Avec la macronie, on cumule le pire !
– le pire ministre de l’Education nationale,
– le pire garde des sceaux
– les pires porte-parole du gouvernement avec Jean-Christophe Castaner, Sibeth Ndiaye et Olivier Véran qui cumule le titre de pire ministre de la santé !
– le tout commandé par le pire président que la Vème République ait connu !
On n’oubliera pas dans ce musée républicain des horreurs, la sinistre Yaël Braun-Pivet !
C’est par deux fois que cette proche de Macron, le servit aveuglément au détriment de la vérité et au mépris de la démocratie !
1 – Enterrement de l’Affaire Benalla
Le site Blast-Info.fr nous rappelle le sinistre rôle de Yaël Braun-Pivet dans l’affaire Benalla :
Nous sommes le 19 juillet 2018, l’Assemblée nationale est en ébullition : l’affaire Benalla, dont le quotidien Le Monde a livré les premiers éléments, vient d’exploser à la figure de la majorité jusqu’à présent hyper organisée et le doigt sur la couture du pantalon. L’Élysée reste muet, les consignes n’arrivent plus, les oppositions sont déchaînées. Affolés, les ténors de la majorité improvisent des réunions de crise dans les couloirs, et même sur les marches du palais Bourbon. Ils sont quatre, envoyés au front. Il y a le président de l’Assemblée François de Rugy, Richard Ferrand patron du groupe LREM et lieutenant fidèle d’Emmanuel Macron. La garde des Sceaux Nicole Belloubet et une inconnue : Yaël Braun-Pivet, députée des Yvelines, élue dans l’indifférence présidente de la Commission des lois. C’est elle qui va expédier la commission des lois transformée en commission d’enquête sur l’affaire Benalla.
L’affaire Benalla tuée dans l’œuf
Cette commission d’enquête, l’opposition l’a obtenue de haute lutte. Mais la rapporteure Yaël Braun-Pivet va prendre grand soin de la saborder. Avec succès : installée le 19 juillet pour une durée d’un mois, elle implose 5 jours plus tard.
Pour parvenir à ce remarquable résultat, Yaël Braun-Pivet utilise tous les moyens. Sans états d’âme :
Dans un premier temps, elle refuse que les auditions soient publiques. Elle devra finalement céder, sous la pression.
L’avocate réserve ensuite une salle beaucoup trop petite pour accueillir tous les députés qui souhaitent participer aux auditions.
Une certaine conception de son rôle et de la démocratie …
Ce qui fera capoter la commission, c’est la liste des auditions. Alors que l’opposition souhaite entendre l’ensemble des acteurs de l’affaire, Alexandre Benalla compris, Yaël-Braun Pivet ne veut pas « charger la barque ». Alors, pour que la « barque » soit aussi légère que souhaitée, la majorité s’accorde sur seulement 8 auditions, sans consulter l’opposition. Par comparaison, la commission présidée par le LR Philippe Bas au Sénat sur cette même affaire effectuera 48 auditions en six mois. En interrogeant notamment Alexandre Benalla et les collaborateurs d’Emmanuel Macron.
Face au comportement de la majorité et de Yaël Braun-Pivet, accusée d’être aux ordres de l’Élysée, le co-rapporteur LR Guillaume Larrivé jette l’éponge. Il dénonce des instructions destinées à « torpiller les travaux de la commission » et suspend sa participation, suivi par les autres députés d’opposition. Censée faire « toute la lumière sur les événements survenus à l’occasion de la manifestation du 1er mai 2018 », la commission Benalla n’aura pas tenu une semaine.
Yaël-Braun Pivet a bien travaillé : il n’y aura même pas de rapport des résultats de la « Commission » !
Sans foi, ni loi, celle femme n’a aucune éthique et l’a prouvé récemment à la présidence de l’Assemblée.
2 – La démocratie bafouée du haut du perchoir
La nomination à la présidence de l’Assemblée nationale de cette femme ne fait que confirmer le goût irrépressible de Macron pour la provocation.
Avec des conséquences bien plus graves pour la démocratie parlementaire, c’est la même fossoyeuse de l’affaire Benalla qui a donné hier le coup de grâce à l’opposition à la réforme des retraites.
Rappelons que la présidente de l’Assemblée nationale est la présidente de l’ensemble des députés, majorité relative et opposition majoritaire comprises !
Elle fait partie du pouvoir législatif et son obéissance absolue au pouvoir exécutif est une violation caractérisée de la séparation des pouvoirs.
Elle aura empêché, comme l’avait fait précédemment Élisabeth Borne avec le 49-3, les députés de pouvoir voter sur cette loi.
Alors que dans le pays, 70 % des Français et 90 % des actifs rejettent la réforme !
C’est un déni de démocratie caractérisé !
Yaël Braun-Pivet a déshonoré le perchoir où tant de grands homme se sont succédés, comme par exemple Jacques Chaban-Delmas et Philippe Seguin.
Ce crime ne restera pas impuni. Macron devra le payer un jour ou l’autre !
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2 Réponses à “Yaël Braun-Pivet, l’exécutante des basses oeuvres”
Il y a toujours eu des vendus, mais a ce niveau c’est rare,
le nouveau monde promis par macron a enterré le precedent haut la main en terme d’arnaques, de manipulation, de mepris, de mensonges et d’oppression.
De plus en plus la politique ressemble a une forme nouvelle de mafia politique, ce qui explique ce genre d’affaire qui empire et le 2 poids 2 mesures de la justice aussi.