L’abjecte délation de Mediapart est à vomir !

Publié par le 9 Avr, 2025 dans Blog | 0 commentaire

L’abjecte délation de Mediapart est à vomir !

Dans l’affaire libyenne, l’accusation vient de reconnaitre que le document produit par Mediapart contre Nicolas Sarkozy était un faux.

Mais, aucune poursuite n’est prévue contre le torchon gauchiste ! Toujours, le privilège rouge !

De nouveau, Mediapart vient de scandaliser les vrais démocrates en se déchainant contre une enseignante.

Mediapart l’a désignée comme islamophobe parce qu’en dehors de son activité professionnelle, elle ose critiquer l’islamisme sur les réseaux sociaux. Mediapart et un député LFI ont même donné des infos, pour l’identifier !

LFI et Mediapart passent leur temps à placer des cibles dans le dos de leurs adversaires !

Ils n’ont rien appris de l’affaire Samuel Paty !

En d’autres temps, on les aurait qualifiés de collabos, les islamistes remplaçant les nazis !

Evidemment, Mediapart fait remarquer que cette enseignante appartient à un lycée catholique ce qui, aux yeux des gauchistes, est une circonstance aggravante !

Cet article de Boulevard Voltaire dévoile toute l’affaire :

Quand Mediapart dénonce
une enseignante accusée d’islamophobie

Depuis plusieurs jours, S.* est la cible d’un média d’extrême gauche qui multiplie les attaques publiques contre elle, dans une campagne de harcèlement sans relâche, qui la met en danger personnellement et professionnellement. 

Le 3 avril dernier, Mediapart a décidé de jeter en pâture une enseignante, accusée par la rédaction du quotidien numérique de diffuser, sur ses réseaux sociaux, « des messages islamophobes » et « racistes ». Dans la foulée, Thomas Portes, député de La France insoumise, partage cet article sur son compte X et réitère les accusations de « racisme » contre le professeur. L’élu LFI, tout comme Mediapart quelques heures plus tôt, en profite pour donner des indications permettant de localiser l’enseignante. Le nom de son collège et la commune de l’établissement sont ainsi exposés publiquement. Le journal va jusqu’à donner le prénom de la professeur et la matière qu’elle enseigne. Il ne suffit alors que de deux « clics » à un utilisateur novice d’Internet pour retrouver l’identité exacte de l’enseignante visée et, ainsi, la localiser …

Cinq ans après l’assassinat de Samuel Paty, dont l’identité et le nom de l’établissement avaient également été diffusés sur les réseaux sociaux, Mediapart semble jouer un jeu dangereux. Si, vraiment, le quotidien souhaitait dénoncer ces tweets, n’y avait-il pas une autre manière de le faire, une manière qui ne mettrait pas en danger l’enseignante ?

Un compte X qui dérange Mediapart

Le compte de cette professeur, désormais supprimé, rassemblait plus de 55.000 abonnés, sur X. Action des Femen, arrestation d’influenceurs algériens, match de Coupe du monde, faits divers… sous pseudo, « Sans Drap », qui se présentait avec « une dose de patriotisme, un peu de beurre salé, une louche d’amour des animaux et une pincée d’humour », réagit alors régulièrement à l’actualité nationale. Chacune de ses publications fait abondamment réagir. Il n’en faut pas moins pour attirer l’attention de Mediapart, qui décidera d’épingler publiquement l’auteur de ce compte anonyme. À croire que toutes les occasions sont bonnes pour s’en prendre à l’enseignement catholique

Le journal fondé par Edwy Plenel accuse ainsi « Sans Drap » :

de déverser un torrent de messages haineux, souvent à caractère islamophobe.

S. aurait même, selon la journaliste, « une obsession contre l’islam et les femmes qui portent le voile ». Pire : « à cette islamophobie décomplexée s’ajoutent des publications à caractère raciste », s’indigne Mediapart. Pour le quotidien, ces prises de positions sur X sont incompatibles avec son métier de professeur. Pourtant, la journaliste, auteur du papier à charge, le concède elle-même :

S. n’aurait jamais manifesté de comportement inapproprié envers les élèves ou les parents.

La direction diocésaine, interrogée à ce propos par nos confères du Télégramme, le confirme :

Les opinions de cette personne n’ont jamais transpiré dans son travail ou été exprimées au sein de l’établissement. Nous n’avons eu aucune remontée des élèves ou des familles sur la qualité de son enseignement ou son attitude.

L’enseignante n’a par ailleurs, pour l’heure, jamais été sanctionnée pour ses propos. Alerté, le rectorat explique suivre la situation avec son service juridique.

Une enseignante mise en danger

L’article et les méthodes utilisées – désigner une enseignante anonyme à la vindicte populaire et l’accuser d’islamophobie – n’ont pas manqué d’être critiqués par de nombreux journalistes. Hadrien Mathoux, directeur adjoint de Marianne, s’indigne ainsi :

Mediapart fournit donc le nom et la localisation de l’établissement, la matière qu’enseigne la professeure en question ainsi que son prénom. En dehors du peu d’intérêt de l’info, il suffit qu’un fou furieux prenne connaissance de l’article pour que la prof soit en danger … 

Eugénie Bastié, du Figaro, dénonce quant à elle « l’esprit de délation » du journal d’Edwy Plenel.

Clémence de Longraye pour Boulevard Voltaire.

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