On n’attendait plus que le verdict du plus grand défenseur du patrimoine français, j’ai nommé Stéphane Bern !
Car, malgré le refus à l’unanimité de la Commission Nationale du Patrimoine et de l’Architecture (CNPA), de remplacer des vitraux mis en place par Viollet-le-Duc dans Notre-Dame, par des vitraux contemporains, le pervers narcissique qui loge à l’Elysée, a décidé de passer outre !
Je suis de plus en plus favorable à une VI ème République – évidemment pas celle de Jean-Luc Mélenchon ! – mais une République qui réduirait considérablement les pouvoirs du Chef de l’Etat, ceux d’une monarchie absolue.
Je pense à toutes ces nominations du fait du prince comme celle, par exemple, du président du Conseil constitutionnel et de celui de l’Arcom, devenue un commissariat politique à la censure contre les médias de droite. Mais aussi, ces décisions type « fait du prince » !
Pour en revenir aux vitraux de Notre-Dame, l’idée que Macron puisse laisser son empreinte dans ce vaisseau vieux de huit siècles m’est vraiment insupportable.
Et donc nous attendions tous que Stéphane Bern se prononce sur cette décision indécente. C’est fait comme le rapporte cet article de The Epoch Times :
Stéphane Bern fustige les vitraux contemporains
voulus par Emmanuel Macron à Notre-Dame de Paris
Avec l’archevêque de Paris, le chef de l’État a décidé de remplacer six vitraux de la cathédrale Notre-Dame de Paris du XIXe siècle par des contemporains. Ce qui n’est pas du tout du goût de Stéphane Bern.
Le présentateur de Secrets d’Histoire n’est pas content et il le fait savoir. Ce samedi, Stéphane Bern a rappelé son opposition à l’installation de vitraux contemporains dans Notre-Dame de Paris.
Quelques semaines plus tôt, Emmanuel Macron avait proposé de remplacer des vitraux datant du XIXe siècle par des nouveaux, sur une façade de la cathédrale de Paris, afin d’y laisser « une marque du XXIe siècle ». Ces derniers doivent être installés d’ici fin 2026.
« Des vitraux classés »
« Je n’ai rien contre les vitraux contemporains. Il y en a à la cathédrale de Chartres et j’ai participé à la collecte. Mais je leur suis favorable quand les anciens sont détruits ou détériorés », a expliqué Stéphane Bern à l’occasion d’un entretien pour Ouest-France.
En ajoutant :
On ne peut pas enlever des vitraux classés Monument historique. Sinon, je vais faire la même chose pour mon musée : enlever ce qui est Monument historique et faire des choses contemporaines que j’aime beaucoup. Soyez sûrs que la Direction régionale des Affaires culturelles me mettrait une amende.
Avec le soutien de la ministre de la Culture, le Franco-Luxembourgeois a dit engager un recours contre le projet.
Pourquoi l’État s’affranchit-il des règles qu’il impose aux autres ? Juste parce que le président le veut ?
se questionne l’animateur radio et avoue par ailleurs :
Le Président, je passe mon temps à dire ce que je pense – et pas que du bien – de ses décisions.
Cet amoureux des vieilles pierres, qui a suivi avec attention la rénovation de la cathédrale et sa réouverture au mois de décembre, s’indigne notamment du coût de ces vitraux, 4 millions d’euros, qu’il juge inadapté en temps de crise budgétaire.
Une pétition rassemble plus de 250.000 signatures
Selon le défenseur du patrimoine, cette somme devrait être allouée à la restauration d’éléments importants, comme les pinacles, les arcs-boutants. Un « musée de l’œuvre » afin de raconter « les coulisses, les œuvres, ou exposer le coq miraculeusement retrouvé » pourrait aussi bénéficier de fonds.
Stéphane Bern fustige :
L’argent serait mieux utilisé que dans des vitraux contemporains à la place de ceux de Viollet-Le-Duc. Mais bon, c’est un souhait du président. Donc ce que le président veut, Dieu le veut, j’ai l’impression !
Toutefois, « on n’est pas près de voir ces vitraux », anticipe-t-il, se référant à l’avis défavorable unanime de la Commission nationale du patrimoine et de l’architecture. Pour autant, cet avis reste consultatif. Par le passé, cette commission s’était par exemple opposée aux colonnes de Buren au Palais Royal et à la pyramide du Louvre.
Les opposants n’ont pas perdu de temps et ont lancé une pétition depuis plus d’un an. Celle-ci, portée par Didier Rykner, fondateur du média La Tribune de l’Art, a dépassé les 250.000 signatures.
Robin Lefebvre pour The Epoch Times.
Boulevard Voltaire a aussi consacré un article à ce scandale :
Vitraux de Notre-Dame : 4 millions d’euros, le prix d’un caprice
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Une réponse à “Si Stéphane Bern dit non … C’est non !”
mohamed macron se fout des francais, de la france, de la religion catholique et du reste…
Il se mele de ce qui ne le regarde pas, qu’il reste a sa place en tant que gochiste pro immigrationniste incontrolable.