« J’ai donc assisté à l’effondrement du journalisme ! »

Publié par le 27 Août, 2024 dans Blog | 0 commentaire

« J’ai donc assisté à l’effondrement du journalisme ! »

Depuis des années, je ne cesse de dénoncer l’attitude inqualifiable des journalistes français concernant leur couverture de la crise du covid et de sa gestion par les autorités politiques et sanitaires.

Mais c’est partout la même chose en Occident !

Les grands médias se sont couchés devant le pouvoir macronien et portent la lourde responsabilité d’avoir entretenu dans le public la terreur illusoire d’un virus qui ne menaçait qu’une infime partie de la population et surtout d’avoir tout fait pour la promotion de l’injection d’un produit non validé et qui s’est avéré inefficace et dangereux !

Même quand les preuves de leur déficience sont rendues publiques, les médias les cachent au public. Cela vient d’être le cas avec une étude publiée par les médecins lyonnais qui accusait l’hydroxychloroquine d’avoir tué 17 000 personnes durant la première vague du covid.

Cette étude vient de subir une rétractation de la part du directeur de publication pour données et conclusions non fiables !

Les mêmes journalistes qui avaient relayé complaisamment cette étude qui confortait le récit dominant et mensonger se garde bien de publier cette info et de présenter leurs excuses au public !

On comprend qu’il est devenu quasi-impossible, pour les journalistes, de confesser leurs manquements graves à l’éthique attachée, en principe, à leur métier, tellement les conséquences de leur servilité ont été graves de conséquences !

C’est la raison pour laquelle je suis heureux de relayer ici le premier témoignage, on peut même dire la première confession, d’une journaliste repentie !

Il s’agit de l’ex-journaliste de CBS News, Marianna Klowak qui a donné une conférence de presse dont les premiers mots furent très forts :

Nous avons trahi le public. Nous avons brisé sa confiance. Nous bénéficions depuis des années d’une réputation d’excellence. Or nous avons rapidement mis fin à une partie des débats ! Et comment faisons-nous ? Nous avons fait passer les médecins et les experts que nous avons utilisés dans nos reportages, dans nos émissions pour des personnes compétentes et dignes de confiance.

Ceux qui remettaient en question le récit étaient présentés comme dangereux et comme diffusant de la désinformation ! Et ce, quelles que soient leurs spécialités, leurs formations et leurs expériences !

Je voudrais aussi vous donner un aperçu de la façon dont cela m’a affecté personnellement. En tant que journaliste chevronnée, j’avais de solides contacts dans la communauté. Des gens m’appelaient pour me raconter des histoires. Je voyais, j’entendais et j’absorbais toutes leurs histoires de souffrances et de douleurs qu’ils partageaient avec moi. Et ces histoires n’étaient pas diffusées ! Certains d’entre-eux ont été blessés par le vaccin. Certains avaient perdu leur emploi en raison de leur statut vaccinal. Ceux dont les familles ont été brisées et qui ont été mis au ban de la société !

Plus loin, elle se fait plus incisive et conclut :

J’ai donc assisté, en très peu de temps, à l’effondrement du journalisme, de la collecte d’informations du journalisme d’investigation et ce que je voyais c’était que, en fait, nous étions en train de faire de la propagande. Et pour définir la propagande, il s’agit d’informations, d’idées, des opinions ou des images qui présentent une partie d’un argument qui sont diffusés, publiés afin d’influencer l’opinion d’une personne.

Les professionnels de la santé mentale ont leur propre définition de la propagande, à savoir une persuasion manipulatrice au service d’un agenda !

La suite est dans la vidéo suivante :

Espérons que le courageux témoignage de cette ancienne journaliste ne restera pas isolé et qu’elle inspirera d’autres confessions.

Car n’oublions pas que les journalistes partagent à égalité avec les responsables politiques le sang qui macule leurs mains !

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