On dit toujours que le poisson pourrit par la tête.
Mais, on sait aussi que l’exemple doit venir du haut !
On peut constater ainsi que le wokisme prospérait sous la mandature démocrate de Joe Biden et Kamala Harris.
Mais on relève déjà des signes de l’affaiblissement de cette idéologie depuis que Donald Trump l’a emporté. Surtout avec la présence, dans son équipe, de l’un des plus virulents opposants au wokisme, Elon Musk !
La créatrice d’Harry Potter, J.K. Rowling, était la cible des progressistes depuis qu’elle soutenait qu’il n’y a que deux sexes et que les hommes ne pouvaient tomber enceints !
Mais voila, qu’à rebours de la bien-pensance, la célèbre plateforme de vidéo à la demande, HBO, la soutient comme le rapporte cet article de Boulevard Voltaire :
HBO résiste au wokisme et défend J.K. Rowling,
connue pour sa lutte anti-trans
Traduits dans 79 langues, présents dans plus de 200 pays et vendus à plus de 500 millions d’exemplaires, les livres de la saga Harry Potter sont devenus un incontournable de la culture pop. La société de production Warner Bros. Discovery travaille sur une réadaptation de l’œuvre pour une série télévisée. Les premiers épisodes devraient sortir courant 2026 sur la chaîne de télévision américaine HBO. La société de production ainsi que la chaîne de diffusion ne considèrent pas comme une éventualité l’absence de J.K. Rowling, la créatrice de l’univers Harry Potter, dans le processus de création de ce nouveau projet. Pourtant, s’il est vrai que son œuvre est reconnue comme un succès mondial et intergénérationnel indiscutable, l’auteur de ces ouvrages est devenu non seulement discutable, selon certains, mais encore tout à fait controversé, depuis le mois de juin 2020, date à laquelle J.K. Rowling s’est ouvertement exprimée au sujet de la transidentité.
Malgré les pressions des communautés LGBT, HBO maintient J.K. Rowling pour la série Harry Potter
Malgré les pressions reçues, les appels au boycott, les accusations de transphobie, la chaîne HBO a tenu bon, n’a pas reculé et a réaffirmé son choix assumé de maintenir Rowling dans le processus créatif de la série Harry Potter à venir. La société de production Warner ne s’est pas inclinée face aux accusations de transphobie à l’égard de l’auteur. Warner a même manifesté son soutien, dans un communiqué de presse :
Nous sommes fiers de raconter à nouveau l’histoire de Harry Potter : des livres réconfortants qui parlent du pouvoir de l’amitié, de la détermination et de l’acceptation. J. K. Rowling a le droit d’exprimer ses opinions. Nous resterons concentrés sur le développement de la nouvelle série, qui ne pourra que bénéficier de son implication.
Sur son compte X, depuis le mois de juin 2020, J.K. Rowling affirme et réaffirme sa vision de la question transgenre. Ce sujet est devenu son principal combat sur les réseaux sociaux. Elle martèle que les femmes sont des femmes et les hommes sont des hommes, une prise de position qui lui vaut d’être considérée par les membres de la communauté LGBT comme TERF [féministe radicale excluant les personnes trans, NDLR]. Elle n’a de cesse de fustiger les trans et d’assener que les organes génitaux d’une personne sont constitutifs de son sexe. Ses prises de position, nettement à rebours des nouvelles idées infusées par les discours woke, ont soulevé une masse importante de commentaires négatifs, de boycott et même de menaces de mort qui ont contraint l’auteur à succès à être placée sous protection policière. Sur son compte X, elle déclarait alors : « J’ai reçu tellement de menaces de mort que je pourrais tapisser ma maison avec. » Pourtant, elle n’a jamais cessé de dénoncer les idéologies woke, particulièrement la transidentité. Le 5 mai dernier, Rowling avait exprimé son soutien à l’égard de l’ouvrage Transmania, coécrit par Dora Moutot et Marguerite Stern, qui suscite en France la polémique, voire les menaces et la violence.
Malgré cette prise de position très tranchée et publiquement assumée de J.K. Rowling, la plate-forme HBO ne recule pas. Pour une plate-forme VOD, ce positionnement anti-woke n’est pas fréquent. Des dérives progressistes des géants du streaming, tels que Netflix ou encore Amazon Prime et Disney Plus, qui ont souvent été évoquées sur BV.
Les effets de l’élection de Donald Trump et la nomination au gouvernement d’Elon Musk, farouche opposant à l’idéologie woke, semblent déjà porter leurs fruits.
Raphaelle Claisse pour Boulevard Voltaire.
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