Je suis sans doute un esprit primaire – à gauche on me traite de fasciste, de raciste et de xénophobe – mais je n’arrive pas à comprendre comment il est possible que, dans le cadre de notre sacrosaint « Etat de droit », des clandestins puissent revendiquer le moindre droit !
Prenons l’Aide Médicale d’Etat (AME), si je comprends bien que les hôpitaux ont le devoir de soigner tout blessé ou malade grave se présentant, quel que soit son statut administratif, j’estime que le panier de soin dont il peut bénéficier devrait être strictement limité aux cas d’urgence ou de danger potentiel pour la population.
Je vais aggraver mon cas en pensant que tout clandestin qui entre à l’hôpital devient connu de l’Etat et que, à ce titre, il devrait faire l’objet d’une expulsion immédiate après ses soins.
Par ailleurs, le fait qu’un règlement européen oblige la France à scolariser les enfants d’un clandestin est surréaliste puisqu’un clandestin, par définition, est inconnu de l’Etat !
Pour finir, comme vient de le décider Giorgia Meloni en Italie, la France devrait prévenir toute personne qui entre illégalement sur le territoire français qu’elle ne sera JAMAIS régularisée.
Et je ne suis pas le seul à penser cela :
Il semble que le ministre de l’intérieur, Bruno Retailleau partage mes convictions et commence à agir pour les mettre en pratique, à commencer par sa décision d’abroger la directive Valls de régularisation automatique des clandestins. Il faut l’encourager !
Voici un article de Breiz-Info qui développe ce sujet en pointant que la France est encore loin du volontarisme affiché par Donald Trump aux Etats-Unis :
Le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau, qui semble ne pas être capable d’allouer des charters et d’expulser massivement des immigrés présents illégalement sur le territoire français, met en œuvre une nouvelle circulaire qui durcit les règles de régularisation des étrangers en situation irrégulière. Ce texte abroge la circulaire Valls de 2012 et marque un changement dans la politique migratoire, même si cela ressemble un peu à de la poudre aux yeux.
Un changement de philosophie
La nouvelle circulaire signée par Bruno Retailleau revoit profondément les conditions « d’admission exceptionnelle au séjour » pour les étrangers sans papiers. Cette procédure, qui permettait chaque année à plus de 30 000 personnes d’être régularisées pour des motifs familiaux ou professionnels, est désormais recentrée sur son caractère « exceptionnel ».
Le ministre précise que cette voie « n’est pas la voie normale d’immigration » et demande aux préfets d’adopter une approche plus stricte. Parmi les changements notables, la durée de présence minimale en France pour prétendre à une régularisation passe de cinq ans à sept ans, constituant un « indice pertinent d’intégration ».
L’un des points clés de cette circulaire réside dans le renforcement des critères d’intégration. Désormais, tout demandeur devra signer un contrat d’engagement à respecter les principes de la République. À défaut, la demande sera jugée irrecevable.
La maîtrise de la langue française devient également un élément central. Les préfets sont invités à apprécier favorablement les dossiers comportant un diplôme français, une certification linguistique, ou tout autre preuve attestant d’une bonne connaissance de la langue.
Cette évolution tranche avec la circulaire Valls, qui adoptait une approche plus souple, en valorisant une « juste prise en compte des réalités humaines ».
Autre nouveauté : les étrangers faisant l’objet d’une Obligation de Quitter le Territoire Français (OQTF) ne pourront prétendre à une régularisation, sauf en cas d’éléments nouveaux. Avec l’allongement récent de la durée d’application des OQTF de un à trois ans, cette mesure devrait limiter encore davantage les possibilités de régularisation.
Ce durcissement intervient dans un contexte où la maîtrise des flux migratoires est affichée comme une priorité gouvernementale. En 2023, sur les 34 724 régularisations effectuées, près de 22 000 concernaient des motifs familiaux, 11 500 des motifs professionnels, et environ 1 000 des étudiants.
Le grand patronat, toujours avide de main d’oeuvre bon marché et à bas prix, souligne de son côté les besoins criants de main-d’œuvre dans plusieurs secteurs en tension.
Si la circulaire Retailleau représente un durcissement notable, son impact juridique reste limité. Cela signifie que, malgré des directives plus strictes, les préfets conservent une latitude pour accorder des régularisations au cas par cas, notamment en présence d’éléments favorables comme une insertion professionnelle réussie ou un soutien communautaire fort. En France, la bureaucratie semble tellement forte, à l’instar de l’Union Soviétique, qu’il semble que toute décision radicale, salutaire pour les autochtones, soit impossible à prendre.
En comparaison, Donald Trump, après quelques jours de mandat en tant que nouveau président des USA, vient de lancer des réformes radicales sur l’immigration.
Une loi anti-immigration historique : la nouvelle offensive de Donald Trump
Le Congrès américain a adopté, en effet, une loi emblématique visant à durcir les mesures contre l’immigration clandestine. Le texte marque une inflexion majeure dans la politique migratoire des États-Unis et s’accompagne d’annonces chocs du président républicain.
Adoptée mercredi par la Chambre des représentants, la loi, surnommée Laken Riley Act, exige la détention automatique des migrants en situation irrégulière ayant été condamnés ou inculpés pour certains délits. Avec 263 votes pour, dont une quarantaine de démocrates, contre 156, ce texte bénéficie d’un soutien bipartisan limité mais significatif.
Donald Trump a salué l’adoption de cette loi, estimant qu’elle répond à une priorité de son mandat : « expulser des millions d’étrangers criminels ». La loi porte le nom de Laken Riley, une étudiante assassinée en février 2024 par un immigré vénézuélien en situation irrégulière. Cette affaire, exploitée lors de la campagne présidentielle, a cristallisé les débats sur les politiques migratoires jugées trop laxistes sous l’administration Biden.
En parallèle, Donald Trump a multiplié les annonces pour renforcer le contrôle des frontières et durcir les politiques migratoires :
- Renforcement militaire à la frontière mexicaine : 1 500 militaires supplémentaires seront déployés, s’ajoutant aux 2 000 déjà présents, pour ériger des barrières et accomplir des missions de surveillance.
- Suspension des demandes d’asile : Toutes les nouvelles demandes de réfugiés, y compris celles déjà acceptées, sont suspendues jusqu’à nouvel ordre.
- Remise en question du droit du sol : Un décret signé par Trump attaque ce droit pourtant inscrit dans la Constitution américaine.
Ces mesures s’inscrivent dans une stratégie globale visant à réduire drastiquement les flux migratoires vers les États-Unis.
La France fait vraiment pâle figure en comparaison.
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Une réponse à “La « directive Valls » enfin abrogée !”
Voila aussi le travail de mensonge sur les meurtriers, des merdias a 99 % :
Voilà l’assassin musulman de Southport : 200 coups de couteau, 3 fillettes massacrées
https://ripostelaique.com/voila-lassassin-musulman-de-southport-200-coups-de-couteau-3-fillettes-massacrees.html
VOILA L’ORDURE ASSASSIN DE FILLETTES QUE LA GAUCHE A DÉFENDU !
Cette ordure a donné 122 coups de couteau à une des trois fillettes qu’il a assassinées à Southport. On connaît à présent la réponse des travaillistes anglais : ils ont réprimé les manifestations de colère du peuple, et ont enfermé en prison des Anglais des classes populaires, faisant sortir des racailles pour faire de la place.
Alors qu’il était évident que l’assassin était un musulman, comme l’auteur de coups de couteau à des bébés à Annecy ; les gauchistes ont traité de menteurs et de racistes les réseaux sociaux qui révélaient que l’assassin était bien un musulman et ne pouvait être, vu le mode opératoire, qu’un musulman.
On préfère ne pas penser aux dernières minutes des fillettes anglaises. Pendant ce temps-là, Tommy Robinson est toujours en prison, et Starmer n’est pas encore pendu…
https://www.fdesouche.com/2025/01/23/southport-angleterre-une-attaque-au-couteau-fait-de-nombreuses-victimes/