Le GIEC bidonne les données qui invalident sa thèse !

Dans ce blog j’ai relayé nombre d’articles scientifiques sérieux qui contestaient la thèse obsessionnelle du GIEC, celle qui veut que les activités humaines soient la cause unique du réchauffement climatique, par l’intermédiaire de la production de CO2.

Ces articles évoquaient d’autres causes au réchauffement climatique comme la variation de la trajectoire de la Terre autour du soleil et les cycles de variation des émissions solaires.

Certains contestaient même le réchauffement global de la Terre en montrant que la calotte polaire de l’antarctique, non seulement ne fond pas, mais s’élargit. D’autres démontraient, courbes à l’appui, que l’augmentation du taux de CO2 est la conséquence du réchauffement et non sa cause !

Et voila qu’on découvre que la NASA propose une autre explication au réchauffement climatique avec la variation de la couverture nuageuse et donc de son absorption du rayonnement solaire.

Mais voila, le GIEC n’a pas seulement écarté cette hypothèse mais en a bidonné les données afin qu’elle renforce son hypothèse unique au lieu de la contester.

Voici juste le début d’un très long article du blog de Patrice Gibertie qui dénonce cette forfaiture :

SCANDALE: le GIEC a inversé les données satellites
qui montraient la vraie cause du réchauffement :
la baisse de la couverture nuageuse et l’ensoleillement

Les données satellites prouvent que le réchauffement est expliqué par la baisse de la couverture nuageuse, le CO2 n’y est pour rien !

Les partisans du réchauffement climatique causé par les activités humaines sont obligés de tricher pour défendre leur thèse !

La température sur terre reflète la balance entre la chaleur reçue et celle qui s’échappe. La chaleur reçue est modulée par la couverture nuageuse : plus celle-ci est importante, moins de chaleur arrive sur terre.

La chaleur qui s’échappe est modulée par les gaz à effet de serre, plus ceux-ci sont abondants, moins de chaleur quitte la terre.

Les données des satellites montrent que l’augmentation de la température correspond à une diminution de la couverture nuageuse, ce qui embête le GIEC parce que la couverture nuageuse n’est pas déterminée par l’activité humaine.

Donc ils trichent, inversant les données de la couverture nuageuse …

Quand on a besoin de tricher c’est que la thèse ne tient pas la route.

@IPCC_CH a inexplicablement manipulé les données satellitaires concernant le rayonnement solaire réfléchi pour cacher le fait que le réchauffement du 21e siècle est dû à l’augmentation du réchauffement solaire par rapport aux émissions. En d’autres termes, si l’AR6 du GIEC avait reconnu l’augmentation de l’absorption de la lumière solaire par la Terre au cours du 21ème siècle mesurée par CERES.

Cela aurait invalidé l’affirmation centrale du rapport selon laquelle les émissions de carbone humaines étaient le principal moteur du climat au cours des dernières décennies.

La pente moyenne de la courbe a tout bonnement été inversée !

Le reste de l’article est d’un niveau scientifique très élevé. Les passionnés y trouveront de la substance !

Je vous livre juste la conclusion de l’article :

Compte tenu des faits susmentionnés et de l’énorme impact socioéconomique mondial des conclusions et recommandations du GIEC, nous pensons qu’il serait dans l’intérêt du monde de lancer une réévaluation indépendante et critique des principes fondamentaux de la théorie du climat du point de vue des observations modernes, et d’établir un nouveau système objectif d’évaluation par les pairs qui garantisse une représentation complète et impartiale de toutes les données disponibles dans les rapports du GIEC.

Ces efforts devraient s’accompagner d’une dépolitisation décisive de la science du climat par l’adoption d’une législation appropriée sous la forme d’un droit international qui rétablisse l’indépendance financière de la recherche universitaire, criminalise l’ingérence politique dans la recherche scientifique et encourage l’adoption de nouvelles approches pour résoudre les problèmes de physique du climat.

C’est ce que je demande à la fin de tous mes articles sur le réchauffement climatique : un grand débat mondial des vrais scientifiques qui exclurait l’influence des politiques !