Quand la plus grande démocratie du monde dérape !

Publié par le 23 Août, 2024 dans Blog | 0 commentaire

Quand la plus grande démocratie du monde dérape !

On parle souvent de la Grande-Bretagne comme de la plus grande démocratie du monde !

C’est sûrement vrai mais comme cela devient la règle dans la plupart des pays occidentaux, les gouvernements, au nom du Bien, prennent des mesures de plus en plus liberticides foulant aux pieds les valeurs sur lesquelles reposent leurs républiques.

C’est devenu la marque des régimes progressistes !

On vient d’en avoir un exemple frappant avec la gestion de la crise sanitaire où on nous a confinés, masqués et injectés un produit expérimental aujourd’hui identifié comme inefficace et dangereux.

Cela, sans qu’à aucun niveau de la justice, on n’y trouve rien à redire !

Les pouvoirs publics, gouvernements et justice, répriment également férocement toutes les initiatives du peuple pour contester l’immigration incontrôlée responsable de l’explosion de l’insécurité.

Macron et son bras armé, Darmanin, ont dissous nombre de groupuscules de droite, comme Génération identitaire, sans raisons objectives de le faire.

Mais le pire vient d’être commis en Grande-Bretagne

Le nouveau premier ministre britannique, Keir Starmer, vient de réprimer brutalement les émeutes déclenchées par l’assassinat d’une fillette par un jeune issu de l’immigration.

Comme nous le rapporte cet article de Boulevard Voltaire, Keir Starmer a décidé de libérer des milliers de détenus de droit commun pour les remplacer par des émeutiers que certains pourront considérer comme des détenus politiques :

L’Etat britannique préfère les meurtriers aux émeutiers

C’est confirmé, le gouvernement britannique va bien libérer plusieurs milliers de places de prison pour pouvoir enfermer les émeutiers anti-immigration. Des 500 places initialement annoncées, on parle désormais de 2.000 détenus, voire jusqu’à 5.000 libérés. C’est d’ailleurs le gouvernement lui-même, via son site internet officiel qui explique que cette libération massive a directement pour but d’enfermer les émeutiers anti-immigration.

Si l’on peut effectivement s’étonner de la sévérité inhabituelle de la justice britannique à l’égard de ces émeutiers, il est vrai que ce sont des décisions judiciaires prises par des juges sur des dossiers que nous ne connaissons pas. La disproportion des peines prononcées par rapport aux délits ont beau être inquiétantes, cela reste à la libre appréciation des juges.

Mais en revanche, la libération de détenus de droit commun dans le but précis, exclusif, et avoué d’y mettre d’autres détenus, qui sont des opposants politiques, est un grave dévoiement de la justice.

L’opposition à l’immigration, motif de discrimination judiciaire ?

Depuis des années, une majorité de Français ordinaires et une minorité (vaillante) de Français élus demandent une plus grande sévérité à l’égard des squatteurs, des voleurs, des violeurs, des terroristes, des meurtriers ou des agresseurs sexuels. Et depuis des années, un des arguments qui leur est opposé est l’indépendance de la Justice. En effet, celle-ci prendrait ses décisions actuelles en toute indépendance et les baserait sur l’infraction commise, et sur la personnalité des accusés. Leur imposer une plus grande sévérité serait un sacrilège.

Et pourtant … ces mêmes personnes qui érigent l’indépendance de la Justice en totem sacré, lorsqu’il s’agit de faire preuve de sévérité de la Justice à l’égard des délinquants ordinaires … sont prêtes à bafouer cette indépendance dès lors qu’il s’agit d’opposants politiques.

Il y aura un avant, et un après

Car en effet, lorsque le gouvernement libère certains détenus pour pouvoir en enfermer d’autres, il atteint à l’indépendance de la justice.

Il envoie le signal que certaines personnes seront traitées plus durement que d’autres, pour le seul motif qu’elles auraient une certaine opinion politique (en l’occurrence, s’opposer à l’immigration).

C’est la première fois, à mon sens, qu’un système judiciaire de l’ex-bloc de l’Ouest commet sur une si grande échelle et de façon aussi assumée un tel dévoiement de la justice.

Ainsi, pour le gouvernement britannique, David Spring, 61 ans, sans casier judiciaire et s’occupant de son épouse malade, doit être plus sévèrement puni, pour avoir insulté des policiers en manifestation, que Lawson Natty, complice du meurtre d’un adolescent de 14 ans, tué d’un coup de machette en plein cœur, et qui aura le bonheur d’être libéré en avance. Comme le disait un certain Alexandre Soljenitsyne à Philippe de Villiers :

les dissidents sont à l’Est, ils vont passer à l’Ouest !

Pierre-Marie Sève pour Boulevard Voltaire.

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