« 1981 n’aurait jamais dû avoir lieu ! »

Elle ne veut pas de bougies ni de marche blanche !

Après le meurtre de son mari, (photo ci-contre), un gendarme victime d’un refus d’obtempérer par un immigré multirécidiviste, Harmony Comyn a brisé tous les codes que la gauche et le système médiatique imposent aux victimes de l’immigration.

Elle a refusé de se plier aux diktats de cette gauche et de commencer son propos par les habituelles préventions :

• pas d’amalgame !
• pas de récupération politique !
• silence en respect du douleur de la famille !

Nous lui adressons toutes nos condoléances, toute notre admiration et notre reconnaissance pour sa réaction courageuse après le drame qui l’a frappée.

A l’inverse, son propos fut dévastateur pour la gauche, la justice et les médias :

Je l’affirme haut et fort : la France a tué mon mari.
La France a tué mon mari, le père de mes enfants.
La France a tué mon mari par son insuffisance, son laxisme et son excès de tolérance.

La France a tué mon mari. Comment ? Pourquoi ?
Pourquoi cet homme multirécidiviste peut-il évoluer en toute liberté ?
Quand est-ce que nos législatifs ouvriront réellement les yeux ?
Faut-il qu’ils soient touchés directement pour agir ?
Combien de morts avant que ces assassins soient vraiment punis ?
(…)
Quelle est la suite pour ce meurtrier ? (…)
Nous par contre, on a pris à perpétuité.

Quant au titre de cet article qui reprend un extrait de sa déclaration :

1981 n’aurait jamais dû avoir lieu !

Certains observateurs y ont vu une allusion et donc une dénonciation de l’abolition de la peine de mort imposée aux Français contre leur gré par MM. Mitterrand et Badinter.

Pour ma part, j’y vois plutôt une dénonciation du laxisme de la justice encouragé par la gauche, quand elle dénonce très précisément « l’insuffisance, le laxisme et l’excès de tolérance » qui règne en France.

Pour terminer, je reprendrai la conclusion d’un article de Boulevard Voltaire :

Gendarme tué à Mougins : sa veuve accuse la France, son laxisme et sa tolérance

On est loin de l’affaire Nahel… Mais voilà. Comme à Crépol, comme pour Lola, comme pour tant et tant d’autres drames, le hasard n’est pour rien. Ces faits ne sont pas « divers ». Les mêmes causes – immigration et laxisme aveugle et sans frein – provoquent en effet les mêmes effets.

Les simples gens, comme le jeune Thomas, comme cette jeune veuve désormais, paient ainsi de leur vie ou de celle de leurs proches la facture des rêves de ceux qui nous gouvernent. Ils n’en peuvent plus, ils le disent, ils le crient. Le mondialisme pacifiste béat et son cortège de frontières ouvertes, de laisser-aller judiciaire et de médias édredons, prêts à tordre et cacher les faits pour accélérer la fin des peuples et des nations, a du sang, des larmes et des vies brisées sur les mains. Comme toujours, la soi-disant élite responsable haussera les épaules à l’évocation de la peine de mort, balaiera le débat sur l’immigration et gagnera du temps sur la réponse pénale, insensible à la détresse des Français. Des Français dont cette veuve de gendarme aura touché les cœurs et éclairé les consciences. L’époque génère peu à peu ses héros, dans les larmes.

Les politiques de gauche ont gardé le silence après ce nouveau drame entrainé par le laxisme véhiculé par leur idéologie. Par contre, le passage concernant 1981 a déclenché un déferlement de haine sur les réseaux sociaux !

Extraits :

Voici quelques réactions abjectes au discours de la veuve du gendarme Éric Comyn… pic.twitter.com/zu3PaJoVWe

— Police & Réalités (@PoliceRealites) August 28, 2024

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