé contre les inflammations dans l’organisme. Il est donc criminel de la détourner pour favoriser l’expansion du COVID qui est une pathologie inflammatoire !
En se liant à ACE2, la protéine Spike du virus SARS-CoV2 aggrave l’inflammation que l’on observe dans le COVID. Laquelle peut produire un maelstrom de cytokines, prélude à la pneumonie et au syndrome de détresse respiratoire aiguë avec coagulation, conduisant à la mort.
Une autre interaction décuple la toxicité de cette convergence Spike-ACE2. Elle tient au fait que les récepteurs ACE2 sont présents partout dans l’organisme : pharynx, trachée, poumons, sang, cœur, vaisseaux, intestins, cerveau, testicules, ovaires et reins, et aussi dans les liquides organiques : mucus, salive, urine, liquide céphalo-rachidien, sperme et lait maternel.
Cela facilite la nuisance du prétendu vaccin en colportant son inflammation dans de nombreux organes.
Ainsi la majorité des patients atteints de COVID post vaccinal présentent divers symptômes alarmants tels que troubles respiratoires, dysfonctionnements neurologiques, troubles mentaux, pathologies intestinales, rénales et cardiovasculaires.
Info truquée comme partout quand ça dérange le Nouvel Ordre Mondial
Bien évidemment, dans les dossiers de désinformation remis aux médias qui les ont répliqués sans en changer une virgule, les firmes vaccinales corruptrices ne présentent que des informations partielles et partiales, minimisant la toxicité de l’ARNm. Et rien du tout sur la nocivité de la protéine Spike.
C’est assez sournois car s’il n’est pas démontré que la protéine Spike seule suffit à causer des thromboses, il est prouvé qu’une fois associée aux vaxins à ARNm qui la modifient, Spike produit, en plus des caillots et des thromboses, une perte d’intégrité de la barrière hémato-encéphalique (qui sépare les vaisseaux irriguant le cerveau du système nerveux central) déclenchant une inflammation dans les vaisseaux du cerveau et dans le cerveau lui-même. Mais ça, on se garde bien de le dire. Et on interdit d’exercer leur profession aux médecins qui en font état.
Vacciné et maboul, peut-être ou peut-être pas, le ticket d’une loterie vicieuse bien dans l’esprit des Macronescu
Beaucoup de personnes au caractère assez fort pour refuser de servir de rats de laboratoires à des médicastres véreux, ont observé parmi leurs proches «vaccinés » des comportements aberrants :
Variations d’humeur, éclats de rire et pleurs sans raison, pouvant évoluer en cyclothymie. Crises d’angoisse ou d’hyper activité, entrecoupées de pics d’agressivité que rien ne justifie. Pulsions suicidaires. Libido perturbée avec exhibitionnisme et coprolalie compensatoires. Aboulie, grimaces, tics, pertes de mémoire, inaptitude aux raisonnements basiques ou dysphasie.
Quant aux piqués qui se rassurent en clamant avec force : « Mais moi je n’ai rien de tout ça ! », qu’ils n’oublient pas que ces troubles mentaux peuvent se produire jusqu’à dix ans après la piquouse.
Car il ne s’agit pas seulement d’un virus respiratoire trafiqué qu’on injecte aux cobayes. C’est un virus systémique qui peut provoquer, en plus des perturbations plus ou moins durables, un déclin cognitif à moyen terme.
Si vous ne me croyez pas, courez vite réclamer votre cinquième dose !