Voyage en absurdie …

Publié par le 19 Mai, 2018 dans Blog | 0 commentaire

Voyage en absurdie …

Je vous propose aujourd’hui la preuve (par l’absurde !) que depuis des décennies nos esprits ont été régimentés, formatés par une propagande gauchisante dont les relais les plus puissants ont été :

– Au premier chef, la presse, largement acquise à l’idéologie de gauche,
– L’Education nationale noyautée à tous les niveaux (pédagogisme, syndicats) par la gauche,
– Une bonne part de la justice sous l’égide du syndicat de la magistrature,
– Beaucoup de corps intermédiaires, comme les syndicats, et certains organismes d’Etat.

J’ai trouvé cette preuve dans un article de Franck Credo paru dans Causeur.fr. Dans cet article, l’auteur réécrit l’histoire que nous vivons en ce moment, et notamment les mouvements sociaux (SNCF, Facs, etc …) en inversant la droite et la gauche. Je n’en dis pas plus mais vous verrez que l’on est souvent déboussolé tellement le « camp du bien » a réussi à nous faire croire qu’il était bien du côté du bien …

Voyage en Absurdie :
j’ai rêvé que l’extrême droite détruisait le pays …

Je fais des rêves bizarres en ce moment. Je ne sais pas si c’est parce que j’ai dormi la tête en bas, mais la nuit dernière, j’étais immergé dans un « drôle » d’univers. Enfin, façon de parler. Il faut que je vous raconte.

Dans ce monde parallèle né de mon sommeil fertile, des jeunes du FN occupent illégalement pendant plusieurs semaines la place de la Concorde. Leur mouvement, baptisé « Jour Assis », provoque des dégâts et des nuisances en tout genre…. mais les autorités laissent filer. Histoire de ne pas mettre de l’huile sur le feu. Des grèves initiées par des mouvements identitaires paralysent l’activité économique du pays et des militants n’hésitent pas à brûler, en place publique, l’effigie du président de la République. Les autorités laissent glisser, sans doute pour préserver la paix sociale.

« Encore un coup de l’extrême gauche »

Dans mon rêve, l’extrême droite consume à petit feu la République. Des pompiers sont régulièrement caillassés et les voitures de polices brûlées par des milices nationalistes, regroupées pour la plupart dans la France périphérique. Durant une manif’ organisée par l’extrême droite à Paris, le kebab du coin est saccagé. « Encore un coup de l’extrême gauche », s’empresse de tweeter un dirigeant du FN avant de piteusement rétropédaler. En province, un élu classé très à gauche se fait même molester dans la rue par des dizaines de militants très à droite, lesquels filment hilares la scène avec leur smartphone. Un khmer rouge islamo-gauchiste à terre, c’est bien fait pour sa gueule et c’est sacrément poilant !

Les autorités, elles, réagissent à peine. Encore moins les médias officiels. Il faut dire que, même si le bateau France tangue sérieusement, le service public et la grande majorité des journalistes penchent assez nettement à tribord, comme au bon vieux temps de l’ORTF, et ont tendance à voir des staliniens à chaque coin de rue. C’est tout juste si les chars soviétiques ne risquent pas de défiler dans la capitale. Du coup, les islamo-gauchistes grappillent des voix à chaque élection et les journaux sonnent le tocsin et déclenchent l’alerte générale. Pol Pot et Ben Laden pourraient prendre le pouvoir en France, sus au communisme et à l’islamisme ! On ne sait plus très bien qui nourrit l’autre dans l’histoire…

« L’immense majorité des … »

Un énième attentat est commis sur notre sol. A intervalle régulier, des militants d’extrême droite écrasent, mitraillent, tirent à bout portant, poignardent ou égorgent nos enfants, nos femmes, nos juifs, nos policiers… Mais notre président, nos ministres, nos médias refusent qu’on fasse l’amalgame. Comme si le principal danger était là. A chaque acte de barbarie, on psalmodie sur les ondes ou sur le grand écran qu’il n’y a pas que des fachos et des racistes à droite. Qu’il y a aussi des patriotes, des populistes, des gaullistes, des souverainistes, etc. Des journalistes un peu réacs sur les bords se font même un malin plaisir de souligner que de nombreux hommes de gauche se sont fourvoyés dans la Collaboration et que d’autres, très à droite, ont été de grands résistants. Bref, que les choses sont bien plus complexes que ça, qu’il vaut mieux éviter les généralisations.

A chaque acte de barbarie commis au nom de l’extrême droite, on déplore que cela fasse le jeu des islamo-gauchistes, principal danger pour notre République. On n’excuse pas, mais on cherche à expliquer : le racisme et la violence de ces ghettos de la haine, de ces zones de non-droit qu’abrite la France périphérique seraient en grande partie dus au sentiment de déclassement, au fait que le pays a changé de visage en quelques décennies, que l’État préfère s’occuper des migrants. Bref que ces pauvres types se sentent stigmatisés et plus vraiment chez eux.

Un skinhead m’a tuer

Des sociologues de droite – rappelons qu’il s’agit d’un rêve – expliquent sur les plateaux télés que cette colonisation est aussi en grande partie à l’origine de l’animosité ressentie par ces militants égarés. Argument imparable puisqu’on sait bien que les descendants des victimes de la colonisation ou de génocides s’en prennent régulièrement aux femmes et aux enfants de leurs anciens bourreaux. Ceci n’excuse rien… mais peut expliquer cela. C’est la raison pour laquelle des extrémistes arméniens tuent à bout portant des femmes et des enfants turcs, des fondamentalistes juifs commettent des attentats contre les civils allemands, des indiens retournent leurs armes contre les Anglais, ceux d’Amérique contre les Américains, des Cambodgiens s’attaquant de leur côté aux blancs dans le 13earrondissement pour qu’ils n’oublient pas l’Indochine …

Pour lire la suite de l’article, rendez-vous sur Causeur.fr !

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